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  • #16
    Envoyé par Aloha :
    Cher El-Ghifari

    La réalité ! il faut dire la réalité et rien que la réalité et d'une manière détachée.

    il faut analyser expliquer réfléchir comprendre éclairer améliorer argumenter pour vaincre la fatalité dans laquelle certains ont clairement décidé de faire prolonger éternellement !

    Pour la première fois qu'un président algérien a eu le courage de parler au cerveaux des algériens en parlant de science il a juste eu le temps de le dire en moins d'une minute il n'était plus ...

    En hommage à cela il faut que nous soyons claires honnêtes tout court et honnête intellectuellement

    ce n'est pas le capitalisme ni rien d'autre qui fait que les algériens souffrent

    je souhaite vraiment que ce topic reste clair

    je suis entrain de préparer un papier sur les dirigeants de la science et même des soient disant "scientifiques" suffisants pour expliquer qu'il est dangereux d'instrumentaliser d'affirmer certaines choses et lorsque certains naïfs y croient ils trouvent des abonnés absents et qui ont autres choses à régler que le développement du pays.

    Des témoignages et des faits réels sont utiles

    Paralyser le pays de la sorte est digne de la plus abjecte des insultes que certains font à l'Algérie même les pays les plus totalitaires de la planète ne peuvent pas faire cela !
    Loin de moi l'idée de vouloir convaincre qui que ce soit à mon opinion, d'autant plus qu'il suffit d'apprendre un peu de science, elle qui n'accepte aucun préjugé et aussi voir la réalité d'aujourd'hui et aussi celle d'hier; Je constate que l'idéologie capitaliste a pu propager des contre-vérités dans la lecture de l'histoire et également elle a déformé des réalités et des pensées, de tous ceux qui s'opposaient au capitalisme; Comprenons bien que le capitalisme du début, à sa naissance, est totalement différent dans sa conception et sa pratique de celui d'aujourd'hui; Avant, autrefois, les premiers entrepreneurs étaient créateurs et constructeurs, ils avaient accompli un travail historique en créant et développant l'industrie, la technique etc; mais ceux d'aujourd'hui les multi-nationales, au contraire des premiers : ils font régresser le monde par leurs pratiques de spéculation boursière, de concentration de capitaux et du pouvoir politique, d'opa sur les entreprises publiques et privées, de prédation (vol) des finances des Etats, je veux dire les "privatisations" qui ne sont que de purs vols ni plus ni moins, leurs armes ne sont plus la création ni entrepreneuriat, mais le vol (privatisation), corruption (acheter et créer des partis politiques), la guerre et la violence (former des milices, des armées pour tuer et détruire des peuples et des pays, les conquérir par la guerre, la violence, les fitna, les "révolutions colorées", les coups d'Etat etc), leur anarchie de la production et leur soif de gains faciles et rapides ont détruit le progrès économique et social et tout sentiment d'humanité et de solidarité ... Ses faits sont si je puis dire de la science car ils sont réels; Leur théorie d'amélioration ou de réforme du capitalisme n'est pas vraie, elle est erronée parce que le système capitalisme est bâti sur le profit qui est son but et sa raison d'être et cela par le moyen de l'exploitation de l'homme par l'homme et le vol des richesses des pays et des peuples; l'exploitation et le vol sont illégitimes donc injustes et erronés; Cela veut dire qu'ils sont anti-scientifiques !!!
    Dernière modification par Elghifari, 29 janvier 2014, 01h13.

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    • #17
      je suis globalement d'accord sur les valeurs des premiers capitalistes

      celui qui me vient à l'esprit là c'est Godin celui qui fabriqué les poêles Godin, il a construit plein plein de choses pour tout le monde

      cet esprit n'existe plus oui

      cependant l'Algérie c'est autre chose ce n'est pas le capitalisme ni rien qui la fait tourner en rond

      c'est la folie !

