Le membre du Comité central (CC) du Front de libération nationale, Mohamed Djemai a défendu son secrétaire général, Amar Saadani en révélant qu’il était contraint de tenir de tels propos contre le patron du DRS, Mohamed Mediène pour faire taire les instigateurs de la fitna (sédition) au sein de sa formation politique qui se cachent derrière de hauts responsables du pays.

En votre qualité de leader du parti, quelle lecture faites-vous des déclarations de Saadani?
En effet, il y en a ceux qui tentent d’une manière malsaine d’exploiter ces propos pour réaliser leurs objectifs et leurs aspirations personnelles.
Quels sont les motifs ayant poussé Saadani à s’acharner sur le patron des services secrets?
Saadani a été contraint de tenir de tels propos en raison des instigateurs de la fitna qui agissent au nom de hauts dirigeants du pays pour tromper l’opinion publique, les cadres et les militants du parti en semant la zizanie au sein du parti.
Qu’entendez-vous par ça?
Certaines parties au sein de notre famille politique veulent violer la légitimité et le règlement intérieur du parti pour servir leurs propres intérêts. Ceux-ci ne doivent qu'être qualifiés d'instigateurs de la fitna, eux qui sont entrés dans cette agitation précédant les élections présidentielles pour s’en servir.
Pourquoi la loi n’a-t- elle pas été appliquée sur eux au lieu de s’attaquer au DRS?
Ceux-ci ne sont portés à ces postes de responsabilité qu'après avoir violé la légitimité de ses institutions, bafoué ses lois et trompé autrui par des propos mensongères.
Ne pensez-vous pas que les déclarations de Saadani vont créer un important clivage entre le FLN et l’institution militaire?
Le FLN, leadership et militants rendent hommage au rôle de l’institution militaire dans la protection du pays, la préservation de sa sécurité et sa stabilité et faire face à ses ennemis.
Les déclarations du secrétaire général du FLN ont suscité une grande indignation?
Je dénonce les réactions de ceux qui veulent profiter des déclarations du frère Amar Saadani, et je dis à ceux qui inondent la toile de communiqués de cesser de pleurnicher et leur dire: « nous n’avons pas besoin de leçon de nationalisme ».
Nous condamnons également leur ingérence dans les affaires intérieures du parti, eux qui se font l’avocat de l’institution militaire en ignorant que le Front de libération nationale (FLN) et l’Armée nationale populaire (ANP) héritière de l’Armée de libération nationale (ALN), sont deux faces d’une même pièce, que les hypocrites ne peuvent diviser
Eckorouk

En votre qualité de leader du parti, quelle lecture faites-vous des déclarations de Saadani?
En effet, il y en a ceux qui tentent d’une manière malsaine d’exploiter ces propos pour réaliser leurs objectifs et leurs aspirations personnelles.
Quels sont les motifs ayant poussé Saadani à s’acharner sur le patron des services secrets?
Saadani a été contraint de tenir de tels propos en raison des instigateurs de la fitna qui agissent au nom de hauts dirigeants du pays pour tromper l’opinion publique, les cadres et les militants du parti en semant la zizanie au sein du parti.
Qu’entendez-vous par ça?
Certaines parties au sein de notre famille politique veulent violer la légitimité et le règlement intérieur du parti pour servir leurs propres intérêts. Ceux-ci ne doivent qu'être qualifiés d'instigateurs de la fitna, eux qui sont entrés dans cette agitation précédant les élections présidentielles pour s’en servir.
Pourquoi la loi n’a-t- elle pas été appliquée sur eux au lieu de s’attaquer au DRS?
Ceux-ci ne sont portés à ces postes de responsabilité qu'après avoir violé la légitimité de ses institutions, bafoué ses lois et trompé autrui par des propos mensongères.
Ne pensez-vous pas que les déclarations de Saadani vont créer un important clivage entre le FLN et l’institution militaire?
Le FLN, leadership et militants rendent hommage au rôle de l’institution militaire dans la protection du pays, la préservation de sa sécurité et sa stabilité et faire face à ses ennemis.
Les déclarations du secrétaire général du FLN ont suscité une grande indignation?
Je dénonce les réactions de ceux qui veulent profiter des déclarations du frère Amar Saadani, et je dis à ceux qui inondent la toile de communiqués de cesser de pleurnicher et leur dire: « nous n’avons pas besoin de leçon de nationalisme ».
Nous condamnons également leur ingérence dans les affaires intérieures du parti, eux qui se font l’avocat de l’institution militaire en ignorant que le Front de libération nationale (FLN) et l’Armée nationale populaire (ANP) héritière de l’Armée de libération nationale (ALN), sont deux faces d’une même pièce, que les hypocrites ne peuvent diviser
Eckorouk
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