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Sellal, Khadra et Khalida

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  • #16
    Résister en tant que ministre à 5 chefs du gouvernement dans une période où les militaires étaient en première ligne de la vie politique ne semble pas t'interloquer outre mesure. Libre à toi de ne pas te poser de questions...
    Libre à toi si ta logique te dicte que toute personne ayant occupé de hautes fonctions à cette époque était liée aux service. Hidouci, aujourd'hui exilé en France, était aussi ministre à cette époque, était-il lui aussi lié aux services ? (et Boudiaf ?)
    Pour ma part, je considère que c'était une période à haut risque pour le pays et que tout Algérien avait le devoir de servir son pays... Il fallait bien une autorité pour sortir le pays de la crise et à cette époque, la seule institution qui fonctionnait était l'ANP.
    Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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    • #17
      Benbitour est l'un des meilleurs candidat jusqu'a présent, parce qu'il a été l'un des premier a dénoncer les dérives du régime Boutef, et parce qu'il n' a pas attendu le feu vert des décideurs pour se présenter, il s'est dirigé directement au peuple, il a cherché son sontien .

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      • #18
        Libre à toi si ta logique te dicte que toute personne ayant occupé de hautes fonctions à cette époque était liée aux service. Hidouci, aujourd'hui exilé en France, était aussi ministre à cette époque, était-il lui aussi lié aux services ? (et Boudiaf ?)
        Pour ma part, je considère que c'était une période à haut risque pour le pays et que tout Algérien avait le devoir de servir son pays... Il fallait bien une autorité pour sortir le pays de la crise et à cette époque, la seule institution qui fonctionnait était l'ANP.
        Hidouci est interdit de séjour, d'après ses dires, et il fut membre du gouvernement Hamrouche, demis par un premier coup d'état de Nezzar envers Chadli en Juin 1991, qui a imposé comme Chef du gouvernement Ghozali.

        Ce sont des histoires du passé, et le contexte de l'époque n'est pas celui d'aujourd'hui. Les enjeux de l'époque aussi, et l'Algérie ne doit pas être figé dans son passé et dans les problèmes du passé, mais penser à son avenir.

        Le sujet de la gouvernance se pose avec accuité 20 ans après le coup d'état militaire. Le rôle des militaires aussi, considéré par certains comme l'essence de la nation... Benbitour lui même en parle dans son programme, mais n'a aps les moyens de ses paroles...
        Othmane BENZAGHOU

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