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Gestion médiatique de la maladie de Bouteflika : le responsable de la presse au DRS limogé

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  • #16
    Gestion médiatique de fakhamatouhou

    I am sur le c** !!!

    Sur l'ENTV, un "hadith dini", présenté par un .... officier de police (en tenue) !!?!!

    WTF !!!! oO

    C'est quoi la prochaine étape ? Le JT de 20H présenté par El Hamel ?

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    • #17
      et remplacé par le colonel Okba .
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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      • #18
        Je suis sûr d'une chose c'est que teftef le zombie (qu'il soit maudit ce voleur) rêve d'une Algérie à la nord-coréenne!!!!!

        Pour arriver à ses fins il cherche à noyauter tous les rouages du pouvoir en plaçant ses "éléments" partout, en menaçant les hommes intègres et en désinformant afin d'utiliser la naïveté du peuple enfin un grand nombre.
        Il a laissé la drogue, l'incompétence et la corruption "tuer" l'Algérie de l'intérieur.....Diabolique ces mercenaires....:22:

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        • #19
          Les véritables raisons du limogeage du colonel Fawzi


          AP Article | 23. juillet 2013 - 15:25

          Après les affaires Sonatrach et Sonelgaz, s’achemine-t-on vers une affaire Anep ? Des documents en notre possession montrent, en effet, comment des pontes du système détournent l’argent des collectivités locales et des entreprises publiques en créant une multitude de journaux pour accaparer les annonces légales via l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep). Cette dernière, à la faveur d’une décision de l’Etat instaurant un monopole sur la publicité institutionnelle, gère indirectement le portefeuille publicitaire de toutes les entités publiques, qu’elles soient administratives ou économiques. Si, à l’origine, cette décision signée par l’ancien chef de gouvernement, Ahmed Ouyahia, visait à réguler ce marché lucratif, aider la presse boudée par les annonceurs privés et renflouer les caisses des journaux publics qui avaient du mal à résister face à la concurrence rude des journaux indépendants, celle-ci a, cependant, été détournée de sa vocation première et servi à enrichir une bande de potentats ripoux. Des échos nous sont parvenus du Club des Pins, suite à notre précédent article. Le principal cité dans l’affaire, à savoir Miloud Chorfi, ancien porte-parole du RND et actuel président du groupe parlementaire de ce parti, a affirmé vouloir entrer en contact avec ****************** pour nous informer qu’il n’avait aucune relation avec le titre concerné par ce scandale, c’est-à-dire El Adjoua dans ses trois versions arabe, française et sportive. «Je n’ai rien à voir avec ces journaux. C’est mon défunt fils qui était ami avec son directeur, lequel a intégré son nom dans l’ours (l’emplacement indiquant les mentions obligatoires d’une publication, ndlr)», a-t-il précisé. La mise au point étant faite, le problème reste entier. Car en adoptant la posture de Ponce Pilate, Miloud Chorfi ne fait que confirmer l’existence de malversations dont il se lave les mains. Que le titre éclaté en trois journaux qui a amassé plus de 113 milliards entre janvier 2011 et septembre 2012 (plus ou moins 5 milliards par mois) lui appartient ou pas, cela ne change rien à ces chiffres qui montrent bien que des responsables malveillants détournent de l’argent par le biais de la publicité. Venons-en aux chiffres. Une enquête au niveau de la Société d’impression d’Alger (SIA), une imprimerie de l’Etat, nous a permis de connaître le tirage de ce journal coupé en trois «morceaux» pour multiplier les gains par trois. L’édition arabe du 27 juin de ce journal inconnu du grand public a été tirée à 2 200 exemplaires, la version française à 2 200 également et le supplément sportif à 4 400. Des sources ont expliqué à ****************** que la majeure partie de ce tirage insignifiant n’est même pas distribuée et que seuls comptent les quelques centaines d’exemplaires destinés à la comptabilité de l’Anep et à l’archivage au niveau des différentes institutions publiques. Les mêmes sources ajoutent que pour éviter de tirer le minimum exigé par l’imprimerie, soit 5 000 exemplaires par publication, les responsables de cette multitude de journaux créés – souvent par des gens étrangers à la presse – pour détourner la publicité institutionnelle, font en sorte d’être mis en demeure par l’imprimeur de payer leur facture d’impression, laquelle mise en demeure est toujours accompagnée d’une baisse forcée du tirage. Une situation qui arrange cette mafia de la publicité qui, non seulement accapare l’argent des annonces légales, mais ne paye pas les imprimeries de l’Etat, elles-mêmes rattachées à l’Anep. Nos sources révèlent aussi que ces imprimeries ne font aucun effort pour recouvrer leurs créances et que les mises en demeure envoyées à ces titres servent uniquement comme couverture juridique pour ne pas être inquiétées au cas où ces pratiques mafieuses venaient à être découvertes. L’affaire du journal El Adjoua (traduit par ses propriétaires Les climats, sur une enseigne donnant sur le boulevard Colonel Amirouche, à Alger) n’est que la partie émergée de l’iceberg. Si El Adjoua n’appartient plus à Miloud Chorfi, qui l’a racheté ? Si Miloud Chorfi n’en est plus le propriétaire, à quel nom a été attribué l’agrément pour sa publication ? Miloud Chorfi a-t-il revendu l’agrément alors qu’il n’en a pas le droit ? Qui a décidé de transférer de telles sommes faramineuses à ce journal à très faible tirage ainsi qu’à d’autres titres de petite envergure ? Une chose est sûre : tout cela n’aurait pas pu se faire sans l’aval du colonel Fawzi, aujourd’hui objet d’une enquête dont l’élément déclencheur a été sa proximité suspecte avec Hichem Aboud qui a lui aussi bénéficié des «largesses» de cet officier, soit près de quatre milliards en quatre mois d’existence seulement. Une question demeure posée : comment ces pratiques mafieuses ont-elles pu exister durant toutes ces années, sans que le ministère de la Communication ou le parquet réagissent pour y mettre fin et traduire les coupables en justice ? L’enquête du DRS nous le dira.
          M. Aït Amara
          Othmane BENZAGHOU

