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Présidentielle 2014 : « Ouyahia est là » au cas où …

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  • #16
    Certains n'ont pas peur du ridicule. C'est un soldat de la police politique qui a imposé un président depuis l'indépendance, Benbella par Boussouf, Boumedienne qui utilise Merbah pour éliminer toute opposition, ce même Merbah qui impose Chadli, destitué par cette même police politique, après qlq coups d'états ratés dans les années 80, puis nous impose une vonfrontation frontale avec les islamistes, nous ramène Bouteflika en 1994, qui fait faux bond, obligé de charger le ministre de la défense, Zeroual de l'intérim, puis nous ramène Bouteflika en 1999, l'impose en 2004, en 2006 refuse le poste de vice président et accepte finalement le triturage de la constitution, façon de mieux contrôler ce président, qui veut aujourd'hui nous ressortir des placards Ouyahia, qui va nous assurer la stabilité et la continuité, après qlq troubles télécommandés à Alger pour nous faire peur et nous expliquer que le système est le meilleur rempart contre l'anarchie programmée et télécommandée. Et bien évidement, faudra dire que ces troubles sont dus à un président qui veut s'imposer contre vents et marrés, qui est prêt à lettre le pays à feu et à sang pour s'imposer. Le seul hic à ce scénario, c.est que personne ne sait s'il se présentera, et là y une verrue qu'il faudra gérer au moment voulu...

    La farce du jour est que le DRS est pour la démocratie et le choix du peuple. Ave Cesar...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      Quelle mensonge, Boussouf n'a en aucun cas pu imposer Benbella, car depuis 1960, et la nomination de Boumedienne à l'EMG, Boussouf était complètement isolé , et les éléments de MALG ont vite fait de rejoindre le puissant du moment en la personne de Boumedienne. Merbah n'a pas imposé Chadli, étant donné que c'était une décision collegiale, et n'a fait que ce rallié à la majorité, je T déja répondu en détaille sur cette Histoire.
      Ton analyse sur la logique du pouvoir sous fakhamatouhou est totallement incompréhensible, si Ouyahia était véritablement une option pour quoi ne l'ont il pas imposé comme vice-président, celà leur aurait grandement facilité la mise en place de leur plan.

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      • #18
        Ah bon, tu oses nous affirmer que Boumedienne, qui était assis par terre à coté de Boussouf à Ouejda a dès 1960 liquidé Boussouf. Tu en as de ces blagues... comme celle de Merbah qui est presque innocent, ,n'ayant fait qu'adouber l'arrivée de Chadli...

        Concernant Ouyahia, Bouteflika ne voulait pas d'Ouyahia en vice président, déjà qu'en tant que premier ministre....
        Othmane BENZAGHOU

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        • #19
          Pour arbitrer entre Ott et Eliamine:

          Ce que s'est dit à l'époque, c'est que Kasdi Merbah aurait remis à Rabah Bitat la carte de visite de Chadli en lui disant : " c'est la carte à jouer ". Ce serait Rabah Bitat, homme historique du FLN et président de l'APN qui aurait influencé les décideurs pour choisir Chadli.

          Eliamine a raison, la décision était collégiale.

          Ott a également raison de pointer du doigt Kasdi Merbah puisque c'est lui qui aurait suggéré la personne de Chadli.

          P.

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          • #20
            Je pense que seul un candidat des classes populaires, qui sont constituées d'une majorité écrasante de salariés, est valable. Le peuple algérien avait combattu pour une Algérie de justice sociale, d'égalité et anti-impérialiste, de dignité pour tous et de démocratie réelle.

            Demeurer à la remorque de nos anciens ennemis, dont le système impérialiste mondial, ne sera jamais une solution; Nous avions lutté contre le colonialisme dont le fondement économique et idéologique était le capitalisme; Pourquoi aujourd’hui nous nous soumettons aux "règles" capitalistes ?? Donc, nous capitulons devant l'ancien ennemi d'une manière détournée ??

            A mon avis, tous ceux qui prônent le libéralisme économique ne sont pas pour le développement et l'indépendance véritable de l'Algérie !!!

            Alors pour quel intérêt faire l'hypocrite ??

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            • #21
              Si j'ai bien compris en dehors du sérail de ceux qui ont toujours décidé point de salut !!

              Bref la vie continue !!

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              • #22
                @ott

                Ah bon, tu oses nous affirmer que Boumedienne, qui était assis par terre à coté de Boussouf à Ouejda a dès 1960 liquidé Boussouf. Tu en as de ces blagues... comme celle de Merbah qui est presque innocent, ,n'ayant fait qu'adouber l'arrivée de Chadli...
                Sais tu au moins que les 3B (Boussouf, Belkacem Krim et Bentobal) se sont opposés à Boumedienne et on soutenue la décision du GPRA et de Benkheda de limoger Boumedienne à la suite de l'échec du congrès Tripoli en 1962, Boussouf a boycotté la réunion de Tlemçene. Enfin ce n'est pas Kasdi Merbah qui a suggéré le nom de Chadli, mais bien les colonels Abdelghani, Belhouchet et Beloucif et je confirme Kasdi Merbah n'a fait que se rallier à la majorité et n'avait aucune capacité de s'y opposé.

