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Ce que Benflis a gagné

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  • #31
    Nezzar ne soutenait pas Benflis mais Hamrouche. Il s'est tourné ensuite vers Benflis après avoir été déçu par la posture quelque peu ambigüe de Hamrouche. Benflis est donc l'alternative à Bouteflika et va rassembler sous sa bannière des individus aux convictions divergentes.

    Il n'est pas bon de diaboliser les militaires avec ce terme d'éradicateurs. L'actualité démontre que leur mission est loin d'être simple et que la réconciliation nationale est un mythe.
    Suffit de lire le journal de son fils, mi mielleux avec Bouteflika, mi incisif, pour se rendre compte de l’ambiguïté de Nezzar & co. La lettre que le général a pondu pour se moquer des racontars qui avaient annoncé une réunion au sommet avec Toufik est significative des tractations et des enjeux. Dire que Nezzar est le soutien de Hamrouche, c'est ce moquer de l'intelligence de algériens, d'oublier que c'est Nezzar qui avait dégommé Hamrouche en 1991, que c'est son journal qui n'arrête pas de distiller rumeur et manipulation contre le FFS et sa position politique responsable.

    Enfin, au moins 50% de voix de Benflis, il les doit à Bouteflika. Il voulait diriger autour de lui tout ceux qui ne voulait pas d'un quatrième mandat, en sifflant comme un berger à ses moutons la direction qu'il faut prendre. Comme te l'a dit Capo, ce n'est pas le berger qui compte, mais les propriétaires de la ferme... et on ne fait pas un projet politique avec du contre.

    Pour finir par les militaires et la réconciliation. Certains devraient vraiment descendre de leur piédestal, car l'histoire de ce pays falsifiée d'une manière éhontée, ne pourra oublier indéfiniment le rôle de certains généraux qui clamaient publiquement sacrifié 3 millions d'algériens pour se débarrasser des islamistes. Cette élection sans islamiste était une chance d'aller vers un autre système politique, une nouvelle étape ratée de l'histoire de ce pays, mais certains ont l'air d'oublier que l'islamisme politique a de beaux jours devant lui. Ils oublient aussi les motifs de l'assassinat de feu Merbah par ses anciens collègues, au prix des négociations qu'il menait avec le FIS pour éviter à ce pays une descente aux enfers, en ce dès 1992. L'histoire de ce pays n'oubliera pas tout ces crimes...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #32
      Tiens, tu sembles offusqué par le langage que tu n'arrêtes pas de tenir contre X ou Y ici à longueur de journée. Ce que tu fais semblant de ne pas comprendre, car je te donne le bénéfice d'un minimum de jugeotte, c'est que ton clown a permis à Bouteflika d'être élu dans des règles qui ont permis aux puissances internationales de les reconnaître. Son retrait comme tout les autres candidats, aurait complètement décrédibilisé cette farce électorale, et aurait poussé Bouteflika à d'autres compromis avec les forces politiques. Il sort de cette bataille conforté et conquérant, car il aura battu électoralement le candidat des gradés retraités. Et tu sembles très offusqué par la défaite de ces gradés retraités...

      je pense qu'il y a besoin de revoir tes interventions sur les boycotteurs .... il faut tenir un minimum de cohérence dans ces interventions.
      شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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      • #33
        Tu vas être très efficace et locace pour une fois et nous publier donc ces interventions pour qu'on puisse en discuter, le spécialiste de la rumeur et des sous entendus en sortait grandit...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #34
          nezzar ne soutenait pas benflis mais hamrouche.

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          • #35
            Pour celui qui dit détenir des informations de premier ordre, et qui se contente de décrypter la ligne éditoriale de AP avec un prisme si particulier, tellement particulier qu'il accuse tout ces détracteurs d'agents de l'étranger. C'est aps demain que ce pays sortira de la culture du traitre, mélangé à toutes les sauces...

