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Selon Valeurs actuelles, le président algérien Abdelaziz Bouteflika serait mort.

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  • Selon Valeurs actuelles, le président algérien Abdelaziz Bouteflika serait mort.

    Le Point.fr
    Le site de "Valeurs actuelles" affirme que le président algérien est décédé. Aucune confirmation à Alger, même si là-bas la succession est déjà engagée.



    Selon Valeurs actuelles, le président algérien Abdelaziz Bouteflika serait mort. Hospitalisé depuis un mois et demi à Paris, son "état de santé s'est très sérieusement dégradé". En dépit de communiqués qui se voulaient rassurants, les rumeurs se font de plus en plus alarmistes sur le chef d'État. Selon Valeurs actuelles, "le Conseil constitutionnel, à qui il revient de vérifier l'"empêchement" du chef de l'État, en vertu de l'article 88 de la Constitution algérienne, n'a pas été autorisé à venir le voir à Paris", tant il est évident que Bouteflika est incapable de gouverner. D'abord admis le 27 avril au Val de Grâce pour de simples examens de routine, le président algérien a été transféré le 20 mai aux Invalides. La même source affirme qu'"il serait inconscient, mais la nouvelle est gardée secrète pour mieux verrouiller sa succession, sur les plans politique et financier, après 14 ans de pouvoir sans partage."

    Une succession à haut risque

    Une chose est néanmoins certaine, la succession a déjà commencé à Alger. Les hiérarques du régime, l'armée, les services secrets, mais aussi les syndicats, les fidèles de "Boutef" et les partisans d'une ouverture accrue sur l'Occident se tiennent prêts à toutes les éventualités. Tout le monde pensait avoir le temps jusqu'à avril 2014, date de la prochaine présidentielle, pour "construire" un successeur à Bouteflika. Si les événements venaient à s'accélérer, la succession serait critique. La Constitution prévoit 45 jours pour de nouvelles élections. Et en dehors d'Ahmed Benbitour, ancien Premier ministre, aucun présidentiable de poids ne s'est encore déclaré.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Publier l'info d'un autre organie de presse sans vérification semblait être une spécialité algérienne, au moment où d'autres sources affirment que la famille se trouverait à Alger, cela semble participe au brouhaha vulu autour de la maladie d'un président...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      selon ce journal , il ne serait pas mort , mais il n'est plus en état de gouverner et ne pourra donc pas assister ,selon eux , aux cérémonies du 5 juillet....
      du chaos naissent les étoiles - Charlie Chaplin

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      • #4
        TSA lundi, 10 juin 2013 16:21
        Santé de Bouteflika : le soutien de Paris au président algérien
        Hayet Zitouni


        Quarante-cinq jours après son hospitalisation, le président Bouteflika n’est toujours pas rentré en Algérie. Depuis quelques jours, des proches de sa famille, revenus en Algérie, s’affichent dans des endroits en vue à Alger.
        Leur présence visible permet d’occuper le terrain de la rumeur et de préparer le retour du Président, même si aucune date ne peut être avancée.
        S’il est censé continuer sa rééducation à l’hôpital des Invalides, à Paris, il aura, dans cette affaire, pu compter sur le parfait soutien et la totale discrétion de la France. Si Paris a communiqué, en temps et en heure, quand les décideurs algériens se trouvaient dans l’embarras de ne pas savoir quoi dire sur la situation du Président, les autorités françaises auront assurément permis une totale tranquillité au chef de l’Etat algérien. Le communiqué du ministère de la Défense français avait a minima déclaré le transfert du président « dans un autre établissement », sans préciser officiellement qu’il s’agissait de l’hôpital des Invalides, un établissement de pointe dans les questions de rééducation.
        Durant toute cette séquence, Paris aura néanmoins eu toutes les peines du monde à donner une cohérence au mensonge initial algérien, qui voulait que le Président ait été victime d’un mini-AVC sans conséquences.
        Dans cette affaire, les Français auront en tout cas été exemplaires et la relation construite entre Abdelaziz Bouteflika et François Hollande aura certainement été d’un grand secours.
        Ainsi, lorsque le président français s’est publiquement exprimé sur cette question à la télévision le 31 mai, ce fut pour attester que Bouteflika est « en convalescence dans l'établissement des Invalides, où il se voit prodiguer tous les soins nécessaires. Et il aura ensuite à rentrer, j'espère le plus vite possible, dans son pays ». Par cette déclaration, il s’agissait, là encore pour le président français, de banaliser la situation d’Abdelaziz Bouteflika. Mais elle constituait un message aux décideurs algériens, qui pourraient être tentés par l’application de l’article 88 : ne faites rien, le Président va rentrer et terminera son mandat en 2014 ; sa succession sera alors ouverte.
        En ce sens, les paroles du chef de l’Etat français auront, dans une certaine mesure, permis de sauver la fin de l’exercice du pouvoir par Abdelaziz Bouteflika. Son entourage a été totalement soulagé par les paroles de François Hollande, qui ont été de nature à faire retomber, pour partie, la pression et les questions autour du devenir du président algérien. La relation de confiance nouée entre les deux chefs d’Etat avait pu se raffermir un peu plus lors de la visite - pourtant à moitié réussie - du président français en Algérie. Et en ce sens, durant tout son séjour parisien, Abdelaziz Bouteflika a pu éprouver la confiance, la discrétion et le tact de la France dans cette affaire.
        La cellule diplomatique de l’Elysée aura, jusqu’à présent, su gérer avec les proches du président algérien une situation délicate et une pression médiatique qui permet à Abdelaziz Bouteflika de rentrer, le moment venu, en Algérie pour tenter d’achever son mandat et participer à préparer sa succession.
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          Entre les analyses toujours aussi bien inspirées concrenant le soutien d'une France, il semble qu'une autre France ne patage pas ce prétendu soutien.

