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CONFISCATION DU POUVOIR PAR LE CLAN BOUTEFLIKA : le double levier de l’argent et de l’information

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  • #16
    Lui aussi il est le candidat du consensus, et lui aussi passera au premier tour, comme Sellal. Aller pour arranger une n-ième contradiction, il y aura le poste de vice président pour le plus jeune, comme ça, il seront tout deux candidat du consensus. Le verbiage journalistique est pour une certaine consommation, et certains ont l'air d'en raffoler... savoure...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      Un régne sans partage!!!! Ah bon, et ton candidat Ouyahia, il était dnas le clan présidentiel, et Benflis aussi était un fidèle parmis les fidèles, la réforme constitutionnelle de 2006 bloquée, par la main de dieu? sans parler de l'appareil exécutif et administratif dont les équilibres sont une science obscure inventée en Algérie...

      Le comble de la contradiction, c'est que d'un cote on parle de consensus, entre qui,Bouteflika et Boutef, ou entre Said et Abdelaziz, et d'un autre cote, on s'offusque a la moindre allusion aux pauvres militaires, ronges par le devoir et les obligations, et la securite du pays, bien evidement...
      Dernière modification par ott, 04 septembre 2013, 15h21.
      Othmane BENZAGHOU

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      • #18
        Mais quelle malhonnêteté intellectuelle, tu nous présentes des pions (tnouha Ouyahia et Benflis) sans pouvoir, vulgairement manipulés par fakhamatouhou, pour des acteurs politiques tenant la dragée haute au despote. Quelles balivernes. l’absurdité poussé à son stade ultime. Tu parles d'équilibre au sein du pouvoir adminitratif et exécutif, alors qu'il lui ont toujours obéit au doigt et l’œil à l'image de l'organisation des élections. Nous faire croire que la réforme de la constitution, n'avait pas pour seul objectif que de faire sauter la limitation des mandat, T le seul à le croire.
        Le candidat du consensus sera celui sorti d'un consens au sein du clan néo-oujda, mais le dernier mot reviendra à la fratrie Bouteflika. Et tout indique que se sera Sellal. Pour l'article sur Hamrouche, c'était pour te faire plaisir, car perso je ne croie même pas à sa candidature.
        Dernière modification par éliamine, 04 septembre 2013, 17h26.

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        • #19
          A lire tes dégressions, le consensus n'est aps pas une invention du clan de Ouejda, tu nous sors mieux, il est un consensus recherxché à l'intérieur de ce clan, qui à t'enendre aurait déjà plusieurs candidats. Et c'est le candidat des Bouteflika qui gagnerait à l'intérieur du clan de Ouejda... Ce glissement verbal est assez significatif, car ce que certains opposants appellent le pouvoir depuis 62, est assimilé maintenant au clan de Ouejda et son terrible représentant. Il suffira d'abbatre ce clan de Ouejda, et son représentant pour en finir donc avec le système qui perdure depuis 62...

          On nous prend vraiement pour des gogols...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #20
            certes à lui seul, la chute du clan néo-oujda (même si je n'y croie guère ayant démontré des capacité machiavélique à rebondir), ne règlera pas tout les problèmes car il faudra du temps, sans oublié qu'il a truffé les institutions par ses agents.
            Mais se sera un début vers le recouvrement de la crédibilité des institutions de la République.
            le seul grain de sable qui pourrait mettre à plat le scénario concocter par le clan néo-oujda est une intervention américaine pour imposer leur propre scénario dans le cas où il ne seront pas convaincu par le scénario du clan néo-oujda.
            Dernière modification par éliamine, 04 septembre 2013, 17h48.

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            • #21
              En Algérie, la presse n'est pas tout à fait libre. Pour vivre, elle doit composer avec le pouvoir despotique. De ce fait, le journalisme d'investigation ne peut exister tant il peut déranger ( déstabiliser ) les équilibres précaires en place. La presse est souvent manipulée de façon consentante par l'un ou l'autre des clans du pouvoir despotique.
              C'est une contre vérité qui d'ailleurs est facilement vérifiable. Il suffit de lire par exemple une grande partie de la presse francophone' qui ne cesse de baver sur le pouvoir, sur l'armée, sur le DRS, sur X ou Y pour s'en convaincre . De plus ces journaleux sont d'une médiocrité criante, ils ne font qu'extrapoler, inventer, se contredire, exagérer, rajouter. Ne jamais oublié que certains d'entre eux sont des soutiens inconditionnels de l'Otan, certains n'hésitaient même pas à réclamer son intervention en Algérie, ce qui représente un grave crime de haute trahison.

              Quant à la presse arabophone, toute aussi ubuesque, d'une incompétence déconcertante, d'un degré proche des caniveaux.

              Dans un pays ou le pouvoir est despotique, tous les patrons de ces journaux seraient liquidés et toute la presse chanterait les louanges du pouvoir. Il n'y aurait aucune fuite sur la corruption, les Algériens ne seraient ni au courant de l'affaire Sonatrach, ni de l'affaire de l'autoroute est ouest, ni des autres magouilles d'ailleurs.
              “Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu

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