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                • #23
                  @Eliamine

                  Tu as parlé de 1960, et non du congré de Tripoli en juin 1962, et jamais Boumedienne aurait osé ce qu'il a osé sans l'appui d'éléments du MALG... Les mémoires de Bentobal sortiront bientôt, et ils sont explosifs...

                  Concernant la nomination de Chadli, je t'ai déjà publié dans ce forum le témoignage d'un acteur principal de cet épisode, et il souligne bien le rôle de chef d’orchestre de Merbah.

                  A t'entendre, pour le tout puissant DRS, les pauvres, ils n'ont fait que se rallier à la dernière minute, par patriotisme, en 1962, en 1965, en 1979, en 1988, en 1992, en 1994, en 1999, en 2004 et la comme ils se sont tellement fait avoir tellement de fois, ils veulent un vrai Poutine en Algérie en 2014... quelle bande de farceurs...
                  Dernière modification par ott, 10 janvier 2014, 03h39.
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #24
                    1/ Boussouf n'a jamais imposé Ben Bella, Boussouf soutenait le GPRA lui et les 3B contre L'état major. C'est Boumédienne qui a choisi l'option Ben Bella par le bias de Bouteflika qui a visité les historiques au prison tour à tour, c'était Boudiaf le 1er choix, boudiaf a refusé, Ben bella lui a accepté.

                    2/ Taleb ibrahimi dans son dernier mémoire détaille la désignation de chadli, il désigne le général Ben yeles, Beloucif et Merbah, c'est eux qui ont imposé le choix Chadli ( bien sur avec l'aval des autres militaire "belhouchet, chef des régions, directeurs centraux"...., en général on cherche toujours le consensus dans ce genre de cas ) après qu'ils ont vu l'armée se divisait sur le duo Bouteflika/Yahiaoui .

                    وينقل نجل الشيخ البشير الإيراهيمي، في مذكراته عن العقيد قاصدي مرباح، رئيس جهاز الأمن العسكري في عهد الراحل هواري بومدين، رصده لبداية الاصطفاف خلف المرشحين المحتملين آنذاك، فيقول إن الشاذلي بن جديد وعبد الله بلهوشات، اختارا صف محمد الصالح يحياوي، في حين اختار كل من المدير العام للأمن الوطني في عهد بومدين، أحمد درايا والطيبي، أما محمد بن أحمد عبد الغني، والعقيد أحمد بن شريف (قائد الدرك الوطني)، فلم ينحازا لا لفائدة محمد الصالح يحياوي، ولا لصالح عبد العزيز بوتفليقة.

                    وأمام فشل مجلس الثورة في بلورة موقف مشفوع بالأغلبية يدعم هذا المرشح أو ذاك، خرج ثلاثي المؤسسة العسكرية (قاصدي مرباح، مصطفى بلوصيف ورشيد بن يلّس) محذّرين من خطر الاستقطاب الذي خلّفه السباق المحموم بين محمد الصاح يحياوي، وعبد العزيز بوتفليقة نحو قصر الرئاسة، على تماسك وحدة البلاد، وكتب المؤلف: "بالنسبة للضباط الثلاثة، هذه الوضعية أصبحت مصدر خطر يتهدد البلاد ويهدد وحدة الجيش، ويزرع بذور الانقسام الجهوي والعٌصبي غير المسموح به"، وقدّروا بأن الخلاص من تلك الوضعية، يكمن في إبعاد مصدر الخطر الكامن وراء الاستقطاب الثنائي، وذلك بالتفكير في طريق ثالث يمر عبر البحث عن مرشح قادر على تحقيق الإجماع.

                    ومن هذا المنطلق، وبمساعدة من بعض المديرين المركزيين في وزارة الدفاع الوطني، وأغلبية قادة النواحي العسكرية، في تجسيد الطريق الثالث، بمعنى إقصاء كل من محمد الصالح يحياوي، وعبد العزيز بوتفليقة، من السباق، ليهتدوا في الأخير إلى العقيد الشاذلي بن جديد، قائد الناحية العسكرية الثانية التي مقرها عاصمة الغرب وهران، باعتباره عضو مجلس الثورة، فضلا عن كونه الأقدم في الرتبة الأعلى في المؤسسة العسكرية.

                    Dernière modification par votrefrere, 10 janvier 2014, 04h08.