            Mes salutations,

            Othmane T. BENZAGHOU
            Othmane BENZAGHOU

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            • #36
              Ali Benflis a 70 ans ... dans 5 ans, il aura 75 ans ... je crois que c'est un peu trop tard pour lui

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              • #37


                Tu as raison, il vaut mieux mettre des jeunes de 75 ans et +, comme ca on aura meme pas a changer la constitution ...

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                • #38

                  Rencontre hier entre la coordination et ali benflis

                  Le changement : discorde sur la méthode

                  Liberté du 28/04/2014 - Par : Nadia Mellal

                  Une première réunion qui en appelle d’autres en vue d’aboutir à un consensus autour de la refondation du système pour un changement démocratique dans le pays.

                  Qualifiée de “positive”, la rencontre ayant regroupé, hier Ali Benflis et la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique, ayant boycotté l’élection présidentielle du 17 avril, n’a pourtant pas abouti à une quelconque prise de décision. Réunis chez Ahmed Benbitour à Alger, les animateurs de la Coordination nationale (Sofiane Djillali, Ahmed Benbitour, Mohamed Douibi, Mohcine Belabès, Lakhdar Benkhelaf et Abderrezak Makri) tout autant que Benflis participant au nom du pôle des “forces du changement” qu’il a initié, n’ont fait que débattre et échanger leurs points de vue sur trois questions : la situation du pays, les solutions pour un changement démocratique ainsi que la tenue de la conférence nationale programmée par la coordination pour les 17 et 18 mai prochain.
                  D’emblée, il y a eu convergence autour du constat fait de la situation actuelle du pays. “Nous partageons le diagnostic fait sur la situation du pays en ce sens qu’il s’agit d’une véritable et profonde crise politique et de légitimité”, explique un membre de la coordination. De son côté, Benflis présent à la rencontre avec des membres du pôle des forces du changement (Bahbouh Noureddine, Benabdessalem Djamel, Benbaïbèche Tahar, Salhi Naïma et Younsi Djahid) a relevé que “le pays vit une crise de régime qui entre dans le cadre d’une crise politique plus large due à l’obstination du pouvoir en place à empêcher par tous les moyens l’avènement d’un changement démocratique véritable et d’une alternance politique par la voie des urnes”.
                  Intervenant dans un communiqué détaillant sa vision des choses, Benflis explique que “les institutions du pays sont mises au service de ce pouvoir et non à celui du peuple ; la citoyenneté est ignorée ; le choix du peuple est systématiquement détourné ; la rente et les ressources nationales sont utilisées abusivement comme instrument de domestication de la société ; les richesses nationales font l’objet d’un accaparement intolérable”.
                  Faisant état d’un ostracisme total de l’opposition politique, l’ancien chef du gouvernement attribue, dans le fond, la crise du régime à celle de “la légitimité”. C’est ce que soutiennent également les représentants des partis membres de la coordination. Identifiant la “fraude électorale” comme étant la seule véritable constante nationale dans le pays, les boycotteurs dénoncent le viol répétitif de la souveraineté populaire depuis l’Indépendance.
                  De même que selon l’ancien candidat à la présidentielle, “aucune des institutions de la République ne jouit d’une légitimité incontestable car n’émanant pas d’une volonté populaire authentique”. Les boycotteurs, ayant vilipendé le fonctionnement institutionnel, ont trouvé chez Benflis un allié de taille sur cette question au regard de sa position à ce propos : “La présidence de la République, le gouvernement de même que le Parlement n’assument plus ces missions”, note-t-il avant de soutenir que “dans ces conditions, il est permis de constater que la République n’est pas dirigée et que les affaires publiques ne sont plus gérées de manière diligente et effective”. Étant le point de départ de véritables initiatives nationales en faveur d’un changement démocratique, l’élection présidentielle du 17 avril dernier n’a pas été évacué des débats.
                  À ce propos, Benflis, qui a pris part à ce rendez-vous électoral, a estimé que “le scrutin présidentiel n’est, en aucune manière, capable de résoudre ou de mettre fin à la crise de légitimité dont souffrent et continueront à souffrir les institutions de l’État, en ce sens que l’abstention et la fraude, qui ont notoirement marqué ce scrutin, aggravent et exacerbent cette crise de légitimité”. De leur côté, les responsables de partis l’ayant boycotté ont considéré que “l’élection était fermée en amont”.

