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« Les moines de Tibhirine ont été assassinés par le groupe de Djamel Zitouni, fondateur du GIA »

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  • #16
    Serpico

    merci pour la video tres interesant!!
    Faire route à pied par un beau temps dans un beau pays sans être pressé et avoir pour terme de ma course un objet agréable, voilà de toutes les manières de vivre celle qui est le plus à mon goût.

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    • #17
      Honte à toi plutôt comment on peut dire ça, ils ont choisi d'être des hommes de paix pour soigner et s'occuper de leurs fréres algériens gratuitement, ils n'ont pas choisi d'être égorgés par des ordures
      yaatek essaha!!

      ya des gens que demhem ghali,il suffit ymoute wahed bech eddenia tenode, d'autres demehem rkhiss ymoutou beljemla!!

      toute vie humaine est chere !!!

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      • #18
        Pourquoi dire ça alors ça n'a rien à voir, il faut tout condamner

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        • #19
          Serpico

          Dommage que la video s arrete a 14mùin 52 et qu on voit pas la suite!!
          Faire route à pied par un beau temps dans un beau pays sans être pressé et avoir pour terme de ma course un objet agréable, voilà de toutes les manières de vivre celle qui est le plus à mon goût.

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          • #20
            Dommage que la video s arrete a 14mùin 52 et qu on voit pas la suite!!

            babyben87
            Tu peux revisionner la vidéo qui est maintenant complète!

            Dernière modification par Serpico, 23 mai 2013, 15h58.

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            • #21
              Serpico

              Merci j apprends plein de choses ds ce doc!!
              Faire route à pied par un beau temps dans un beau pays sans être pressé et avoir pour terme de ma course un objet agréable, voilà de toutes les manières de vivre celle qui est le plus à mon goût.

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              • #22
                .........................
                Dernière modification par el anka, 24 mai 2013, 12h00.

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                • #23
                  02 versions contradictoire sauf pour djamel zitouni .



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                  • #24
                    des disaines de milliers d'algériens tués, et a chaque fois on sort la morts de ces 7 hommes français !!!!!

                    ils ont choisi de rester en algérie, khlasse!!
                    wao!!!!!!oueh il existe des gens qui sont prets a se donner pour ce qu'ils croient.......ils l'ont bien raconté dans le film..........ils n'attendaient plus rien en france,meme celui qui avait encore de la famille.........leur coeur,leur vie,leurs attentes,leurs esperances etaient la en algerie........c'est si dur a comprendre que certains se sentent comme........appellés,aimantés par un pays,par leurs habitants........sans avoir qqonques arrieres pensées.........juste parceque c'etait "ecrit" qq part!

                    pour ma part,le film ne m'a pas emporté...........un peu trop "mou".........j'aurrais aimé voir leur vie de tous les jours.........et cette fin brutale.......
                    on fait avec..........

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                    • #25
                      Les moines de Tibhirine ont été assassinés par le groupe de Djamel Zitouni, fondateur du GIA
                      c'etait Hier sur FR3
                      Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

                      Commentaire


                      • #26
                        Assassinat des moines de TIbhirine : les aveux des terroristes dans un documentaire

                        PARIS- Un documentaire, diffusé jeudi soir par la chaîne française France 3, a apporté les preuves irréfutables que ce sont bien les terroristes du Groupe islamique armé (GIA) qui ont assassiné le 21 mai 1996, les sept moines de Tibhirine (Médéa) , enlevés au milieu de la nuit, deux mois auparavant au Monastère de Notre-Dame de l’Atlas , au coeur d’une Algérie déchirée par le terrorisme.
                        D’une durée de 62mn, le documentaire, intitulé "Le martyre des sept moines de Tibhirine", réalisé par les journalistes Malik Aït Aoudia et Séverine Labat est venu rétablir enfin une vérité longtemps tronquée par des conclusions tendancieuses, dédouanant les terroristes et imputant l’assassinat à "une bavure" des forces de sécurité algériennes.

                        Construit sur des témoignages exclusifs et des aveux saisissant de cruauté des auteurs directs de cette tragédie, ce documentaire met face à la camera, des terroristes du GIA et des Algériens qui ont survécu au drame.

                        Mohamed Benali, gardien du monastère Notre-Dame de l’Atlas, qui réussit à s’échapper, s’étonne encore d’être vivant. Il est témoin direct de l’enlèvement et le premier à apporter son témoignage devant la caméra et faire, avec émotion, le récit de cette nuit du 26 au 27 mars 1996, où les sept moines ont été enlevés par des membres du GIA.

                        Les terroristes demandent s’il y a sept ou huit moines dans le monastère. Alors qu’il sait qu’il y neuf moines et les quinze religieux invités, le gardien prend le risque de répondre qu’ils ne sont que sept.

