« Qu’ont-ils en commun, l’Algérie, la Chine, Cuba, la Russie et le Vietnam ? » La question ainsi posée par le Boston Globe, grand quotidien de la côte est-américaine, a le mérite de la clarté. Ces six États, rappelle le Boston Globe dans son éditorial de ce lundi 25 novembre, ont été élus au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
Cette fois-ci, c’est la presse américaine qui rappelle que pour l’ONG Freedom House, ces six États dont l’Algérie ne sont pas "libres". Le quotidien américain, dans son énumération, oublie le Maroc parmi les pays également élus dans ce conseil et où les Droits de l’Homme laissent à désirer. Le royaume chérifien siègera, lui aussi, pour une durée de trois ans dans cette enceinte où les principes de liberté individuelle sont d’abord bafoués par les États qui la composent.
« Une fois encore, l’ONU a renforcé le point de vue des cyniques et des pessimistes, pour qui ce Conseil des droits de l’Homme, fonctionne comme un club d’autoritaires et de dictateurs, plus intéressés à nier les droits de l’Homme qu’à les développer », écrit le Boston Globe.
Le journal américain de rappeler, que si l’adhésion à l’Assemblée générale des Nations Unies est ouverte à tous les États membres, « le Conseil des droits de l’Homme est supposé réservé aux pays qui défendent les plus hauts standards de la promotion et de la protection des droits de l’Homme...»
En conclusion, le quotidien bostonien appelle la nouvelle ambassadrice américaine à l’ONU, si sensible à ces questions, à se mobiliser pour ne pas laisser ce club des six, imposer ses vues.
TSA
Hayet Zitouni
Cette fois-ci, c’est la presse américaine qui rappelle que pour l’ONG Freedom House, ces six États dont l’Algérie ne sont pas "libres". Le quotidien américain, dans son énumération, oublie le Maroc parmi les pays également élus dans ce conseil et où les Droits de l’Homme laissent à désirer. Le royaume chérifien siègera, lui aussi, pour une durée de trois ans dans cette enceinte où les principes de liberté individuelle sont d’abord bafoués par les États qui la composent.
« Une fois encore, l’ONU a renforcé le point de vue des cyniques et des pessimistes, pour qui ce Conseil des droits de l’Homme, fonctionne comme un club d’autoritaires et de dictateurs, plus intéressés à nier les droits de l’Homme qu’à les développer », écrit le Boston Globe.
Le journal américain de rappeler, que si l’adhésion à l’Assemblée générale des Nations Unies est ouverte à tous les États membres, « le Conseil des droits de l’Homme est supposé réservé aux pays qui défendent les plus hauts standards de la promotion et de la protection des droits de l’Homme...»
En conclusion, le quotidien bostonien appelle la nouvelle ambassadrice américaine à l’ONU, si sensible à ces questions, à se mobiliser pour ne pas laisser ce club des six, imposer ses vues.
TSA
Hayet Zitouni
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