                  La transition pour les boycotteurs et le pôle pour le changement pour Benflis
                  La réunion d’hier a aussi mis en évidence une convergence des vues autour de la solution à la crise algérienne, mais pas sur la méthode.
                  En effet, les deux parties ont soutenu l’impératif retour à la légitimité populaire. Si les boycotteurs optent pour une transition démocratique, associant l’ensemble des acteurs de la scène politique, Benflis exprime une toute autre opinion.
                  À ses yeux, “la transition n’est pas à l’ordre du jour du pouvoir en place” en ce sens que “l’opposition n’est pas en mesure de la lui imposer à l’heure actuelle”. Estimant que “le moment n’est pas à la négociation d’une transition dont ce pouvoir ne ressent pas le besoin et dont il ne veut pas”, il fera remarquer qu’il s’inscrit, quant à lui, “dans une démarche différente : celle d’un combat politique pacifique au moyen d’une sensibilisation de nos concitoyennes et de nos concitoyens”. Dans les faits, la priorité de l’ancien candidat se définie à travers la mobilisation en faveur d’un changement démocratique. C’est dans cette optique qu’il soutiendra que “pour cette raison que j’ai décidé de créer un parti politique. J’entends y effectuer le travail en profondeur qu’exige la réconciliation de notre peuple avec la politique et pour qu’il soit lui-même la force du changement démocratique ordonnée et pacifique”.

                  Maintien des contacts sur les questions de l’heure
                  Même si les participants à la rencontre d’hier ne sont pas parvenus à prendre des décisions communes, il n’en reste pas moins qu’ils se sont accordés à maintenir le contact : “Nous avons décidé de garder le contact permanent, d’avoir des relations cordiales et de nous concerter à chaque fois que c’est nécessaire sur les questions nationales”, explique un membre de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique. Et pour exprimer l’état d’esprit “cordial et positif” qui a caractérisé les participants, il citera le projet de révision de la Constitution que “nous débattrons ensemble”, argue-t-il.
                  Quid de la conférence nationale des boycotteurs ? “Benflis ne s’est pas engagé à y participer”, nous dit-on. La raison ? “Il ne pouvait raisonnablement pas le faire d’entrée de jeux puisqu’il est déjà engagé dans le processus de création de son parti ainsi que de l’institution d’un pôle des forces du changement”, note un membre de la coordination, précisant l’impossibilité pour l’ancien chef de gouvernement de s’engager au nom des autres acteurs de ce pôle.
                  Ali Benflis, quant à lui, a exprimé sa disponibilité à demeurer toujours attentif “à votre initiative à laquelle je souhaite plein succès. Je la tiens personnellement pour une contribution importante qui s’inscrit en droite ligne dans l’objectif de refondation de notre système politique qui correspond à une large attente populaire”. En définitif, Benflis dit s’engager aux côtés de la coordination “à poursuivre ce même objectif à partir d’analyses, d’itinéraires ou de perspectives, certes, différentes, mais je n’ai aucun doute que nous agissons tous dans un même sens : celui de l’intérêt suprême de notre pays qui se confond actuellement avec le nécessaire changement démocratique”.
                  Le travail de sape de l'opposition a bel et bien commencé. L'incohérence politique de Benflis est totale, il dit qu'il veut son future parti politique mobiliser (pour les prochaines échéances), sachant qu'il affirme que cette échéance a été caractérisée par la fraude. Sa cohérence politicenne elle est implacable, il continue son travail de sape de l'opposition, téléguidé par ceux qui souhaitent voir une partie des algériens représentés par le FLNV...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #39
                    démocratique, l’élection présidentielle du 17 avril dernier n’a pas été évacué des débats.
                    À ce propos, Benflis, qui a pris part à ce rendez-vous électoral, a estimé que “le scrutin présidentiel n’est, en aucune manière, capable de résoudre ou de mettre fin à la crise de légitimité dont souffrent et continueront à souffrir les institutions de l’État, en ce sens que l’abstention et la fraude, qui ont notoirement marqué ce scrutin, aggravent et exacerbent cette crise de légitimité”. De leur côté, les responsables de partis l’ayant boycotté ont considéré que “l’élection était fermée en amont”.
                    Ta participation au scrutin a légitimé l'illégitimité ...sans que tu puisses apporter la preuve de la fraude