                        "Cette nuit-là, ils sont entrés avec leur chef qui voulait parler à Frère Christian, le prieur des moines. Il portait une barbe rousse et des lunettes. Ce chef, c’est le sanguinaire Abou Hareth, un des petits chefs du GIA.

                        "Ils ont surpris les moines qui dormaient. Ils n’ont même pas eu le temps de s’habiller correctement. Ils les ont sortis très vite et les ont emmenés", a-t-il témoigné.

                        "Quand j’ai senti que les terroristes ne prêtaient plus attention à moi, je me suis retourné et me suis sauvé dans le parc. J’ai couru et me suis caché dans un buisson d’où je n ’ai pas bougé jusqu’au lever du jour", a-t-il ajouté.

                        Dès qu’il fit jour, les moines survivants sont partis donner l’alerte aux autorités locales.

                        "Toutes les zones soupçonnées d’être des zones refuge, ont été fouillées et Dieu c’est qu’elles étaient immenses et il existait des d’endroits où on pouvait se cacher avec une facilité déconcertante", s’est souvenu le général Abderrezak Maïza du commandement des forces terrestres.

                        Le documentaire précise que les premiers quadrillages ne donnent rien et que sans informations précises sur la zone de détention des moines, les ratissages de l’armée algérienne, se résumaient à chercher une aiguille dans une botte de foin.

                        Omar Chikhi, un des membres fondateurs du GIA, l’air satisfait de lui-même et de la terreur que son groupe semait au sein de la population, raconte que le terroriste Djamel Zitouni lui disait que " les geôliers avaient été influencés par les moines que lorsqu’ils les voyaient prier, ils déposaient leurs armes. Alors il changeait en permanence les geôliers".

                        Hassan Hattab qui a quitté le GIA pour fonder le non moins sanguinaire Groupe Salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), trônant sur un fauteuil, et jouant aux objecteurs de consciences, laisse entendre que Djamel Zitouni, alors son rival dans la chefferie terroriste, l’avait appelé pour lui dire

                        "je t’informe que j’ai tué les moines ce matin .Je lui a répondu alors dans ce cas, on ne va pas pouvoir continuer à travailler ensemble. Tu as peur de tes hommes, plus que de Dieu ?". Les aveux les plus hallucinants de froideur, ont été faits par Abou Ilmen, dernier geôlier des moines assassinés et qui assista à leur décapitation. Il déclare sans sourciller qu’ils (moines) ont "tous été égorgés. On n’a pas tiré une seule balle. L’un deux (terroriste) m’a dit +tiens égorge+. J’étais pétrifié. Il m’a poussé et l’a égorgé".

                        Ils ont enterré les corps après les avoir décapités Le témoignage d’Abou Mohamed, émir du GIA, à TAblat, est tout aussi cruel et avancé avec un total détachement. "Ils ont enterré les corps dans la montagne de Bouguerra, après les avoir décapités, car il n’était pas facile de prendre les corps en entier. Ils étaient trop lourds. Et moi j’ai emmené les têtes dans une voiture pour les jeter sur la route". Sous un arbre à l’entrée de Médéa, et c’est là que des automobilistes les ont découvertes.

                        "Celui qui tue les moines, il se rapproche de Dieu et tous avaient soif de meurtre. Il n’y en avait pas un qui ne voulait pas les égorger tos les sept ". Tel est par ailleurs l’aveu de Laid Chabou, fidèle lieutenant de Djamel Zitouni, démentant ainsi les propos d’Hassan Hattab qui a prétendu avoir été contre l’assassinat des moines.

                        Fethi Boukabous, garde du corps de Djamel Zitouni, révèle quant à lui que " quand on a amené les moines chez Djamel Zitouni, j’ai assisté aux discussions pour la rédaction du communiqué n° 43 qui réclamait en échange, la libération de Abdelhak Lyada" .

                        Car l’enlèvement des moines devait surtout permettre au GIA de se faire reconnaître comme interlocuteur par la France.

                        Le documentaire révèle ainsi que Jean-Charles Marchiani, alors préfet du Var, s’était alors proposé au président Jacques Chirac, par le biais de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur, pour mener des tractations secrètes pour libérer les moines.

                        La presse français dévoile cependant toute l’affaire et Alain Juppé, alors chef de la diplomatie française qui n’a pas supporté "l’intrusion de services parallèle dans les affaires de l’Etat ", a ordonné qu’on mette fin à la mission Marchiani.

                        Dans le témoignage qu’il apporte, celui-ci affirme avoir prévenu Paris qu’ " en interrompant tout, les moines seraient bientôt morts".

