Qui chez vous ou chez nous , parle de canabis, nous disons tous le " kif"
Iska
Iska
Le kif est une plante et le H en est la résine !!!
Un article qui se moque de cette "oustowana" dont les torchons algériens ont fait un leitmotiv
Le Maroc exporte vers l’Algérie plus de kif qu’il n’en produit annuellement
A en croire la presse algérienne le Maroc exporterait plus de kif vers l’Algérie qu’il n’en produit annuellement. Un bon hallucinogène qui lui fait voir dans le royaume la source de tous les maux de son pays. Il ne se passe pas ainsi un jour sans qu’elle ne trouve un sujet pour témoigner de son affection au Maroc.
Sa crise de régime avec la maladie de son président Bouteflika ne peut tout expliquer. Alger en difficulté sur tous les fronts, tente de focaliser l’attention sur le royaume. Il manipule trois sujets dans l’espoir de donner corps à sa campagne de diversion. La situation économique, forcément au bord du précipice, les droits de l’homme au Sahara, nécessairement « holocaustiques » et le trafic de drogue impérativement massif pour ruiner la jeunesse algérienne.
La dernière information en date est la saisie d’une quantité de 1268 kg de kif traité à Tlemcen près de la bande frontalière ouest, par les gardes-frontières. Dans une voiture vide et sans occupants. Ce qui aurait été bien dans ce cas serait de voir la tête des trafiquants et si possible leurs cartes d’identité nationale.
Mais c’est trop demander à un pouvoir dont le quotidien français Le Monde souligne « L’opacité : secret, rumeurs, bruits de cour, mise en scène, mensonges d’Etat : tout dans cette séquence de l’hospitalisation du président algérien dit la déliquescence d’un système politique à bout de souffle, rongé par la corruption et les petits jeux de pouvoir. »
Facile dès lors de comprendre que le pouvoir algérien cherche à déplacer » ce problème [qui] préoccupe actuellement l’Algérie », et à rejeter tout sur le Maroc par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui a récemment déclaré à Moscou que l’Algérie se sentait «presque visée ». Bon cœur il a souhaité « une collaboration de la part du Maroc pour lutter contre le trafic » de drogue.
Volontairement amnésique, le chef de la diplomatie algérienne refoule que Rabat n’a jamais rien fait d’autre que collaborer sur tous les dossiers qu’il s’agisse de la lutte contre la drogue, l’émigration clandestine ou encore le terrorisme. Toutes les puissances régionales et internationales sérieuses (Madrid, Paris, Washington…) en témoignent et insistent sur son sérieux et son efficacité. Seule l’Algérie s’oppose systématiquement à sa contribution. Comment oublier qu’Alger a tout fait pour agir en tête-à-tête avec quelques pays du Sahel sur les dossiers sécuritaires de la région avec pour objectif déclaré d’isoler le Maroc.
Les observateurs sérieux savent que tout dans ce domaine est lié : drogues dures et drogues douces, terrorisme et banditisme, trafic d’armes et trafic en tout genre … L’Algérie par sa politique désastreuse au plan intérieur, aventureuse au plan extérieur est une plaque tournante de cette vaste zone de non droit qu’elle a grandement contribué à créer. Ses longues frontières poreuses mis à profit par son système politique mafieux ne sont pas étrangers à tous ces drames de la région.
Par Quid.ma
A en croire la presse algérienne le Maroc exporterait plus de kif vers l’Algérie qu’il n’en produit annuellement. Un bon hallucinogène qui lui fait voir dans le royaume la source de tous les maux de son pays. Il ne se passe pas ainsi un jour sans qu’elle ne trouve un sujet pour témoigner de son affection au Maroc.
Sa crise de régime avec la maladie de son président Bouteflika ne peut tout expliquer. Alger en difficulté sur tous les fronts, tente de focaliser l’attention sur le royaume. Il manipule trois sujets dans l’espoir de donner corps à sa campagne de diversion. La situation économique, forcément au bord du précipice, les droits de l’homme au Sahara, nécessairement « holocaustiques » et le trafic de drogue impérativement massif pour ruiner la jeunesse algérienne.
La dernière information en date est la saisie d’une quantité de 1268 kg de kif traité à Tlemcen près de la bande frontalière ouest, par les gardes-frontières. Dans une voiture vide et sans occupants. Ce qui aurait été bien dans ce cas serait de voir la tête des trafiquants et si possible leurs cartes d’identité nationale.
Mais c’est trop demander à un pouvoir dont le quotidien français Le Monde souligne « L’opacité : secret, rumeurs, bruits de cour, mise en scène, mensonges d’Etat : tout dans cette séquence de l’hospitalisation du président algérien dit la déliquescence d’un système politique à bout de souffle, rongé par la corruption et les petits jeux de pouvoir. »
Facile dès lors de comprendre que le pouvoir algérien cherche à déplacer » ce problème [qui] préoccupe actuellement l’Algérie », et à rejeter tout sur le Maroc par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui a récemment déclaré à Moscou que l’Algérie se sentait «presque visée ». Bon cœur il a souhaité « une collaboration de la part du Maroc pour lutter contre le trafic » de drogue.
Volontairement amnésique, le chef de la diplomatie algérienne refoule que Rabat n’a jamais rien fait d’autre que collaborer sur tous les dossiers qu’il s’agisse de la lutte contre la drogue, l’émigration clandestine ou encore le terrorisme. Toutes les puissances régionales et internationales sérieuses (Madrid, Paris, Washington…) en témoignent et insistent sur son sérieux et son efficacité. Seule l’Algérie s’oppose systématiquement à sa contribution. Comment oublier qu’Alger a tout fait pour agir en tête-à-tête avec quelques pays du Sahel sur les dossiers sécuritaires de la région avec pour objectif déclaré d’isoler le Maroc.
Les observateurs sérieux savent que tout dans ce domaine est lié : drogues dures et drogues douces, terrorisme et banditisme, trafic d’armes et trafic en tout genre … L’Algérie par sa politique désastreuse au plan intérieur, aventureuse au plan extérieur est une plaque tournante de cette vaste zone de non droit qu’elle a grandement contribué à créer. Ses longues frontières poreuses mis à profit par son système politique mafieux ne sont pas étrangers à tous ces drames de la région.
Par Quid.ma
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