Un sit-in pacifique a été organisé par des jeunes chômeurs lundi après-midi dans le quartier Mohamed Belouezdad, près de l’ex-cinéma Musset. Ils revendiquent leur intégration dans le circuit commercial suite au démantèlement de leurs étals l'été dernier.
Ils sont pour la plupart d’anciens commerçants de l’informel. Ils avaient des petits commerces qui longeaient le boulevard Mohamed Belouizdad.
Lorsque le ministère de l’Intérieur avait ordonné d’éradiquer les marchés parallèles, ils étaient les premiers concernés. Les autorités locales avaient promis de les recenser et de leur octroyer des locaux commerciaux.
Mais depuis 10 mois, indiquent les protestataires, aucune promesse n’a été concrétisée. « Cela fait des mois et des mois que nous attendons l’applications des instructions gouvernementales. Mais depuis l’été 2012, nous ne travaillons pas et nous sommes condamnés à subir le chômage. Nous perdons espoir », affirme Dahmane, 30 ans, résident à Sidi M’hamed.

Les initiateurs du sit-in insistent pour dire que « le rassemblement est pacifique ».
« Nous voulons juste interpeller les pouvoirs et l’opinion publiques pour leur dire que nous avons été trahis par les responsables chargés de notre dossier », explique Achour, 25 ans, résident à Belouezdad. Il ajoute que « les instructions doivent être appliquées en urgence ».
Les contestataires annoncent que leur sit-in est illimité. « Y’en a marre des déclarations sans suite. Nous restons ici pour arracher notre droit », tonnent-ils.
Mehdi B.- El Watan
Ils sont pour la plupart d’anciens commerçants de l’informel. Ils avaient des petits commerces qui longeaient le boulevard Mohamed Belouizdad.
Lorsque le ministère de l’Intérieur avait ordonné d’éradiquer les marchés parallèles, ils étaient les premiers concernés. Les autorités locales avaient promis de les recenser et de leur octroyer des locaux commerciaux.
Mais depuis 10 mois, indiquent les protestataires, aucune promesse n’a été concrétisée. « Cela fait des mois et des mois que nous attendons l’applications des instructions gouvernementales. Mais depuis l’été 2012, nous ne travaillons pas et nous sommes condamnés à subir le chômage. Nous perdons espoir », affirme Dahmane, 30 ans, résident à Sidi M’hamed.

Les initiateurs du sit-in insistent pour dire que « le rassemblement est pacifique ».
« Nous voulons juste interpeller les pouvoirs et l’opinion publiques pour leur dire que nous avons été trahis par les responsables chargés de notre dossier », explique Achour, 25 ans, résident à Belouezdad. Il ajoute que « les instructions doivent être appliquées en urgence ».
Les contestataires annoncent que leur sit-in est illimité. « Y’en a marre des déclarations sans suite. Nous restons ici pour arracher notre droit », tonnent-ils.
Mehdi B.- El Watan
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