Les services de sécurité ont interdit hier, la marche que voulait initier Ali Benhadj à Alger-Centre, en protestation contre le « non-jeûne » organisé par un groupe de personnes à Tizi Ouzou, il y a deux jours.
Les forces de l’ordre ont interdit à l’ex-numéro 2 du Front islamique du salut « FIS », Ali Belhadj, d’organiser une marche pour dénoncer «un grave antécédent, un acte de provocation et une atteinte à la morale publique».
Benhadj a été arrêté au moment où il devait commencer la marche contre ce qu’il qualifie d’ «infamie», en compagnie de dizaines de fidèles de la mosquée Ibn Badis. La marche devait conduire les protestataires jusque devant le siège de l’Assemblée populaire nationale, boulevard Zighoud-Youcef.
Ali Benhadj a déclaré à l’intention des non-jeûneurs que leur action n’avait pour unique but que de « manifester leur volonté de séparation de l’Etat » et « n’a donc aucun rapport avec un quelconque exercice de la liberté de culte ». Benhadj s’en est aussi pris au ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghoulamallah, qui avait demandé à la presse de ne pas l’interroger sur cette affaire, «la Constitution algérienne assurant le droit au culte à chacun».
Réda Mellah
mon journal
Les forces de l’ordre ont interdit à l’ex-numéro 2 du Front islamique du salut « FIS », Ali Belhadj, d’organiser une marche pour dénoncer «un grave antécédent, un acte de provocation et une atteinte à la morale publique».
Benhadj a été arrêté au moment où il devait commencer la marche contre ce qu’il qualifie d’ «infamie», en compagnie de dizaines de fidèles de la mosquée Ibn Badis. La marche devait conduire les protestataires jusque devant le siège de l’Assemblée populaire nationale, boulevard Zighoud-Youcef.
Ali Benhadj a déclaré à l’intention des non-jeûneurs que leur action n’avait pour unique but que de « manifester leur volonté de séparation de l’Etat » et « n’a donc aucun rapport avec un quelconque exercice de la liberté de culte ». Benhadj s’en est aussi pris au ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghoulamallah, qui avait demandé à la presse de ne pas l’interroger sur cette affaire, «la Constitution algérienne assurant le droit au culte à chacun».
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