Mourad Medelci : la communauté algérienne en Egypte se porte bien
Le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci a exprimé, ce samedi 6 juillet, le souhait de l’Algérie « de voir le calme et la paix revenir en Égypte », où l’armée a destitué le président Mohamed Morsi. Concernant la communauté algérienne établie dans ce pays, le ministre assure qu’elle se porte bien.
« On nous a rien signalé de particulier ces derniers jours », a précisé M. Medelci, tout en rappelant que « des mesures de prudence ont été prises pour assurer la sécurité de cette communauté ».
« Nous sommes en contact avec les membres de notre communauté d’une façon permanente, pour leur demander de rester hors des endroits où il y a des manifestations », a ajouté M. Medelci. Il a assuré par ailleurs que « l’Algérie prendra des mesures, si c’est nécessaire, pour assurer la sécurité de notre communauté dans ce pays ». Le ministre des Affaires étrangères a réitéré encore une fois que le mouvement dans le corps diplomatique « n’était qu’une rumeur colportée par la presse.» « C’est une décision qui revient au seul président de la République », a-t-il précisé.
PAR Achira Mammeri
Le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci a exprimé, ce samedi 6 juillet, le souhait de l’Algérie « de voir le calme et la paix revenir en Égypte », où l’armée a destitué le président Mohamed Morsi. Concernant la communauté algérienne établie dans ce pays, le ministre assure qu’elle se porte bien.
« On nous a rien signalé de particulier ces derniers jours », a précisé M. Medelci, tout en rappelant que « des mesures de prudence ont été prises pour assurer la sécurité de cette communauté ».
« Nous sommes en contact avec les membres de notre communauté d’une façon permanente, pour leur demander de rester hors des endroits où il y a des manifestations », a ajouté M. Medelci. Il a assuré par ailleurs que « l’Algérie prendra des mesures, si c’est nécessaire, pour assurer la sécurité de notre communauté dans ce pays ». Le ministre des Affaires étrangères a réitéré encore une fois que le mouvement dans le corps diplomatique « n’était qu’une rumeur colportée par la presse.» « C’est une décision qui revient au seul président de la République », a-t-il précisé.
PAR Achira Mammeri
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