                    Sinon, quand vas-tu nous montrer ton ordre de mission ....canaliser le désenchantement populaire ?

                    Commentaire


                    • #40
                      Pourquoi Benflis a émis des réserves sur l’initiative de la Coordination pour la transition démocratique
                      AP | 29. AVRIL 2014 - 17:18

                      La rencontre souhaitée par les dirigeants de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique avec Ali Benflis n’a pas livré tous ses secrets. Selon un membre de cette coordination, la rencontre qui a duré deux heures et demie a été l'occasion pour chaque participant de faire le point, brièvement, sur les élections et la différence d'analyse sur le choix de chacun. Tout le monde était d'accord pour tourner la page définitivement. Sur le principe, tous les intervenants étaient d'accord sur le fait que les élections étaient truquées et que les chiffres ne correspondaient pas à la réalité. Le taux de participation était estimé par les membres de la coordination à environ 20%. Par ailleurs, le consensus était général sur le fait que le régime était «en bout de course» et qu'il «constituait désormais un danger pour le pays». Lors des échanges de vue, la coordination des partis a présenté sa démarche pour aller vers une conférence nationale et les buts assignés à celle-ci. De son côté, Benflis a explicité sa démarche : il forme, avec les partis politiques qui l'avaient soutenu, un front, mais s'engage à constituer son propre parti. D’après notre source, la délégation représentée par Benflis a compris au départ que la coordination avait comme projet de mettre en place un «organe» pour la transition (type HCE), disant préférer «le retour vers la légitimité populaire pour de vraies élections». Mais pour la coordination, «transition démocratique» ne signifiait nullement «organe de transition». Il s'agit, pour ses membres, d'ouvrir «un vrai dialogue entre tous les partis de l'opposition pour définir ce que peut être l'avenir du pays et comment y arriver». Tout le reste est laissé pour une discussion «libre et ouverte» avec les participants à la conférence nationale. Les dirigeants de la coordination ont expliqué à leur hôte que cette conférence, prévue en mai ou en juin prochains, sera préparée avec toutes les parties qui souhaitent y participer. Il y aura, avec l'accord de tous, l’installation d'une commission organisatrice. Entre temps, la coordination a préparé un document de synthèse pour le présenter comme avant-projet à discuter et à enrichir par tous les participants. En conclusion, ajoute notre source, les deux parties se sont engagées à se consulter régulièrement sur toutes les questions et à garder un contact permanent. Si aucune décision n'a été prise quant à la participation du Front pour le changement à la conférence, les dirigeants des partis ne désespèrent pas de voir ce nouveau parti et son leader y assister.
                      R. Mahmoudi
                      Le travail de sape de l'idée d'une transition a bien commencé, malgré les explications gênées des soutiens de Benflis. Le comble du génie politique de Benflis, c'est de commencer par créer le PFLNV, pour son parti, puis le FLNV, un front qui va le regrouper à ses soutiens pendant la campagne, pour enfin constituer avec le reste de l'opposition un nouveau front. On assiste à l'organisation des futures garnisons et de leur chaine de commandement autour du général et des généraux majors qui sont derrière...