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                    • #25
                      Sais tu au moins que les 3B (Boussouf, Belkacem Krim et Bentobal) se sont opposés à Boumedienne et on soutenue la décision du GPRA et de Benkheda de limoger Boumedienne à la suite de l'échec du congrès Tripoli en 1962, Boussouf a boycotté la réunion de Tlemçene.
                      Le conflit entre l'état major et le GPRA ( qui était controlé par les 3B, benkheda et ferhat abas n'était que la facade ) datait bien avant le congrès de tripoli...l'affaire a comméncé à monter à la surface depuis l’éclatement, fin 1960, de l’affaire dite du pilote français...bien que le conflit est plus antérieur même ( divergence d'aministration et de gestion de la revolution, lutte de pouvoir pour l'après indépendence, guerre de positionnment...etc )

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                      • #26
                        Envoyé par votrefrere
                        Le conflit entre l'état major et le GPRA ( qui était controlé par les 3B, benkheda et ferhat abas n'était que la facade ) datait bien avant le congrès de tripoli...l'affaire a comméncé à monter à la surface depuis l’éclatement, fin 1960, de l’affaire dite du pilote français...bien que le conflit est plus antérieur même ( divergence d'aministration et de gestion de la revolution, lutte de pouvoir pour l'après indépendence, guerre de positionnment...etc )
                        Avec le temps, on peut chronologiquement reconstituer le puzzle.

                        15 février 1957 : première résolution de l'ONU sur la question algérienne.

                        23 octobre 1958 : La paix des braves de DE GAULLE.

                        16 septembre 1959 : Reconnaissance par DE GAULLE du droit à l'auto-détermination.

                        1960 : Plan Wybot ( Faux déserteurs en mission pour infiltrer et contrôler l'armée des frontières ).

                        25 juin 1960 : Début des négociations à MELUN.

                        A travers ces quelques dates repères, on voit bien comment, après la première résolution de l'ONU sur la question algérienne, la France est passée, avec DE GAULLE, d'une politique de colonisation directe à une autre politique de colonisation indirecte ( plan Wybot ).

                        Le reste n'est que travail des services secrets. Ils ont très bien exploité la divergence née du congrès de la SOUMAM pour torpiller le FLN ( GPRA ) et l'ALN.

                        Ben-BELLA, dans sa tombe, doit rendre compte aux valeurs martyrs tombés sur le champ d'honneur.

                        P.
                        Dernière modification par Pangeen, 10 janvier 2014, 05h46.

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                        • #27
                          Pour moi la politique de colonisation indirecte s'est concrétisé avec les accords d'Evian ( préservation des interêts français, administration, économie, militaire, essai nucluéaire, biologique et spaciale....) la maudite coopération étroite avec la France bien écrit sur les bulletin du référendum. J'en suis sur que si le peuple avait su les clauses secretes ( vu qu'on a ignoré totalement le peuple des clause secret et des ses accords...) il aurait refusé ces négociations.

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                          • #28
                            A t'entendre, pour le tout puissant DRS, les pauvres, ils n'ont fait que se rallier à la dernière minute, par patriotisme, en 1962, en 1965, en 1979, en 1988, en 1992, en 1994, en 1999, en 2004 et la comme ils se sont tellement fait avoir tellement de fois, ils veulent un vrai Poutine en Algérie en 2014... quelle bande de farceurs...
                            La SM et le DRS n'est qu'un outil dans les mains du clan puissant du momment véritable détenteur du pouvoir que se soit le clan de Oujda pendant les années 60-70s, le clan des DAF et BTS pendant les années 80s et 90s, et le clan néo-oujda C 15 dernières années. Il n'est en aucun cas la source du pouvoir mais seulement un outil et rien d'autre, l'autre outil d'influence et de contrôle est la sonatrach pour gérer la rente.


                            Tu as parlé de 1960, et non du congré de Tripoli en juin 1962, et jamais Boumedienne aurait osé ce qu'il a osé sans l'appui d'éléments du MALG
                            je ne dit pas autre chose qe ce que tu dis :depuis 1960, et la nomination de Boumedienne à l'EMG, Boussouf était complètement isolé , et les éléments de MALG ont vite fait de rejoindre le puissant du moment en la personne de Boumedienne, pour ce qui est de Tripoli c'est à ce momment que les choses sont devenues publiques, mais l'isolement effectif des 3B et la monté en puissance de Boumedienne débute en 1960, car la mort de 3 chefs charismatiques Amirouche, Si el Haoues et Lotfi, laisse l'ALN sous contôle total de Boumedienne.

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                            • #29
                              Donc, nous capitulons devant l'ancien ennemi d'une manière détournée
                              Non elghifari, c'est tout simplement parceque l'islam a un mode de fonctionnement économique proche du capitalisme: la libre entreprise, l'autorisation d'accumuler des richesse....

                              Tu crois pq le communisme a rejetté les religions.
                              l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                              • #30
                                @sud men, zinc autant pour moi je ne savais pas, je pensais que changer de chef d'état entrainait le changement du parlement avec...

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