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Abderrahmane Belayat, coordinateur du bureau politique du Front de libération nationale (FLN), a indiqué au Temps d'Algérie que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, sera le futur candidat du FLN à l’élection présidentielle de 2014.
«Bouteflika sera, s'il accepte et si les conditions seront favorables, le candidat du FLN à la présidentielle de 2014», nous a déclaré hier M. Belayat à l'issue de son passage à l'émission «Une heure de vérité» sur la chaîne algérienne Dzaïr TV. Il a ajouté que «dans le cas contraire, c'est au comité central (CC) du parti qui décidera de son candidat».
Le FLN, secoué par une crise interne depuis le retrait de confiance à son ex-secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, le 31 janvier, au cours d’une session extraordinaire, n'arrive toujours pas à élire son nouveau SG. Le SG du FLN par intérim a assuré lors de l'émission qu'il n'avait ménagé aucun effort pour «ressouder les rangs des membres frères» du parti entre alliés et adversaires de Belkhadem.
Face à la situation de crise que vit le parti, il a fait savoir qu'«une session extraordinaire du bureau politique se tiendra incessamment» pour tenter de trouver une issue à cette situation qui perdure. Il a tenu à préciser cependant : «Aucune date n'a été arrêtée pour la tenue de cette session.» Il a ensuite assuré que «le futur SG du parti sera élu par la voix de l'urne, dans une totale transparence et démocratie».
Plusieurs membres du bureau politique ont déjà déposé leur candidature pour briguer le poste vacant depuis quatre mois, a ajouté Belayat, citant entre autres l'actuel ministre de la Santé, Abdelaziz Ziari, MM. Bouhajar, Saïdani, Bouazizya, Boukhalfa. Par ailleurs, Belayat a réfuté l'information selon laquelle le SG n'a pas été élu en raison de l'état de santé du président de la République, qui est le président d'honneur du FLN. «La maladie du Président n'a rien à voir avec l'élection du SG, sinon il aurait pu être élu au lendemain du retrait de confiance à Belkhadem, le 2 février, comme il était convenu», a-t-il soutenu.
Le FLN et le RND veulent un 4e mandat pour Bouteflika
Concernant les critères de sélection d'un SG du FLN, il a affirmé qu'aucun ne stipule que le candidat doit avoir fait parti du BP à l'époque du parti unique. «Benflis et Belkhadem ne sont pas des moudjahidine et n'ont pas été membres du BP à l'aire du parti unique, et ils ont été SG», a-t-il expliqué.
Il a affirmé, en outre, que sa formation politique, malgré les divergences de positions des membres de son BP, sera en mesure de choisir son candidat à l’élection présidentielle. «La présidentielle est décisive. Nous serons en mesure de prendre position concernant le candidat qui représentera le parti à l’élection de 2014», a-t-il affirmé. Dans ce sens, l'invité de l'émission a indiqué qu'il n'était pas informé de la probable candidature de Belkhadem pour l'échéance présidentielle. Belayat est revenu aussi sur certains partis politiques qui appellent à l'application de l'article 88 de la Constitution. «Plusieurs ‘fronts’ sont nés.
Ils veulent nous imposer leurs visions politiques. Le FLN est majoritaire. Ce n'est pas deux ou trois partis qui pourront déstabiliser le pays. Ils veulent l'application de l'article 88, alors que Bouteflika est juste en convalescence. Il n'est pas mort ou invalide. Ceux qui appellent à son application ne peuvent nous l'imposer». Le SG par intérim du FLN nous a expliqué par ailleurs que le RND et le FLN forment toujours l'Alliance présidentielle. «Le FLN et le RND veulent un 4e mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika», a-t-il affirmé.
F. H.
Le temps d'Algérie
«Bouteflika sera, s'il accepte et si les conditions seront favorables, le candidat du FLN à la présidentielle de 2014», nous a déclaré hier M. Belayat à l'issue de son passage à l'émission «Une heure de vérité» sur la chaîne algérienne Dzaïr TV. Il a ajouté que «dans le cas contraire, c'est au comité central (CC) du parti qui décidera de son candidat».
Le FLN, secoué par une crise interne depuis le retrait de confiance à son ex-secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, le 31 janvier, au cours d’une session extraordinaire, n'arrive toujours pas à élire son nouveau SG. Le SG du FLN par intérim a assuré lors de l'émission qu'il n'avait ménagé aucun effort pour «ressouder les rangs des membres frères» du parti entre alliés et adversaires de Belkhadem.
Face à la situation de crise que vit le parti, il a fait savoir qu'«une session extraordinaire du bureau politique se tiendra incessamment» pour tenter de trouver une issue à cette situation qui perdure. Il a tenu à préciser cependant : «Aucune date n'a été arrêtée pour la tenue de cette session.» Il a ensuite assuré que «le futur SG du parti sera élu par la voix de l'urne, dans une totale transparence et démocratie».
Plusieurs membres du bureau politique ont déjà déposé leur candidature pour briguer le poste vacant depuis quatre mois, a ajouté Belayat, citant entre autres l'actuel ministre de la Santé, Abdelaziz Ziari, MM. Bouhajar, Saïdani, Bouazizya, Boukhalfa. Par ailleurs, Belayat a réfuté l'information selon laquelle le SG n'a pas été élu en raison de l'état de santé du président de la République, qui est le président d'honneur du FLN. «La maladie du Président n'a rien à voir avec l'élection du SG, sinon il aurait pu être élu au lendemain du retrait de confiance à Belkhadem, le 2 février, comme il était convenu», a-t-il soutenu.
Le FLN et le RND veulent un 4e mandat pour Bouteflika
Concernant les critères de sélection d'un SG du FLN, il a affirmé qu'aucun ne stipule que le candidat doit avoir fait parti du BP à l'époque du parti unique. «Benflis et Belkhadem ne sont pas des moudjahidine et n'ont pas été membres du BP à l'aire du parti unique, et ils ont été SG», a-t-il expliqué.
Il a affirmé, en outre, que sa formation politique, malgré les divergences de positions des membres de son BP, sera en mesure de choisir son candidat à l’élection présidentielle. «La présidentielle est décisive. Nous serons en mesure de prendre position concernant le candidat qui représentera le parti à l’élection de 2014», a-t-il affirmé. Dans ce sens, l'invité de l'émission a indiqué qu'il n'était pas informé de la probable candidature de Belkhadem pour l'échéance présidentielle. Belayat est revenu aussi sur certains partis politiques qui appellent à l'application de l'article 88 de la Constitution. «Plusieurs ‘fronts’ sont nés.
Ils veulent nous imposer leurs visions politiques. Le FLN est majoritaire. Ce n'est pas deux ou trois partis qui pourront déstabiliser le pays. Ils veulent l'application de l'article 88, alors que Bouteflika est juste en convalescence. Il n'est pas mort ou invalide. Ceux qui appellent à son application ne peuvent nous l'imposer». Le SG par intérim du FLN nous a expliqué par ailleurs que le RND et le FLN forment toujours l'Alliance présidentielle. «Le FLN et le RND veulent un 4e mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika», a-t-il affirmé.
F. H.
Le temps d'Algérie
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