                      Il est tout aussi intéressant de constater que nos éminents politiciens, dont certains sont d'éminents économistes, ont du mal avec non les mathématiques, mais le simple calcul appris au primaire, et pour cause. 20% de participation sur un électorat de 20 millions donne 4 millions de votants. En supposant que toutes les voies additionnées le furent pour Bouteflika, il passerait de 8 millions de voies à 2 millions. Ce qui donnerait 50% à ce président. En tout cas, je continue à m'interroger sur le génie mathématique de Benflis qui nous affirme avoir obtenu 4 millions de voix, et donc 100% au vu des 20% de participation...
                      Dernière modification par ott, 01 mai 2014, 06h03.
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #41
                        @Asnami

                        Contente toi de nous expliquer comment "ton candidat" a obtenu 4 millions de voix sur 4 millions. Pour le reste des geremiades, ça ne mérite pas plus de commentaires, surtout pour quelqu'un qui à une époque clamait dans ce forum, les vertus de Bouteflika contre l'etat DRS... certains n'assument pas leur positions passées, moi j'assume parfaitement qu'entre la peste et le choléra, je choisis la maladie qui a le plus de chance de guérir...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #42
                          Asnami

                          Asnami a dit:
                          Nous sommes des millions à soutenir monsieur Benflis, n'en déplaise aux régionalistes, aux comploteurs et aux minables serviteurs du zombie.....Et il réussira à créer une dynamique pour démocratiser l'Algérie et la "dératiser"...
                          Surveille tes propos Mister Asnami !

                          On peut être contre ou ne pas avoir confiance en ce Benflis, sans nécessairement être avec la mafia !

                          Capito Mister Asnami ??
                          Dernière modification par absent, 01 mai 2014, 10h44.

                          Commentaire


                          • #43
                            salut

                            Sidou

                            mabrouk le nouveau pseudo !..
                            .. toujours aussi tranchant à ce que je vois

                            Commentaire


                            • #44
                              @Asnami

                              En tant que démocrate, je ne peux que critiquer politiquement Bouteflika. Sauf qu'en Algérie, la démocratie est un long cheminement, et la politique est l'art du possible. Je n'ai aucune confiance en Benflis, opportuniste dont la carrière est criante. Sa compagne électorale a finis par me convaincre de ce qui se sussurait ici et là sur le populisme FLN iste de cet opportuniste, il a essayé de ratisser large, en y perdant toute cohérence politique et mesure, avec un programme vaseux. Il n'a aucune compétence pour le poste qu'il visait, si ce n'est de chauffer des salles, ni en diplomatie, ni en économie, ni la carrure, et politiquement, il s'est avéré très limité. La seule nouveauté qu'il a proposé, mue par sa formation de juriste, est la construction d'un état de droit, ce dont l'Algérie a grandement besoin. Sauf que politiquement, il n'a ni l'épaisseur, ni la capacité de faire quoi que ce soit, au vu des gens qui l'entourent. L'après élection a été tellement piteux et a montré la vraie dimension politique du personnage. Personnellement, je considère qu'il s'est politiquement suicidé, l'avenir nous le dira. En tout état de cause, il est loin de se prévaloir d'un quelconque leadership de l'opposition, et c'est justement ce que je dénonce d'une manière vigoureuse, car c'est un des objectifs de ceux qui l’agitent, après avoir légitimé l'élection de 2014, ils lui ont promis d’être l'heureux élu à la mort de Bouteflika, et il est prêt à toutes les contorsions entre temps, en sapant de l'intérieur l'opposition balbutiante, dont le leader naturel est le FFS, autre objectif de l'agitation actuelle ...
                              Dernière modification par ott, 01 mai 2014, 14h22.
                              Othmane BENZAGHOU

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                              • #45
                                Je résumerai en disant que Bouteflika veut mourir sur le koursi et que Benflis veut mourir une fois s'être assis sur le koursi.

                                Après, l'opposition a 5 ans (avec des élections entre temps). 5 ans c'est très court et ça va passer vite. Donc, l'opposition devrait s'organiser pour proposer quelque chose de concret aux gens.
                                Dernière modification par Louny, 01 mai 2014, 14h14.

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