Le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) condamne la complicité du régime raciste d’Alger qui ne rate aucune occasion pour prêter main forte aux agresseurs des populations non arabophones comme ce fut le cas dans le Mzab.
Des Touaregs se font massacrer à Bordj Badji Mokhtar, par des arabes sous l’œil vigilant du pouvoir algérien.
Ce n’est pas la première fois que ces populations amazighes du Sud d’Algérie sont victimes de tels actes criminels. Nombres d’observateurs et de témoins attestent et accusent Alger d’être derrière ces violences qui sèment les graines d’un génocide.
Le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) condamne la complicité du régime raciste d’Alger qui ne rate aucune occasion pour prêter main forte aux agresseurs des populations non arabophones comme ce fut le cas dans le Mzab.
Tout en apportant son soutien aux touaregs qui subissent les affres du racisme, le MAK interpelle les instances internationales afin d’assumer leur mission sécuritaire qui consiste à protéger les populations civiles contre les massacres collectifs.
Ce conflit, provoqué par "une simple tentative de vol dans un magasin", selon l’explication irresponsable du wali d’Adrar qu’il a qualifié de conflit tribal, est une preuve supplémentaire que l’Algérie abrite une multitude de peuples qu’il faut reconnaître afin d’assurer une cohabitation dans la paix.
MAK
Des Touaregs se font massacrer à Bordj Badji Mokhtar, par des arabes sous l’œil vigilant du pouvoir algérien.
Ce n’est pas la première fois que ces populations amazighes du Sud d’Algérie sont victimes de tels actes criminels. Nombres d’observateurs et de témoins attestent et accusent Alger d’être derrière ces violences qui sèment les graines d’un génocide.
Le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) condamne la complicité du régime raciste d’Alger qui ne rate aucune occasion pour prêter main forte aux agresseurs des populations non arabophones comme ce fut le cas dans le Mzab.
Tout en apportant son soutien aux touaregs qui subissent les affres du racisme, le MAK interpelle les instances internationales afin d’assumer leur mission sécuritaire qui consiste à protéger les populations civiles contre les massacres collectifs.
Ce conflit, provoqué par "une simple tentative de vol dans un magasin", selon l’explication irresponsable du wali d’Adrar qu’il a qualifié de conflit tribal, est une preuve supplémentaire que l’Algérie abrite une multitude de peuples qu’il faut reconnaître afin d’assurer une cohabitation dans la paix.
MAK
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