TSA - mardi, 05 novembre 2013 18:07
Le FFS veut d’abord un consensus national avant de parler d’élections présidentielles
Imene Brahimi
Ahmed Betatache, Premier secrétaire du FFS, était ce mardi 5 novembre dans la commune d'Ait Yahia, à Tizi Ouzou, où il a pris part au recueillement sur la tombe de Mbarek Mahiou, ancien membre de la direction du FFS, assassiné en 1995. M. Betatache a une nouvelle fois confirmé que son parti ne pense pas encore aux présidentielles.
« Au FFS nous militons pour un consensus national autour d'un État de droit et d'un système de gouvernance qui permettra au citoyen de recouvrer ses droits », a-t-il déclaré. Il a expliqué que « les élections présidentielles ne sont pas portées dans l'agenda du FFS ». Ahmed Betatache a soutenu que le consensus auquel veut aboutir le FFS ne sera nullement autour d'une personne, à l'occasion d'une échéance électorale mais, autour d'une solution globale et pacifique à la crise que vit le pays. Un consensus qui pourra se faire à travers un dialogue avec toutes les tendances politiques du pays, a-t-il souligné. Cette démarche est issue, a-t-il rappelé, du 5e congrès du FFS.
Lors de sa précédente sortie médiatique, samedi dernier, Ahmed Betatache avait déjà déclaré qu'il était encore tôt de parler des présidentielles de 2014. « La décision reviendra aux cadres du parti après consultations », avait-il expliqué.
Le FFS veut d’abord un consensus national avant de parler d’élections présidentielles
Imene Brahimi
Ahmed Betatache, Premier secrétaire du FFS, était ce mardi 5 novembre dans la commune d'Ait Yahia, à Tizi Ouzou, où il a pris part au recueillement sur la tombe de Mbarek Mahiou, ancien membre de la direction du FFS, assassiné en 1995. M. Betatache a une nouvelle fois confirmé que son parti ne pense pas encore aux présidentielles.
« Au FFS nous militons pour un consensus national autour d'un État de droit et d'un système de gouvernance qui permettra au citoyen de recouvrer ses droits », a-t-il déclaré. Il a expliqué que « les élections présidentielles ne sont pas portées dans l'agenda du FFS ». Ahmed Betatache a soutenu que le consensus auquel veut aboutir le FFS ne sera nullement autour d'une personne, à l'occasion d'une échéance électorale mais, autour d'une solution globale et pacifique à la crise que vit le pays. Un consensus qui pourra se faire à travers un dialogue avec toutes les tendances politiques du pays, a-t-il souligné. Cette démarche est issue, a-t-il rappelé, du 5e congrès du FFS.
Lors de sa précédente sortie médiatique, samedi dernier, Ahmed Betatache avait déjà déclaré qu'il était encore tôt de parler des présidentielles de 2014. « La décision reviendra aux cadres du parti après consultations », avait-il expliqué.
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