En ces moments vitaux, mes pensées iront pour le pauvre journaliste, auteur de la dépêche, il risque gros "el batel".
Il risque sa place, son chef a donné le ton, il peut être débarqué pour cause de "force majeure".
La routine quoi, quoi de plus naturel, franchement. El fakhama, se déplaçant à Val de grâce, n'est pas un cas de force majeure, mais la routine comme d'ailleurs le piétinnage de la constitution, une routine.
Il risque sa place, son chef a donné le ton, il peut être débarqué pour cause de "force majeure".
La routine quoi, quoi de plus naturel, franchement. El fakhama, se déplaçant à Val de grâce, n'est pas un cas de force majeure, mais la routine comme d'ailleurs le piétinnage de la constitution, une routine.
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