A Moumed
Nous sommes deux peuples voisins, nous avons une histoire commune qui renferme beaucoup plus de bons que de mauvais côtés. Nous nous ressemblons en tout, et plus particulièrement dans le fait que nous sommes mal gouvernés. Ce serait bien, comme tu dis, que le roi se limite à règner, encore faudrait-il qu'il y ait un vrai gouvernement et une gestion démoctatique du pays? En Algérie, nous sommes bien en république, mais il est vrai que chez nous, certains se conduisent comme des rois en toute impunité.
Si la liberté d'expression existe moins au Maroc, c'est parce que la répression y est plus forte. Mais il est vrai que les marocains comme les algériens sont courageux et font tout pour gagner du terrain dans ce domaine.
Si, sous certains aspects, la situation pourrait paraître meilleure en Algérie, notamment en matière de pouvoir d'achat ou de réalisation de projets, ce n'est pas grâce aux algériens eux-mêmes ni encore moins à leur président, mais c'est tout simplement parce que nous avons des pétrodollars à dépenser.
Ceci dit, je crois que nous ferions mieux de nous critiquer nous-même (et nous avons de quoi le faire) qu'entre voisins.
Nous sommes deux peuples voisins, nous avons une histoire commune qui renferme beaucoup plus de bons que de mauvais côtés. Nous nous ressemblons en tout, et plus particulièrement dans le fait que nous sommes mal gouvernés. Ce serait bien, comme tu dis, que le roi se limite à règner, encore faudrait-il qu'il y ait un vrai gouvernement et une gestion démoctatique du pays? En Algérie, nous sommes bien en république, mais il est vrai que chez nous, certains se conduisent comme des rois en toute impunité.
Si la liberté d'expression existe moins au Maroc, c'est parce que la répression y est plus forte. Mais il est vrai que les marocains comme les algériens sont courageux et font tout pour gagner du terrain dans ce domaine.
Si, sous certains aspects, la situation pourrait paraître meilleure en Algérie, notamment en matière de pouvoir d'achat ou de réalisation de projets, ce n'est pas grâce aux algériens eux-mêmes ni encore moins à leur président, mais c'est tout simplement parce que nous avons des pétrodollars à dépenser.
Ceci dit, je crois que nous ferions mieux de nous critiquer nous-même (et nous avons de quoi le faire) qu'entre voisins.
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