          Les spécialistes des feux et contre feux sont à la manoeuvre, attention à ne ps devenir pyromane...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            "Bouteflika serait mort", a annoncé lundi en fin d'après-midi Valeurs Actuelles. Quelques minutes plus tard, l'hebdomadaire français a tempéré son annonce en titrant plus prudemment "Bouteflika c'est fini". Le président algérien "n’est plus en état de gouverner" car "son état de santé s’est très sérieusement dégradé" et "il serait inconscient", affirme néanmoins l'article.

            Quelques heures plus tôt, le site tunisien Direct Info avait rapporté une information concordante, affirmant "de source proche de son entourage" que le président algérien "serait atteint d’un scaphandre du corps" ("locked-in syndrome"), c'est-à-dire un état neurologique dans lequel le patient est totalement paralysé mais conscient.

            Si l'état de santé du président prête à tant de confusion, c'est notamment du fait de l'opacité dont l'entourent les autorités algériennes. Abdelaziz Bouteflika était arrivé à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris, le 27 avril à la suite d'un AVC. "Mineur", avaient-elles alors relativisé. Un mois plus tard, le ministère français de la Défense avait annoncé son transfert aux Invalides "afin d'y poursuivre sa convalescence", tandis que l'Algérie affirmait que son état de santé s'était amélioré. Depuis lors, Paris se refuse à tout commentaire, laissant Alger communiquer sur le sujet.

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            • #7
              Mais non, il est immortel !
              J'étais là...

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              • #8
                A ce rythme là, on va mourir bien avant lui !

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                • #9
                  Le titre est faux. L'article cité ne dit pas que le Président est mort.
                  Entre il est mort et son état se serait détérioré, y a un monde.

                  Sinon les gars, vous savez que les ennemis de la Nation cherchent le chaos, il serait quand même judicieux que vous communiquiez un chwia. C'est quand même terrible d'en arriver à se renseigner sur l'état de santé de son Président en se référant aux marcs de café publiées dans des journaux étrangers.
                  Dernière modification par Dandy, 10 juin 2013, 21h12.

                  Commentaire


                  • #10
                    Dandy

                    c'est un président, les caméras et les journalistes du monde entier ont le nez sur son bulletin de santé...
                    du chaos naissent les étoiles - Charlie Chaplin

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                    • #11
                      Envoyé par dandy
                      Sinon les gars, vous savez que les ennemis de la Nation cherchent le chaos, il serait quand même judicieux que vous communiquiez un chwia. C'est quand même terrible d'en arriver à se renseigner sur l'état de santé de son Président en se référant aux marcs de café publiées dans des journaux étrangers.
                      vu que le malade lui même est a l'étranger ...les nouvelles ne peuvent venir que de l’étranger ......

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                      • #12
                        A ce rythme là, on va mourir bien avant lui !
                        Tu sais ce que dit le proverbe : ymoute el machi w'yebqa errachi.

                        Sinon, je ne crois pas à la nouvelle-rumeur, elle a pour but d'avoir le juste en prêchant le faux.
                        S'il y a événement majeur le comité des sages nous informera ... enfin je l’espère.
                        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                        • #13
                          Sinon les gars, vous savez que les ennemis de la Nation cherchent le chaos, il serait quand même judicieux que vous communiquiez un chwia. C'est quand même terrible d'en arriver à se renseigner sur l'état de santé de son Président en se référant aux marcs de café publiées dans des journaux étrangers.
                          l armee doit prendre ses responsabilites nous ne pouvons plus tolerer ce tmasskhir
                          il faut une direction au pays il nous met dans une situation vulnerabe

                          il faut que le HCS prenne les devants
                          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                          • #14
                            hélas ce président a tous verrouillés, il a anesthésié le pays avant de partir, plus de politique, plus d'armée responsable, plus de service, plus de confiance au gouvernement.

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                            • #15
                              Salam,

                              Envoyé par SOLAS
                              l armee doit prendre ses responsabilites nous ne pouvons plus tolerer ce tmasskhir
                              L'armée et les autres institutions de l'Etat doivent rester dans leurs prérogatives..
                              Le tmaskhir c'est de voir les généraux gouverner en maîtres absolus.
                              Alors soit on cherche à construire un Etat de droit soit on continu dans le tmaskhir.

                              Selon Valeurs actuelles, "le Conseil constitutionnel, à qui il revient de vérifier l'"empêchement" du chef de l'État, en vertu de l'article 88 de la Constitution algérienne, n'a pas été autorisé à venir le voir à Paris", tant il est évident que Bouteflika est incapable de gouverner.
                              Comment ça ? Qui a empêché le conseil constitutionnel de visiter le Président ?
                              Si cela s'avère vrai.. c'est le conseil constitutionnel qui doit prendre ses responsabilités..

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