      Commentaire


      • #18
        Elghifari je t'ai trouvé ça

        Je crois que c'est un livre sur lui si tu ne peux pas l'avoir chez nous je l'achète et je te l'envoie, moi je ne peux pas comprendre tout dedans


        Godin et le familistère de Guise :
        une véritable « contre-société » coopérative


        L'histoire

        [ Fondé par Jean-Baptiste André Godin (1817-1888), le familistère de Guise (1870-1968) apparaît aujourd'hui comme un des modèles les plus aboutis d'une alternative à l'entreprise capitaliste. L'objet de ce livre est de montrer qu'à travers cette formidable aventure, Godin prouve qu'il est possible de permettre à chacun de bien vivre, dans un habitat confortable et par un travail digne, où il est respecté, sans passer par la violence et sans appauvrir quiconque. En concevant cette coopérative d'habitat, de production et de consommation et cet ensemble de mutuelles et d'associations qu'est le familistère, Godin s'inscrit en rupture aussi bien avec le père de l'organisation scientifique du travail, F.W. Taylor, qu'avec la critique du capitalisme formulée par K. Marx. Ce livre démontre qu'on peut considérer Godin comme l'un des fondateurs de l'économie sociale et sans doute le plus moderne d'entre eux.
        Godin constitue en effet le principal chaînon entre le premier XIXe siècle, celui de Fourier et des utopies socialistes, et le second XIXe siècle, celui de Marx, de Taylor et de la grande industrie. Son œuvre est irréductible à la fois à la pensée libérale et fonctionnelle, et à la pensée marxiste. Elle est l'une de celles qui contribuent à l'émergence d'une pensée et d'une pratique d'économie sociale. Au sein de cette tradition, Godin occupe une place à part. Ses propositions ne concernent pas seulement les convaincus - les militants recherchant une alternative -, elles s'adressent à tous les hommes.
        Le commentaire des éditeurs

        Il peut paraître étrange de trouver dans une collection qui rassemble des témoignages directs sur des « pratiques utopiques » contemporaines, un ouvrage comme celui-ci. Que peut nous apprendre en effet une histoire née au XIXe siècle en pleine révolution industrielle, dans un contexte politique, économique, social et culturel a priori si différent du nôtre ? Quel intérêt, autre qu'historique, peut-il apporter à une réflexion sur l'alternative aujourd'hui ? En publiant ce livre, les éditions REPAS prennent le pari que le lecteur du XXIe siècle y trouvera plus d'un écho à ses propres réflexions et pratiques. Godin est un personnage hors du commun, une sorte de génie précurseur qui anticipe sur bien des points, mais c'est avant tout un praticien, c'est-à-dire un individu qui crée, agit, construit.
        [IMG]http://editionsrepas.********/images/godin-classe.jpg[/IMG]Il prouve, en ce XIXe siècle industriel, que les chemins du travail et de la production peuvent dès cette époque être balisés autrement que selon les normes qui s'imposent alors et se perfectionneront ensuite avec Taylor, au sein du modèle de la grande entreprise de production de masse. Il démontre que l'alternative est de tous les temps et qu'on peut construire l'histoire par les actes d'abord et pas seulement par la pensée. Il s'affirme expérimentateur, croit en la possibilité des individus de changer leur environnement, de le maîtriser et de se l'approprier. Il ne fige pas l'individu dans une situation bloquée mais mise sur sa capacité à progresser grâce à l'éducation qui seule lui permettra d'accéder au statut de coopérateur. Il privilégie l'association et n'hésite pas à mettre ses idées en pratique avec les hommes (et les femmes - autre anticipation de Godin et non des moindres) avec lesquels il bâtit, bien au-delà du travail, une véritable contre-société coopérative. Pour toutes ces raisons, nous pouvons nous sentir aujourd'hui ses héritiers.
        « Les idées, disait-il en 1884, ne reçoivent pas tout d'un coup leur application intégrale ; elles font leur chemin peu à peu et ce n'est qu'en les soumettant à l'examen et à la discussion qu'on ouvre la voie pour l'avenir. » C'est bien là la mission de ce livre.
        L'auteur

        Jean-François Draperi est directeur du Centre d'économie sociale du Conservatoire des Arts et métiers (Ceste-Cnam) à Paris et rédacteur en chef de la RECMA (Revue internationale de l'économie sociale). A côté de son activité de chercheur et d'enseignant, il intervient dans de nombreuses manifestations liées à l'économie sociale et solidaire. Il est entre autres l'auteur de « Rendre possible un autre monde » (Presses de l'économie sociale, 2005) et de « L'économie sociale. Utopies, pratiques, principes » (Presses de l'économie sociale, 2005).

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        • #19
          je t'ai trouvé ça aussi

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