                        Peu après, le terroriste Djamel Zitouni, diffuse son communiqué n° 44 où il déclare "Le président français et le ministre des Affaires étrangères ont déclaré qu’ils ne dialogueraient pas et ne négocieraient pas avec le Groupe islamique armé. Ils ont tranché en stoppant tout ce qui a été entrepris. Nous avons alors tranché la tête de tous les moines".

                        Les sept moines français de Tibhirine, avaient refusé de quitter le monastère de Notre ûDame de l’Atlas, malgré les menaces du GIA qui promettait de tuer tout étranger non musulman resté sur le sol algérien. Ils restaient fidèles à l’Algérie, aux villageois, au monastère et à la coopérative agricole qu’ils avaient créée.

                        Quelques mois avant son enlèvement, le prieur des moines "Frère Christophe", écrivait : "s’il m’arrivait un jour d’être victime du terrorisme, j’aimerais que ma communauté, ma ville, ma famille, se souviennent que ma vie a été donnée à Dieu et à ce pays".
                        aps
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #27
                          momo5

                          que des français, parlent et reparlent de ça, normale !!

                          que des algériens parlent et de reparlent de ça, beaucoup plus que l'assassinat de dizaines de milliers de leurs compatriotes, cela est anormale!!

                          ces moines ont choisit de rester en Algérie, malgré les dangers, je pense pas que le fait de parler de leur assassinat ,par des algériens, plus que celle de boudiaf ou les 300 morts de benteleha leur fera plaisir !!

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                          • #28
                            Entretien avec Malik Aït Aoudia et Séverine Labat : «Tibhirine, c’était bel et bien le Groupe islamique armé (GIA)»

                            24 mai 2013 Par Le Kabyle indigné

                            Le journaliste-réalisateur Malik Aït Aoudia et la politologue Séverine Labat reviennent, dans un documentaire, sur l’affaire des moines de Tibhirine, qui sera diffusé aujourd’hui sur France 3. Pour eux, il n’y a plus aucun doute : c’était bien le GIA qui a égorgé les moines de Tibhirine. Dans cette interview, ils parlent d’une même voix.



                            - Pourquoi revenir sur cette affaire après tant d’années ?

                            C’est en 1997 que nous avons commencé à travailler, chacun de notre côté, sur l’histoire de l’enlèvement et de l’assassinat des sept moines de Tibhirine. Le 11 septembre 2001, lorsque nous avons commencé à travailler ensemble pour réaliser Autopsie d’une tragédie, nous nous sommes rendus compte que nous avions la même approche méthodologique, à savoir ne questionner pour nos documentaires que les témoins et acteurs des événements que nous allions raconter. Autrement dit, nous avons clairement décidé de sortir de «l’approche qui présente les propos d’une personne qui a vu l’homme qui peut être aurait rencontré la personne qui a vu l’ours peut-être quelque part». Dans Autopsie d’une tragédie, nous avions abordé la question des moines de Tibhirine. Le passage devait durer 7 minutes, trop peu pour raconter vraiment cette histoire. Nous nous sommes alors promis, dès que cela serait possible, d’aller au bout de nos recherches pour raconter le martyre des sept moines. Cela a pris du temps parce que certains témoins étaient au maquis, en prison ou parfois même perdus dans la «nature» ou occupant des fonctions leur interdisant de parler de cette affaire. Il a donc fallu les retrouver, discuter avec eux des événements et ensuite les convaincre de témoigner devant une caméra. Lorsque nous avons été convaincus de pouvoir raconter l’histoire avec la précision et l’émotion requises pour un tel drame, nous avons proposé ce documentaire à France 3, qui a accepté de nous accompagner dans cette aventure.

                            - Comment avez-vous procédé dans vos recherches ?

                            La première chose est de tout lire et tout voir sur le sujet, de tout analyser et de confronter les témoignages. Il faut aussi étudier la constance dans le témoignage et confronter ces témoignages avec des éléments factuels que l’on peut recueillir. On commence à aller à la rencontre de ces témoins ou acteurs. Il s’agit, en somme, d’une véritable enquête judiciaire sans les moyens de coercition du juge ou du policier. Cette phase d’enquête est primordiale, c’est elle qui permet de sélectionner les personnes que nous allons ensuite interviewer pour raconter l’histoire.

                            - Justement, certains disent que vous avez évité des témoins parce qu’ils dérangeaient votre thèse…

                            Vous parlez de Tigha ?

