L’Algérienne des eaux (ADE) a confirmé avant-hier, via un communiqué de presse, la présence, mercredi et jeudi, d’hydrocarbures dans l’eau distribuée dans de nombreux quartiers de la capitale.
Cette pollution est, selon le chargé de la communication au ministère des Ressources en eau, M. Benbouaziz, due à une fuite de mazout au niveau d’une conduite Naftal à Baraki. La faille ayant généré cette fuite à été localisée et les travaux de réparation ont été entrepris. Aucun cas de toxicologie n’a été enregistré.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Ces travaux de réparation s’étaleront sur au plus 3 jours, a indiqué Benbouaziz qui, en même temps, a tenu à rassurer quant à la potabilité de l’eau qui coule dans les robinets. Il a tenu par ailleurs à signaler qu’il n’y aura pas de perturbation dans la distribution de l’eau potable, puisqu’une solution de substitution au champ captant de Baraki déconnecté momentanément du réseau de distribution a été trouvée. Le manque à distribuer, évalué à 50 000 mètres cubes par jour, se trouve compensé par une adduction au barrage de Keddara. Notons que l’eau a commencé à sentir les hydrocarbures le mercredi passé. Ce qui n’a pas été sans indisposer les habitants de nombreux quartiers de la capitale. Le problème, à en croire le chargé de la communication au ministère des Ressources en eau, a été diligemment pris en charge. «L’alerte nous est parvenue le mercredi au soir. Nous avons de suite entrepris les vérifications et on a effectivement situé des hydrocarbures mélangés à l’eau au niveau de la prise d’eau d’El Harrach. On a de suite suspendu l’alimentation de cette prise d’eau par le champ captant de Baraki. Les investigations nous ont permis de situer exactement la faille et d’entamer les réparations », a expliqué Benbouaziz. Les quartiers d’Alger touchés par cette pollution de l’eau potable ont été logiquement ceux de la rive est, à l’instar de Magharia, Hussein Dey, Kouba, Gué-de- Constantine, Bourouba et Bachdjarrah mais aussi ceux du centre, Sidi M’hamed et Alger-Centre et enfin ceux des hauteurs, El Biar, Ben Aknoun, Hydra, El Mouradia, El Madania et Bir-Mourad-Raïs, et plus loin, Birkhadem.
- Le Soir d'Algerie
Cette pollution est, selon le chargé de la communication au ministère des Ressources en eau, M. Benbouaziz, due à une fuite de mazout au niveau d’une conduite Naftal à Baraki. La faille ayant généré cette fuite à été localisée et les travaux de réparation ont été entrepris. Aucun cas de toxicologie n’a été enregistré.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Ces travaux de réparation s’étaleront sur au plus 3 jours, a indiqué Benbouaziz qui, en même temps, a tenu à rassurer quant à la potabilité de l’eau qui coule dans les robinets. Il a tenu par ailleurs à signaler qu’il n’y aura pas de perturbation dans la distribution de l’eau potable, puisqu’une solution de substitution au champ captant de Baraki déconnecté momentanément du réseau de distribution a été trouvée. Le manque à distribuer, évalué à 50 000 mètres cubes par jour, se trouve compensé par une adduction au barrage de Keddara. Notons que l’eau a commencé à sentir les hydrocarbures le mercredi passé. Ce qui n’a pas été sans indisposer les habitants de nombreux quartiers de la capitale. Le problème, à en croire le chargé de la communication au ministère des Ressources en eau, a été diligemment pris en charge. «L’alerte nous est parvenue le mercredi au soir. Nous avons de suite entrepris les vérifications et on a effectivement situé des hydrocarbures mélangés à l’eau au niveau de la prise d’eau d’El Harrach. On a de suite suspendu l’alimentation de cette prise d’eau par le champ captant de Baraki. Les investigations nous ont permis de situer exactement la faille et d’entamer les réparations », a expliqué Benbouaziz. Les quartiers d’Alger touchés par cette pollution de l’eau potable ont été logiquement ceux de la rive est, à l’instar de Magharia, Hussein Dey, Kouba, Gué-de- Constantine, Bourouba et Bachdjarrah mais aussi ceux du centre, Sidi M’hamed et Alger-Centre et enfin ceux des hauteurs, El Biar, Ben Aknoun, Hydra, El Mouradia, El Madania et Bir-Mourad-Raïs, et plus loin, Birkhadem.
- Le Soir d'Algerie
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