Sahih Muslim Livre 8, numéro 3246:
Jâbir b. 'Abdullah et Salama b. al-Akwa 'a dit: Le Messager d'Allah est venu nous voir et nous a déclaré : La permission de jouir des femmes (la mout3a) vous est accordé, alors jouissez.
Bukhari, Volume 6, Livre 60, Numéro 139:
Nous participions à la guerre sainte menée par le Prophète et nous n'avions pas nos femmes avec nous. Alors nous avons dit au Prophète. «Allons-nous nous castrer?" Mais le Prophète nous a interdit de le faire et dès lors il nous a permis d'épouser une femme temporairement en lui donnant même un vêtement, puis il a récité: "O vous qui croyez Ne faites pas illicites les bonnes choses qu'Allah a rendu licite! pour vous. "
Sahih Mouslim Kitab al-Nikah, Hadith 2496 -
"Ati' a rapporté que Jabir ibn Abdoullah était venu pour faire al- Oumrah(petit pélerinage)et nous sommes allé en sa demeure, puis les gens l'ont questionné sur des choses Articleses et ensuite ils ont mentionné le mariage de jouissance(Al-Mout'a), sur quoi il(Jabir) a dit :
"Oui, nous avons profités de ce mariage provisoire durant la vie du Prophète(sas) et durant celle d'Abou Bakr et Omar."
Sahih Boukhari, Tafsir al-Qur'an Hadith 4156-
Imran Ibn Hussein rapporte :
" Le verset du Mout'a a été Révélé dans le Livre d'Allah, ainsi nous l'avons fait avec l'Envoyé d'Allah, et rien n'a été révélé dans le Coran qui le rendit illégal, et il ne l'a pas interdit( le prophète) jusqu'à sa mort. (Mais) un homme a exprimé ce que suggerait son propre esprit ."
Sahîh de Muslim : 2599
'Abû Sa`îd Al-Khudrî (qu'Allah soit satisfait de lui) a dit:
Nous partîmes en expédition avec l'Envoyé d'Allah (pbAsl) contre les Banû Al-Mustaliq et nous captivâmes un certain nombre de femmes vertueuses. Comme le célibat nous pesait et qu’en même temps nous évitions d’avoir des relations charnelles avec nos captives de peur de perdre le droit de recevoir une rançon contre leur émancipation (au cas où nous les aurions mises enceintes), nous voulûmes donc contracter des mariages temporaires contre compensation, tout en pratiquant le coït interrompu. Nous dîmes, alors: "Agissons-nous de la sorte sans consulter l'Envoyé d'Allah (pbAsl) qui se trouve parmi nous?". Nous lui posâmes donc la question. Et lui (pbAsl) de répondre: "Il n'y a aucun mal à ce que vous agissiez ainsi, car, d'ici au Jour de la Résurrection, tout être dont l'existence aura été prédestinée par Allah, ne manquera pas d'exister".
Jâbir b. 'Abdullah et Salama b. al-Akwa 'a dit: Le Messager d'Allah est venu nous voir et nous a déclaré : La permission de jouir des femmes (la mout3a) vous est accordé, alors jouissez.
Bukhari, Volume 6, Livre 60, Numéro 139:
Nous participions à la guerre sainte menée par le Prophète et nous n'avions pas nos femmes avec nous. Alors nous avons dit au Prophète. «Allons-nous nous castrer?" Mais le Prophète nous a interdit de le faire et dès lors il nous a permis d'épouser une femme temporairement en lui donnant même un vêtement, puis il a récité: "O vous qui croyez Ne faites pas illicites les bonnes choses qu'Allah a rendu licite! pour vous. "
Sahih Mouslim Kitab al-Nikah, Hadith 2496 -
"Ati' a rapporté que Jabir ibn Abdoullah était venu pour faire al- Oumrah(petit pélerinage)et nous sommes allé en sa demeure, puis les gens l'ont questionné sur des choses Articleses et ensuite ils ont mentionné le mariage de jouissance(Al-Mout'a), sur quoi il(Jabir) a dit :
"Oui, nous avons profités de ce mariage provisoire durant la vie du Prophète(sas) et durant celle d'Abou Bakr et Omar."
Sahih Boukhari, Tafsir al-Qur'an Hadith 4156-
Imran Ibn Hussein rapporte :
" Le verset du Mout'a a été Révélé dans le Livre d'Allah, ainsi nous l'avons fait avec l'Envoyé d'Allah, et rien n'a été révélé dans le Coran qui le rendit illégal, et il ne l'a pas interdit( le prophète) jusqu'à sa mort. (Mais) un homme a exprimé ce que suggerait son propre esprit ."
Sahîh de Muslim : 2599
'Abû Sa`îd Al-Khudrî (qu'Allah soit satisfait de lui) a dit:
Nous partîmes en expédition avec l'Envoyé d'Allah (pbAsl) contre les Banû Al-Mustaliq et nous captivâmes un certain nombre de femmes vertueuses. Comme le célibat nous pesait et qu’en même temps nous évitions d’avoir des relations charnelles avec nos captives de peur de perdre le droit de recevoir une rançon contre leur émancipation (au cas où nous les aurions mises enceintes), nous voulûmes donc contracter des mariages temporaires contre compensation, tout en pratiquant le coït interrompu. Nous dîmes, alors: "Agissons-nous de la sorte sans consulter l'Envoyé d'Allah (pbAsl) qui se trouve parmi nous?". Nous lui posâmes donc la question. Et lui (pbAsl) de répondre: "Il n'y a aucun mal à ce que vous agissiez ainsi, car, d'ici au Jour de la Résurrection, tout être dont l'existence aura été prédestinée par Allah, ne manquera pas d'exister".
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