                            - Par exemple…

                            C’est un bon exemple. Cet ancien sous-officier déserteur est un menteur. La première interview qu’il a accordée au quotidien français Libération raconte qu’il aurait vu les moines dans la caserne du CTRI, à Blida, durant la nuit de leur enlèvement. «Il aurait vu», cela signifie qu’il serait donc un témoin. Il a créé la sensation parce qu’il aurait été témoin de la présence des moines dans une caserne de l’armée algérienne. Le problème est que ses propos évoluent. Finalement, il n’a plus vu les moines lui-même dans la caserne, mais on lui aurait dit qu’ils étaient dans la caserne. Cela change tout. Même dans le livre de Rivoire, on peut lire (page 160) à propos de Tigha : «Mais il est vrai qu’après avoir affirmé les avoir aperçu de loin, il a finalement expliqué, en 2008, que c’était un de ses collègues, le capitaine Redha, qui lui aurait affirmé que les moines avaient transité par le CTRI.» Il manque juste une phrase : «Tigha est un menteur et il nous a roulé dans la farine pour obtenir l’asile en Europe.» Au lieu de cela, certains, toujours les mêmes, continuent de lui donner du crédit pour une seule et unique raison : Tigha continue de maintenir le trouble en accusant l’armée algérienne. Pour revenir à notre travail, au moment où les moines sont supposés être à Blida selon Tigha, nous avons pu établir qu’un jeune homme a été enlevé par des terroristes du GIA conduits par Missoum, et détenu dans la même maison que les moines, dans la montagne de Guerrouaou. Nous l’avons rencontré et interviewé. Il dit exactement la même chose depuis 1996 ! Entre les deux, il n’y a pas photo. Nous pouvons, de la même manière, vous montrer pourquoi tous ces soi-disant témoins n’en sont pas et pourquoi nous avons décidé de mettre tous ces imposteurs de côté. Nous ne les avons pas interviewés parce que nous ne voulions pas faire un documentaire sur les théories complotistes révisionnistes appliquées à l’Algérie.

                            - Pour vous, il ne fait aucun doute que c’est le GIA qui a tué les moines. Pourquoi ?

                            Nous n’avions aucun a priori en commençant à travailler. Ce qui nous intéressait, c’était de raconter la vie des moines pendant les années de sang et de larmes, de raconter leur enlèvement, leur détention et leur assassinat. Rien d’autre. Et c’est ce que nous avons fait. Pour être à chaque instant de cette tragédie «au plus proche des moines», nous avons recherché des témoins pour pouvoir essayer de raconter l’histoire telle qu’elle s’est déroulée. Il se trouve maintenant que c’est le GIA qui a enlevé, détenu et assassiné les moines. Point.

                            - Cette affaire est-elle à l’origine de la scission du GIA ? Et donc de la naissance GSPC, ancêtre d’AQMI ?

                            On ne peut pas dire cela de cette manière. Les sujets de discorde entre les différentes régions et émirs du GIA étaient nombreux à l’époque. En revanche, comme Hassan Hattab nous l’a dit pendant l’entretien filmé, l’affaire des moines a accéléré la rupture entre une partie des émirs locaux et la direction nationale du GIA.- Ne craignez-vous pas d’être accusés d’accréditer la position officielle ?Que faut-il faire lorsqu’un documentaire reposant sur une enquête implacable recoupe une version officielle ? Il faudrait jeter tout ce travail à la poubelle ? Cela signifierait que la souffrance des moines ne serait digne d’intérêt que s’ils ont été victimes de l’Etat algérien, qu’elle ne serait qu’un alibi pour des manœuvres politiques. Ce n’est pas notre façon de concevoir notre métier.Quand nous lisons ou regardons certaines «choses», nous ne sommes plus dans le journalisme ou le documentaire, mais dans la fiction. Dans cette affaire, nous aurions pu être dans la posture qui accuse à tout prix l’armée algérienne. Beaucoup, qui nous insultent aujourd’hui, nous auraient couverts de lauriers. Nous ne comprenons pas ces prétendues enquêtes qui désignent le coupable a priori et qui cherchent ensuite comment illustrer cette culpabilité. De cette façon, nous pouvons vous montrer demain que c’est l’armée algérienne qui a assassiné qui vous voulez. Même Kennedy ou Jésus-Christ, pour rester dans la religion catholique.

                            Rémi Yacine/El Watan

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                            • #29
                              Ce dossier est ouvert/ré ouvert selon le rapport/humeur des relations entre le régime algérien et français.

                              Ce documentaire prouve que les relations franco algérienne sont excellente, ce dossier a été utilisé maintes fois par la France pour faire du chantage au régime algérien, pourquoi ce changement de ton d'un seul coup ?! ( bizarrement après la visite de hollande, le soutien au Mali, la grande part du marché algérien offerte à la France...)

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                              • #30
                                « Les moines de Tibhirine ont été assassinés par le groupe de Djamel Zitouni, fondateur du GIA »
                                Et ce coupable n'est qu'un agent du DRS. C'est une vérité connue de tous sauf pour les agents en service qui essaient de noyer le poisson. Le GIA lui-même est une création du DRS.
                                si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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