Le tribunal pénal près la cour d’Alger a programmé une affaire de drogue assez particulière pour qu’elle soit traitée incessamment.
La particularité de cette affaire est due au fait que l’accusé principal n’est autre que le fils de l’ex-numéro deux du FIS dissous, à savoir Ali Belhadj. Des sources judiciaires proches de ce dossier ont indiqué que le fils de l’ex-leader islamiste n’était pas seul dans cette affaire car il a été arrêté en compagnie de l’un de ses amis, à savoir B. Abdellah. Il y a lieu de signaler que cette affaire avait été déjà traitée par le tribunal correctionnel d’Hussein Dey avant que ce même tribunal ne statue dans cette affaire en condamnant les deux accusé à une peine d’une année de prison ferme et une amende forfaitaire d’une valeur de 50 000 dinars. Il a été indiqué que les chefs d’inculpation retenus à l’encontre des deux accusés dans cette affaire sont : possession de drogue et agression physique contre des agents de police en faction, possession d’arme blanche prohibée sans aucune raison légale valable.
Deux autres accusés dont les noms avaient figuré dans cette affaire et qui avaient été arrêtés avec les deux condamnés avaient bénéficié d’un acquittement lors de leur premier procès tenu au niveau du tribunal d’Hussein Dey. Les tenants et les aboutissants dans cette affaire remontent à quelques jours lorsque les quatre compagnons étaient à bord d’un véhicule de marque Chevrolet. Lorsque les quatre hommes étaient arrêtés dans un barrage des forces de sécurité pour un contrôle d’identité routinier, l’un des occupants de la voiture à bord de laquelle était le propre fils de l’ex-leader du FIS avait insulté l’un des policiers qui les avait arrêtés avant de prendre la fuite. Du coup, les éléments de la police les avait suivis, à bord de Land Rover et ce n’est que lorsque ceux-ci les ont arrêtés qu’ils se sont rendus compte suite à un contrôle d’identité que l’un des occupants du véhicule n’était autre que le propre fils de Ali BelHadj. L’histoire ne s’est pas arrêtée là en effet car une fois arrêtés par les forces de sécurité, les occupant de ladite voiture étaient prêts à en découdre. Les occupants de cette voiture sont descendus avant de se battre avec les éléments de la police, quatre d’entre eux avaient été blessés et avaient eu droit à des certificats médicaux d’une invalidité et d’un arrêt de travail de douze jours. Lorsque les policiers avaient arrêté les quatre accusés ils avaient découvert à bord du véhicule une arme blanche, une quantité de cannabis, et de l’alcool. Ces produits ont été pris comme étant des pièces à conviction lesquelles avaient été utilisées à l’encontre des occupants de ce véhicule lors du procès qui a eu lieu il y a quelques jours au tribunal correctionnel d’Hussein Dey. Les avocats de la défense des deux accusés qui avaient été condamnés à une année de prison ferme au terme d’un premier procès avaient décidé de soumettre un pourvoi en cassation auprès du procurer de la République pour que l’affaire soit programmée de nouveau pour être jugée par le tribunal pénal près la cour d’Alger. Il y a lieu de signaler que l’avocat du fils de Ali Belhadj n’est autre que son oncle paternel c’est-à-dire le propre frère de l’ex- leader islamiste.
Par Azouaou Mahiout
La particularité de cette affaire est due au fait que l’accusé principal n’est autre que le fils de l’ex-numéro deux du FIS dissous, à savoir Ali Belhadj. Des sources judiciaires proches de ce dossier ont indiqué que le fils de l’ex-leader islamiste n’était pas seul dans cette affaire car il a été arrêté en compagnie de l’un de ses amis, à savoir B. Abdellah. Il y a lieu de signaler que cette affaire avait été déjà traitée par le tribunal correctionnel d’Hussein Dey avant que ce même tribunal ne statue dans cette affaire en condamnant les deux accusé à une peine d’une année de prison ferme et une amende forfaitaire d’une valeur de 50 000 dinars. Il a été indiqué que les chefs d’inculpation retenus à l’encontre des deux accusés dans cette affaire sont : possession de drogue et agression physique contre des agents de police en faction, possession d’arme blanche prohibée sans aucune raison légale valable.
Deux autres accusés dont les noms avaient figuré dans cette affaire et qui avaient été arrêtés avec les deux condamnés avaient bénéficié d’un acquittement lors de leur premier procès tenu au niveau du tribunal d’Hussein Dey. Les tenants et les aboutissants dans cette affaire remontent à quelques jours lorsque les quatre compagnons étaient à bord d’un véhicule de marque Chevrolet. Lorsque les quatre hommes étaient arrêtés dans un barrage des forces de sécurité pour un contrôle d’identité routinier, l’un des occupants de la voiture à bord de laquelle était le propre fils de l’ex-leader du FIS avait insulté l’un des policiers qui les avait arrêtés avant de prendre la fuite. Du coup, les éléments de la police les avait suivis, à bord de Land Rover et ce n’est que lorsque ceux-ci les ont arrêtés qu’ils se sont rendus compte suite à un contrôle d’identité que l’un des occupants du véhicule n’était autre que le propre fils de Ali BelHadj. L’histoire ne s’est pas arrêtée là en effet car une fois arrêtés par les forces de sécurité, les occupant de ladite voiture étaient prêts à en découdre. Les occupants de cette voiture sont descendus avant de se battre avec les éléments de la police, quatre d’entre eux avaient été blessés et avaient eu droit à des certificats médicaux d’une invalidité et d’un arrêt de travail de douze jours. Lorsque les policiers avaient arrêté les quatre accusés ils avaient découvert à bord du véhicule une arme blanche, une quantité de cannabis, et de l’alcool. Ces produits ont été pris comme étant des pièces à conviction lesquelles avaient été utilisées à l’encontre des occupants de ce véhicule lors du procès qui a eu lieu il y a quelques jours au tribunal correctionnel d’Hussein Dey. Les avocats de la défense des deux accusés qui avaient été condamnés à une année de prison ferme au terme d’un premier procès avaient décidé de soumettre un pourvoi en cassation auprès du procurer de la République pour que l’affaire soit programmée de nouveau pour être jugée par le tribunal pénal près la cour d’Alger. Il y a lieu de signaler que l’avocat du fils de Ali Belhadj n’est autre que son oncle paternel c’est-à-dire le propre frère de l’ex- leader islamiste.
Par Azouaou Mahiout
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