J'Ignore si cela ne se déroule qu'a Béchar mais la période du Ramadhan semble propice à certains excès.
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A chaque ramadan, la ville de Béchar vit un phénomène sociologique qui est devenu une science de mendicité qui se diversifie en vertu du mode de vie social qui diffère d'une région à une autre par des dimensions imaginaires. Est-ce une organisation ? Est-ce une congrégation ? C’est quoi
alors ?
Au sud du pays, la population est clémente par ses traditions religieuses durant le mois sacré du ramadan, la prière «taraouih» se prolonge jusqu'à 22h, toutes les mosquées sont assaillies de fidèles. A leur sortie, ils croisent aux alentours des petites et grandes mosquées de la ville des vagues de mendiants de tous âges. Certains d’entre eux s’y prennent avec des paroles incantatoires, d'autres exhibant de vieilles ordonnances médicales, d’autres vêtus en guenilles, ce qui permet à bon nombre d’entre eux de récolter parfois une somme qui avoisine les 1 500 dinars par jour et même plus.
Au fait, peut-être que l’étranglement social est devenu l'obligation à se créer cette activité lucrative et combattre la pauvreté qui a bien aiguisé ses armes pour conduire une certaine couche sociale vers les portes de la misère. En effet, ces mendiants ou indigents hommes, femmes et enfants, venus d'ailleurs, se rassemblent dans les marchés, dans les bousculades, les grandes affluences, notamment les mosquées. De belles jeunes femmes, assises avec leurs nourrissons, se lamentent sur les trottoirs, d'autres, accompagnées de leurs maris pour pallier à toute agression de sa protégée, d'autres avec leur regard farouche, sont habillés en fakirs.
Alors, est-ce qu'on peut appeler cela le théâtre ambulant de la mendicité pour une pitié et une piété au cours du mois sacré du ramadan où la clémence réside pendant 29 ou 30 jours dans les cœurs et les pensées des musulmans au profit des mendiants, migrateurs.
Par La Nouvelle république
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A chaque ramadan, la ville de Béchar vit un phénomène sociologique qui est devenu une science de mendicité qui se diversifie en vertu du mode de vie social qui diffère d'une région à une autre par des dimensions imaginaires. Est-ce une organisation ? Est-ce une congrégation ? C’est quoi
alors ?
Au sud du pays, la population est clémente par ses traditions religieuses durant le mois sacré du ramadan, la prière «taraouih» se prolonge jusqu'à 22h, toutes les mosquées sont assaillies de fidèles. A leur sortie, ils croisent aux alentours des petites et grandes mosquées de la ville des vagues de mendiants de tous âges. Certains d’entre eux s’y prennent avec des paroles incantatoires, d'autres exhibant de vieilles ordonnances médicales, d’autres vêtus en guenilles, ce qui permet à bon nombre d’entre eux de récolter parfois une somme qui avoisine les 1 500 dinars par jour et même plus.
Au fait, peut-être que l’étranglement social est devenu l'obligation à se créer cette activité lucrative et combattre la pauvreté qui a bien aiguisé ses armes pour conduire une certaine couche sociale vers les portes de la misère. En effet, ces mendiants ou indigents hommes, femmes et enfants, venus d'ailleurs, se rassemblent dans les marchés, dans les bousculades, les grandes affluences, notamment les mosquées. De belles jeunes femmes, assises avec leurs nourrissons, se lamentent sur les trottoirs, d'autres, accompagnées de leurs maris pour pallier à toute agression de sa protégée, d'autres avec leur regard farouche, sont habillés en fakirs.
Alors, est-ce qu'on peut appeler cela le théâtre ambulant de la mendicité pour une pitié et une piété au cours du mois sacré du ramadan où la clémence réside pendant 29 ou 30 jours dans les cœurs et les pensées des musulmans au profit des mendiants, migrateurs.
Par La Nouvelle république
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