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          • #20
            AP Article
            "Algérie patriotique" veut nous faire redécouvrir l'eau chaude, alors que toutes les pratiques citées dans cet article sont connues depuis belle lurette...

            et puis "l'élément déclencheur" peut être n'importe quoi (quand on veut se débarrasser de son chien...)... tiens, pourquoi pas la gaffe de l'apparition de Toufik à la télé ?

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            • #21
              @ott

              sa proximité suspecte avec Hichem Aboud
              Quand on sait que c'est Said Bouteflika qui est derrière le retour de Aboud. Said Bouteflika croyait pouvoir le manipuler, mais celui-ci à vite fait de se retourner contre lui. Pris de panique, Said Bouteflika devait effacer toute trace de ce deal, d'où les déboires judiciaires de Aboud et le limogeage du colonel Fawzi

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              • #22
                Si on comprend bien ces hypothèses, ce colonel du DRS, responsable du même service pendant les années du terrorisme, fut la cheville ouvrière au sein des services de ton ami Toufik, de la stratégie médiatique présidentielle, qui au vu des compagnes médiatiques que nous connaissons, selon ses mêmes hypothèses, n'était pas donc une réussite, pour ne pas dire autre chose. Et c'est donc, selon ses hypothèses, Said himself qui a limogé ce colonel, pour se couvrir dit on, il aurait ainsi suffisamment de pouvoir pour interférer sur les carrière au sein du DRS, et pour quel poste.

                J'ai ce désagréable sentiment, toujours à lire les mêmes, d'un fouttage de gueule généralisé...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #23
                  Gestion médiatique de la maladie de Bouteflika=====

                  Si Gestion il y a....
                  ah ces tiers mondistes,ils se prennent a gérer maintenant...,on sait tous qu'on vit le jour au jour,rien n'est analysé ou programmé.....koulla anhar o rezko...

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                  • #24
                    Il y en qui devraient s'occuper d'une gestion optimisée de leur santé mentale, avec des techniques spécifiques aux ressources rares, car les neurones semblent rationnés et vieillissants.

                    Ellah yahdi ma khlak...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #25
                      qui devraient s'occuper d'une gestion optimisée de leur santé mentale, avec des techniques spécifiques aux ressources rares, car les neurones semblent rationnés et vieillissants.====
                      plein de contradictions dans cette phrase,digne de Platon..

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                      • #26
                        Ca ne m'étonne pas au vu d'une gestion défaillante des ressources rares...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #27
                          Je pense que ce "limogé" peut être d'une grande utilité après, comme d'une grande menace.
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                          • #28
                            qui ont été créés spécialement pour détourner l’argent de la publicité institutionnelle.
                            je ne le crois pas..l'etat par ordonace oblige la publication des offres
                            alors pour noyer une offre par exemple la fameuse OPGI glisse une annoce das un journal fictif.
                            .prsonne ne lira donc le gateau des logements seront partagé en bas...puis achté sous des pretes noms et apres vendu a 5x leurs prix..ou est le DRS dans tout ça?? il n ya ni DRS ni jamel ni farid..il ya l'argent du publique qu entrain de se partager en bas dans des cercles...c'est tout...chacun prend sa chkara, il va pousser sa vie jusqu'a 75 ans avec un peu de chirurgie etehtique ensuite rien..la chkara est en dehors de sa maison..il attend la voiture funaibre qui l'emmener embeaumé en europe..las bas il sera incieré selon ces voeux..sinon on le fait et on recupére l'assurance obseque a sa place en lui collant une femme dans un lveret de famille fabriquer chez le minsitre de l'interieur dans une commune entre sidi bella et sidi fella..
                            les gens sont entrain de courir pour rien..et la terre finira par manger tout le monde..

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                            • #29
                              Si on comprend bien ces hypothèses, ce colonel du DRS, responsable du même service pendant les années du terrorisme
                              pendant les années de terrorisme c'était le colonel hadj Zoubir et non pas le colonel Fawzi.

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                              • #30
                                Pendant les années du terrorisme 1995-1997, il fut dirigé par le colonel Fawzi

                                Histoire secrète de l'Algérie indépendante
                                Othmane BENZAGHOU

                                Commentaire

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