La prochaine élection présidentielle du régime d’Alger démontera à coup sûr la spécificité de la Kabylie et sa distinction des autres régions d’Algérie. Au fil des années, la Kabylie se distingue par sa particularité sociologique, politique et culturelle.
A quelques semaines de l’élection présidentielle en Algérie, la Kabylie demeure indifférente à cette échéance du régime algérien. Rares sont les personnes qui en parlent. Tout le monde est conscient de l’inutilité de ces joutes, dont l’issue se joue en dehors des urnes.
Pour la première fois depuis l’avènement de la pseudo-ouverture démocratique, aucun candidat Kabyle ne s’est manifesté pour le moment pour annoncer sa candidature, excepté un certaint Ali Fawzi Rabaïne un habitant de Tizi Wezzu mais inconnu même dans son quartier. Sinon les politiciens Kabyles de grosses pointures se sont complètement désintéressés par cette échéance. Même l’ex leader du RCD, Saïd Sadi, n’a affiché aucune volonté pour se porter candidat.
Le taux d’abstention sera sûrement élevé. Les urnes seront presque vides au soir de 17 avril prochain, date fixée par le pouvoir pour l’élection présidentielle mais étant donné que le pouvoir excelle dans l’art de la magie, en un tour de passe-passe les urnes regorgeront de bulletins de vote. Personne n’est dupe de cette supercherie. Aucun intérêt n’est accordé par la population à cette élection. Tout le monde sait que les querelles des clans au sommet de pouvoir auront toujours la même répercussion sur la Kabylie.
La prochaine élection présidentielle du régime d’Alger démontera à coup sûr la spécificité de la Kabylie et sa distinction des autres régions d’Algérie. Au fil des années, la Kabylie se distingue par sa particularité sociologique, politique et culturelle.
Qu’apporteront les prochaines élections pour cette région ? Rien. Peu importe le nom du président, la Kabylie subira toujours la politique de l’exclusion. Une politique chère à tous les colonisateurs.
Tamurt.info
A quelques semaines de l’élection présidentielle en Algérie, la Kabylie demeure indifférente à cette échéance du régime algérien. Rares sont les personnes qui en parlent. Tout le monde est conscient de l’inutilité de ces joutes, dont l’issue se joue en dehors des urnes.
Pour la première fois depuis l’avènement de la pseudo-ouverture démocratique, aucun candidat Kabyle ne s’est manifesté pour le moment pour annoncer sa candidature, excepté un certaint Ali Fawzi Rabaïne un habitant de Tizi Wezzu mais inconnu même dans son quartier. Sinon les politiciens Kabyles de grosses pointures se sont complètement désintéressés par cette échéance. Même l’ex leader du RCD, Saïd Sadi, n’a affiché aucune volonté pour se porter candidat.
Le taux d’abstention sera sûrement élevé. Les urnes seront presque vides au soir de 17 avril prochain, date fixée par le pouvoir pour l’élection présidentielle mais étant donné que le pouvoir excelle dans l’art de la magie, en un tour de passe-passe les urnes regorgeront de bulletins de vote. Personne n’est dupe de cette supercherie. Aucun intérêt n’est accordé par la population à cette élection. Tout le monde sait que les querelles des clans au sommet de pouvoir auront toujours la même répercussion sur la Kabylie.
La prochaine élection présidentielle du régime d’Alger démontera à coup sûr la spécificité de la Kabylie et sa distinction des autres régions d’Algérie. Au fil des années, la Kabylie se distingue par sa particularité sociologique, politique et culturelle.
Qu’apporteront les prochaines élections pour cette région ? Rien. Peu importe le nom du président, la Kabylie subira toujours la politique de l’exclusion. Une politique chère à tous les colonisateurs.
Tamurt.info
Commentaire