Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bouteflika devrait rentrer à Alger dans les prochaines heures

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bouteflika devrait rentrer à Alger dans les prochaines heures

    Le président Abdelaziz Bouteflika, devrait rentrer à Alger dans les prochaines heures, a déclaré lundi 8 juillet une source proche de la présidence. . Bouteflika, 76 ans, est hospitalisé à Paris depuis qu'il a été victime d'un accident vasculaire cérébral, le 27 avril.Les autorités n'ont fourni que des informations parcellaires sur son état de santé depuis son transfert en France. Voulant dissiper les rumeurs, la télévision nationale a diffusé le 12 juin des images montrant le chef de l'Etat recevant le premier ministre et le chef des armées à l'institution nationale des Invalides, à Paris.

    ennehar

  • #2
    finalement,il est rentre ou pas????'''
    je predis la nuit du destin pour son retour....
    Dernière modification par darelbeida, 08 juillet 2013, 22h00.

    Commentaire


    • #3
      source étrangeur

      Le journalEl Nahar, à l'origine de l'information, assure ainsi que le chef d'Etat a achevé "l'ensemble des tests médicaux" et "va mieux". "Dans ces conditions, il est sur le point de rentrer à Alger" indique en effet une source diplomatique proche du dossier. Son éventuel retour coïnciderait avec le début du mois sacré du ramadhan qu'Abdelzaziz Bouteflika, âgé de 76 ans, souhaiterait, toujours selon le quotidien El Nahar, passer auprès du "peuple algérien. Si ce retour se confirmait, il pourrait également dissiper les inquiétudes liées à son état de son santé. Sa dernière apparition à l'Hôpital national des Invalides, diffusée par l'agence de presse algérienne (APS), avait soulevé des vives interrogations: en voulant faire taire les rumeurs de décès, elle a parallèlement montré au grand jour un homme affaibli et rongé par la maladie.
      La convalescence du président Bouteflika et son impossibilité (supposée) à briguer un quatrième mandat consécutif nourrissent les ambitions. Les prétendants à sa succession se bousculent au portillon, à moins d'un an de l'élection présidentielle, prévue pour avril 2014.



      Les prétendants possibles :
      • Abdelmalek Sellal : Le chef du gouvernement semble pour l'instant en pôle position; même s'il nie toutes ambitions et affiche un "soutien sans faille au président". En assoyant son autorité et en conciliant des intérêts contradictoires -inhérents au régime algérien-, son intérim a quasiment été un sans faute. Et bien des sources le donnent comme le candidat sur lequel misent le camp Bouteflika.
      • Ahmed Ouyahia : L'ex-premier ministre et ex-président du rassemblement national démocratique (RND) y pense depuis longtemps. Sa récente démission du parti phare de l'alliance présidentielle où il était en poste depuis 1999 serait en effet "stratégique". Il s'agirait pour certains "d'un signe évident" d’une candidature à la présidentielle. Ahmed Ouyahia avait pourtant précisé en mars dernier dans sa lettre que sa "démission n’est pas au service d’un agenda personnel", or celle-ci est survenue peu après son remplacement à la tête du gouvernement. Selon la presse algérienne, il aurait désormais les mains libres pour se préparer à la présidentielle.
      • Abdelaziz Beelkhadem : Cette éventualité est d'autant plus crédible que le chef de file du FLN, ennemi juré d'Ahmed Ouyahia, devrait également annoncer sa démission de la tête de son parti dans les semaines à venir. L'ex-chef du gouvernement est réputé pour son islamo-conservatisme.
      • Mouloud Hamrouche : Les rumeurs sur l'éventuel retour de l'ancien premier ministre (1989- 1991) Mouloud Hamrouche sont persistantes. Ses soutiens s'organisent et tentent de réactiver des réseaux jadis influents. Celui qui avait ouvert le champ politique algérien pourrait donc coiffer au poteau ses concurrents sachant qu'il bénéficie d'appuis non-négligeables à l'étranger
      Placé à la tète de l'état algérien à la fin des années 90, Abdelaziz Bouteflika a été réélu une première fois en 2004, puis en 2009 après une révision de la Constitution qui limitait jusque-là à deux le nombre de mandats présidentiels. Le président algérien avait déjà été hospitalisé fin 2005 pendant près d'un mois à Paris pour «un ulcère hémorragique"...
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire

      Chargement...
      X