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Les meeting pour Bouteflika sont partout en Algérie chahutés

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  • #16
    Les meeting pour Bouteflika sont partout en Algérie chahutés

    Commme si "chahuter" est une réussite ou un acte démocratique ... Un candidat qui ne te plait pas, n'assiste pas à son meeting et fait ce que tu veux dans le meeting de ton candidat préféré : c'est ça la démocratie.


    La vidéo dit autrement : Des cris de joie et des youyous ...

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    • #17
      @Zaki17

      Ce que tu avances est juste dans une élection propre où tous les candidats se respectent et respectent et c'est le plus important les ELECTEURS.
      Nous ne sommes pas dans une élection propre car le candidat sortant use de tous les moyens irréspectables pour se maintenir .

      Le candidat du pouvoir imposé de force au peuple algérien malgré som âge avancé et son état de santé altéré est la forme la plus répugnante de l'humiliation du peuple et de son élite.

      Sinon, je pense que ceux qui refusent spécialement un 4 eme Mandat á bouteflika ont tous les droits de l'éxprimer par tous les moyens pacifiques dans cette campagne présidentielle. Ils refusent Bouteflika et ils le lui font savoir en " Behdlinisant " ses Meeting par procuration.

      Ceux qui appellent plutôt au boycott sont aussi dans le droit de l'éxprimer car justement c'est á cause de ce candidat dictateur anti democratique qu'ils ont appellé á boycotter ces élections de la honte et ........ sa campagne électorale.

      Je ne pense pas que ce sont les Partisans des autres candidats qui viennent chahuter les chyatines, ce sont ceux qui veulent le changement maintenant et qui refusent ce simulacre d'election qui risquede précipiter la rupture irréversible entre le peuple et les institutions qui le Dirigent.

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      • #18
        Tebessa : la population de Bir Ater bloque la campagne électorale

        Ulic l’vote ulic (Pas de vote) clament fort les habitants de Bir Ater.


        Pour la quatrième journée consécutive, la commune de Bir Ater dans la wilaya de Tébessa, est coupée à toute circulation automobile, les jeunes, qui se sont soulevés contre le système en place et non seulement contre le quatrième mandat de Bouteflika, ont été durant quatre jours maîtres à bord. La cause ? Ils réclament la libération d’une dizaine de détenus arrêtés dans l’après midi de mardi dernier par la police.
        La population de Bir Ater qui, rappelons-le, avait investi la rue, mardi dernier, pour interdire la venue d’officiels et de candidats à leur localité, interdisant du coup le déroulement de toute campagne électorale à tous les candidats. La population, qui ne croit plus en ce régime, avait investi le siège de la daïra, la réaction des services de sécurité a été violente, procédant à une intervention très musclée. Dix citoyens ont été arrêtés, selon des témoignages recueillis sur place. Il est à noter que lors de l’intervention, il y a eu trois blessés dont un jeune évacué vers le CHU d’Annaba dans un état grave. Ce jeune s’est immolé, nous informe-t-on
        Pour les jeunes protestataires qu’on a rencontrés, il est hors de question que les élections du 17 avril se tiennent dans leur localité. "Le pouvoir nous a tout le temps réprimé et nous a pas donné le moindre de nos droits, et aujourd’hui il veut tenir les élections contre la volonté populaire ? Non, il est hors de question que celle-ci ait lieu. Ulich lvote ulich (pas de vote en chaoui)", nous a déclaré un groupe de jeunes.
        Jamais en Algérie, une élection ne s’est déroulée dans de telles circonstances. Des ministres en poste qui font campagne électorale pour un président candidat malade. Le tout devant un nombre peu nombreuse, dont la majorité est payée pour assister à la mascarade.
        Certains candidats annulent leur meeting faute d’assistance, des animateurs "comiques" qui passent leur temps à insulter la population, comme fut le cas de l’ex-premier ministre qui d’ailleurs a été «chassé» de Ouargla.
        Zoubir Oubernine

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        • #19
          Chahutés mème en France: La police Francaise les a sauvé d'un lynchage

          Il a fallu l’intervention de la police française pour sortir d’une salle en furie sains et saufs Benyounes et Ghoul ce dimanche à Vitrolles (Bouches du Rhone ).
          Malmenés dès leur première sortie en Algérie, les deux ministres, couplés dans un duo provocateur, ont été envoyés en France où ils étaient supposés ne pas attiser la même haine que celle qu’ils alimentent en Algérie.
          La réunion avait été pourtant méticuleusement préparée. Des jeunes dealers des quartiers nord de Marseille, soigneusement choisis avaient été convoyés à Vitrolles contre 150 euros chacun pour garnir le meeting prévu dans la salle de la ville à une trentaine de kilomètres à l’ouest de la capitale phocéenne où une forte communauté algérienne attendait de pied ferme « les représentants les plus impopulaires du gouvernement », selon le propos d’un ex enseignant de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou établi à Aubagne.
          L’agence Soleil Voyages de Marseille appartenant au frère de Benyounes, sénateur du tiers présidentiel, transformée en QG de campagne de Bouteflika, avait néanmoins informé quelques personnes pour faire le déplacement sur Vitrolles afin de se montrer au premier rang et donner aux caméras de l’ENTV quelques images d’une salle occupée par d’honorables émigrés. Il n’en a pas fallu plus pour la nouvelle se répande comme une trainée de poudre chez des étudiants algériens de Marseille.

          Hasard de l’histoire, dans ce département l’émigration est essentiellement originaire de Kabylie et de l’Ouarsenis, deux régions dont sont originaires les deux compères et où le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils ne sont pas en odeur de sainteté.

          A 14 heures, les deux compères se préparaient à peine à commencer leur meeting qu’un indescriptible chahut émane de la salle, des insultes fusent, des objets volent et la tribune est envahie. Les deux conférenciers fuient la scène et se réfugient dans les couloirs. C’est le consulat de Marseille qui alerte la police française pour extraire les deux otages du guet apens où ils s’étaient mis.
          Faut il continuer à s’exposer devant une émigration qui voit dans ces deux individus le symbole de la corruption ? Vont ils faire des réunions clandestines ? Après tout leur parrain fait campagne par tracts interposés.
          Akli Darni

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