Le président Abdelaziz Bouteflika n’aurait jamais rencontré son homologue malien, Ibrahim Boubacar Keita, lors de sa récente visite à Alger, a confié le chef du parti des centristes algériens (PCA) Mehdi Allalou.
Les images montrées par la télévision officielle ne sont qu’un montage que les techniciens peuvent facilement démasquer, a dit Allalou, un candidat aux présidentielles d’avril prochain, dans une conversation à bâtons rompus avec des journalistes, jeudi soir.
Selon lui, les autorités algériennes auraient prié le président Boubacar Keita pour ne pas révéler la vérité sur l’état de santé de Bouteflika, vœu que le chef d’Etat malien aurait exaucé par courtoisie pour le voisin du nord capable de créer de l’agitation dans le nord de son pays.
A ce propos, le chef du PCA, une petite formation politique, a encore assuré que lors de son dernier séjour parisien, Bouteflika s’est vu refuser par ses médecins un certificat d’aptitude, un document essentiel qui doit être versé dans son dossier de candidature s’il veut briguer un quatrième mandat.
D’après les confidences de Mehdi Allalou qu’il affirme détenir de sources bien placées, Abdelaziz Bouteflika a de grandes difficultés d’élocution et sa voix est devenue quasi inaudible, alors que son clan est « prêt à tuer » pour qu’il reste au pouvoir.
Il n’écarte pas la possibilité que son entourage truque les images de l’acte de dépôt du dossier de candidature auprès du Conseil constitutionnel, du fait que la loi électorale exige que tout postulant doit déposer personnellement sa demande.
Il a signifié que c’est la France qui tient désormais les ficelles en Algérie en exploitant l’infirmité de Bouteflika, accusant les renseignements français d’être derrière l’opération de démantèlement du Département du renseignement et de sécurité (DRS), les puissants services secrets algériens.
Quid.ma
Les images montrées par la télévision officielle ne sont qu’un montage que les techniciens peuvent facilement démasquer, a dit Allalou, un candidat aux présidentielles d’avril prochain, dans une conversation à bâtons rompus avec des journalistes, jeudi soir.
Selon lui, les autorités algériennes auraient prié le président Boubacar Keita pour ne pas révéler la vérité sur l’état de santé de Bouteflika, vœu que le chef d’Etat malien aurait exaucé par courtoisie pour le voisin du nord capable de créer de l’agitation dans le nord de son pays.
A ce propos, le chef du PCA, une petite formation politique, a encore assuré que lors de son dernier séjour parisien, Bouteflika s’est vu refuser par ses médecins un certificat d’aptitude, un document essentiel qui doit être versé dans son dossier de candidature s’il veut briguer un quatrième mandat.
D’après les confidences de Mehdi Allalou qu’il affirme détenir de sources bien placées, Abdelaziz Bouteflika a de grandes difficultés d’élocution et sa voix est devenue quasi inaudible, alors que son clan est « prêt à tuer » pour qu’il reste au pouvoir.
Il n’écarte pas la possibilité que son entourage truque les images de l’acte de dépôt du dossier de candidature auprès du Conseil constitutionnel, du fait que la loi électorale exige que tout postulant doit déposer personnellement sa demande.
Il a signifié que c’est la France qui tient désormais les ficelles en Algérie en exploitant l’infirmité de Bouteflika, accusant les renseignements français d’être derrière l’opération de démantèlement du Département du renseignement et de sécurité (DRS), les puissants services secrets algériens.
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