C'est aussi un parti qui a usurpé la révolution du peuple..... ses membres se croient toujours au maquis, à peine s'ils n'accusent pas les autres d’être des harka.
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EXCLUSIF : la main tendue du FLN à Hocine Aït Ahmed
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Il faut que je retrouve la vidéo qui montre des femmes en hayek en train de donner leurs bijoux à ce sandou9...... c’était une époque ou tout le monde croyait en l'avenir de l’Algérie.
Après la Révolution, il n'y avait pas de but. Chacun pensait comme il voulait et mettait ce qu'il voulait dans la Révolution. Et Ben Mhidi a été très lucide quand il a dit qu'après la Libération, il y aura de gros problèmes.
C'est dur la gestion du quotidien.
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Au contraire, il y avait un but après la révolution et tous y croyait, malheureusement, certains avaient un autre but et étaient frais -puisqu’ils n'ont jamais combattu- et armés.Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha
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C'est juste mon avis.
Mais pour moi, une très grande majorité (pour ne pas dire la quasi-totalité) des gens n'ont aucun but.
C'est pour ça que tu vois des gens se convertir soudainement et devenir extrémiste : il essaie de se donner un but. Comme j'ai vu à la télé, un rebelle syrien qui avant allait à l'université et draguait 10 filles à l'heure devenir islamiste d'un coup.
Et je dirais même que travailler pour autre chose que ton pays n'a aucun sens puisque c'est ton pays qui assurera ta sécurité, te nourrira, te donnera de la fierté et travaillera pour tes enfants.
Sur ce, j'y vais car il se fait tard.Dernière modification par Louny, 30 septembre 2013, 01h38.
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Envoyé par LounyC'est pour ça que tu vois des gens se convertir soudainement et devenir extrémiste : il essaie de se donner un but. Comme j'ai vu à la télé, un rebelle syrien qui avant allait à l'université et draguait 10 filles à l'heure devenir islamiste d'un coup.
Envoyé par LounyEt je dirais même que travailler pour autre chose que ton pays n'a aucun sens puisque c'est ton pays qui assurera ta sécurité, te nourrira et te donnera de la fierté.Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha
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El MOURADIA sur les conseils de Bariz qui nous a concocté le plan de démolition du DRS - merci les amis - continue à appliquer les consignes. Les socialistes et francs-maçons font repêcher pour l'histoire l'exilé suisse.Dernière modification par ott, 30 septembre 2013, 08h48.Othmane BENZAGHOU
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AIT AHMED-BOUTEFLIKA : la connivence confirmée
Algérie Express le lundi 30 septembre 2013 09:25
Écrit par Ali Graïchi
C’est une lettre signée par Amar Saadani, SG du FLN et adressée à Hocine Ait Ahmed, publiée hier soir par le journal électronique TSA, qui scelle officiellement les contacts connus, mais officiellement niés, entre le chef de l’Etat et le responsable du FFS.
Sans être une surprise, le ralliement du désormais ex-parti de l’opposition au cercle présidentiel permet une lecture a posteriori plus claire des évolutions des positions et déclarations ou des silences du FFS.
On se souvient du soutien actif apporté au pouvoir par Ait Ahmed lors des manifestations organisées par l’opposition en 2011. Par la suite, le FFS s’était engagé dans des législatives avec des résultats dans lesquels plusieurs observateurs avaient vu une rétribution généreuse pour une précieuse collaboration dans une période où avaient sombréplusieurs régimes despotiques. La participation était d’autant plus appréciée que le scrutin biaisé avait été condamné par l’opposition et boycotté par les citoyens. Vint ensuite l’apparition d’un discours puisant dans la vulgate du FLN tous les slogans invoquant les menaces extérieures pesant sur la nation, ce qui était une façon implicite de renier toute activité dans l’opposition… Arriva enfin le silence sur tous les abus et violations commis par le pouvoir depuis deux ans et qui s’est conclu par la reconnaissance annoncée des victimes du maquis de 1963.
La lettre paraphée par Saadani, dont copie est transmise à Bouteflika, salue l’ancien combat d’Ait Ahmed,passe sous silence ses périodes de l’opposition avant delui demander une rencontre et solliciter ses conseils malgré sa retraite officielle. N’hésitant pas à prendre quelque liberté avec la réalité, Ait Ahmed qui fut vilipendé par le régime pour ses appels aux organisations internationales à s’impliquer dans la crise algérienne dans les années 90,est salué par l’auteur de la correspondance pour son engagement en faveur de la « non-ingérence dans les affaires algériennes. »
Ce rapprochement entamé de longue date rencontre toutes sortes d’interprétations. Pour des dissidents du FFS, Ait Ahmed, très fatigué et prisonnier de tentations peu avouables, est otage de groupes affairistes qui ont progressivement infiltré le parti avant d’en prendre le contrôle pour se liguer avec les factions véreuses du cercle présidentiel. Bouteflika et Ait Ahmed, impotents, serviraient en quelques sortes d’alibis à deux pègres.
Des analystes extérieurs (voir la chronique de Hassan Talbi) voient dans ce compromis contre-nature le deal de deux hommes qui visent à réintroduire dans le jeu politique Mouloud Hamrouche (déjà approché par Bouteflika) ; une manière pour les « Romains » de prendre leur revanche sous couvert de compromis historique, le tout avec la bénédiction de certaines puissances occidentales.
D’autres commentateurs, plus sévères, reprochent à Ait Ahmed de se fourvoyer avec un parti qu’il a combattu en entraînant à la mort des centaines d’hommes au moment où cette formation développe une politique régionaliste, prédatrice et liberticide qu’elle n’avait pas osé assumer en 1962 .
La vérité est probablement une synthèse de l’ensemble de ces données.
Ali GraïchiOthmane BENZAGHOU
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