C'est parti 
Ali Belhadj, numéro 2 de l’ex-FIS, s’est déplacé, ce dimanche 2 février, au ministère de l’Intérieur pour retirer les formulaires de candidature à la présidentielle du 17 avril prochain, a-t-on appris auprès de l’intéressé. « Je suis toujours sur place. On ne m’a pas laissé rentrer et des policiers m’ont demandé d’attendre », a-t-il précisé, vers 16h30. « Certaines personnes sont venues après moi et sont reparties avec les formulaires », a-t-il ajouté.
Ali Belhadj a été détenu, pendant douze ans, après avoir été condamné par le tribunal militaire de Blida pour « crime contre la sûreté de l'État ». L’homme fort de l’ex-FIS a été libéré en 2003, privé de ses droits civiques et politiques. « Cette privation devait durer cinq ans après ma libération. Donc, j’ai parfaitement le droit de me présenter », souligne Ali Belhadj.
Dans l’article 26 de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, il est stipulé que « l'exercice de l'activité politique est interdit, sous quelque forme que ce soit, pour toute personne responsable de l'instrumentalisation de la religion ayant conduit à la tragédie nationale ». « Je ne reconnais pas cette loi ! Pour moi, il n’y a aucune décision de justice m’interdisant de jouir de mes droits civiques et politiques », insiste-t-il.
Ali Belhadj compte tenir une conférence de presse pour présenter son programme. Les grandes lignes sont déjà connues puisque ce sont celles qui figuraient dans le programme du FIS. « Je souhaite l’installation d’une assemblée constituante », ajoute Belhadj qui promet de redonner droits et libertés à tous ceux qui en sont privés, dont son ancien parti.
Présidentielle 2014 : Ali Belhadj veut se porter candidat

Ali Belhadj, numéro 2 de l’ex-FIS, s’est déplacé, ce dimanche 2 février, au ministère de l’Intérieur pour retirer les formulaires de candidature à la présidentielle du 17 avril prochain, a-t-on appris auprès de l’intéressé. « Je suis toujours sur place. On ne m’a pas laissé rentrer et des policiers m’ont demandé d’attendre », a-t-il précisé, vers 16h30. « Certaines personnes sont venues après moi et sont reparties avec les formulaires », a-t-il ajouté.
Ali Belhadj a été détenu, pendant douze ans, après avoir été condamné par le tribunal militaire de Blida pour « crime contre la sûreté de l'État ». L’homme fort de l’ex-FIS a été libéré en 2003, privé de ses droits civiques et politiques. « Cette privation devait durer cinq ans après ma libération. Donc, j’ai parfaitement le droit de me présenter », souligne Ali Belhadj.
Dans l’article 26 de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, il est stipulé que « l'exercice de l'activité politique est interdit, sous quelque forme que ce soit, pour toute personne responsable de l'instrumentalisation de la religion ayant conduit à la tragédie nationale ». « Je ne reconnais pas cette loi ! Pour moi, il n’y a aucune décision de justice m’interdisant de jouir de mes droits civiques et politiques », insiste-t-il.
Ali Belhadj compte tenir une conférence de presse pour présenter son programme. Les grandes lignes sont déjà connues puisque ce sont celles qui figuraient dans le programme du FIS. « Je souhaite l’installation d’une assemblée constituante », ajoute Belhadj qui promet de redonner droits et libertés à tous ceux qui en sont privés, dont son ancien parti.
Présidentielle 2014 : Ali Belhadj veut se porter candidat
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