Un terroriste, qui était au volant du camion piégé de Réghaïa, a été capturé et se trouve actuellement dans un hôpital à Alger pour des soins. Selon nos sources, ce terroriste, originaire de Reghaïa et qui n’est âgé que de 18 ans, figurait parmi les quatorze blessés transférés la nuit même de l’attentat à l’hôpital de Rouiba. Il s’est avéré que le seul blessé qui a été transféré cette nuit-là vers un hôpital à Alger était le conducteur du camion qui a explosé devant le commissariat de Réghaïa. Les services de sécurité, qui étaient sur le qui-vive dans les heures qui ont suivi les explosions, ont donné des instructions aux hôpitaux de leur donner le maximum de renseignements sur les blessés. Des enquêteurs ont été dépêchés sur les lieux de l’explosion et au niveau des hôpitaux où ils ont interrogé des blessés témoins de l’attentat.
Leurs investigations ont fini par donner des résultats, puisqu’ils sont arrivés à identifier un des terroristes ayant participé à l’attentat et qui n’a pu s’échapper à cause des graves blessures qu’il portait sur plusieurs parties du corps. Les soupçons des policiers seront quelques heures après renforcés par les résultats des analyses effectuées sur le blessé. En effet, d’après ces analyses, le terroriste aurait consommé du “musc” quelques minutes avant l’attentat. Le musc étant une substance aromatique que les terroristes utilisent généralement à la fois comme une drogue et un antiseptique. Selon nos sources, ce jeune homme aurait d’abord été touché par une balle d’un policier en faction au moment où il descendait en même temps que ses deux acolytes du camion pour crier : “Fuyez ! Fuyez !” À ce moment-là, un policier dégaine et tire sur le terroriste le blessant aux jambes et aux épaules.
Quelques secondes après, l’explosion du camion piégé se produit. Le terroriste reçoit de nombreux débris sur la tête et s’avanouit. Il ne reprendra connaissance qu’une fois à l’hôpital de Rouiba. Selon nos sources, le jeune homme aurait avoué avoir conduit le camion, mais il ignorait sa destination encore moins la nature de la cargaison. “Ils m’ont eu”, disait-il aux enquêteurs. Un aveu et une explication difficile à faire avaler aux policiers chargés de l’enquête de cet attentat. Mais une chose est sûre. Le GSPC s’appuie désormais sur de jeunes non fichés et insoupçonnables pour commettre les attentats. Et comme il arrive difficilement à les convaincre par le “djihad”, il utilise l’argent du racket pour payer “de jeunes mercenaires”. C’est ce qui explique d’ailleurs la multiplication des opérations de kidnapping ces deux dernières années.
source: Liberté
Leurs investigations ont fini par donner des résultats, puisqu’ils sont arrivés à identifier un des terroristes ayant participé à l’attentat et qui n’a pu s’échapper à cause des graves blessures qu’il portait sur plusieurs parties du corps. Les soupçons des policiers seront quelques heures après renforcés par les résultats des analyses effectuées sur le blessé. En effet, d’après ces analyses, le terroriste aurait consommé du “musc” quelques minutes avant l’attentat. Le musc étant une substance aromatique que les terroristes utilisent généralement à la fois comme une drogue et un antiseptique. Selon nos sources, ce jeune homme aurait d’abord été touché par une balle d’un policier en faction au moment où il descendait en même temps que ses deux acolytes du camion pour crier : “Fuyez ! Fuyez !” À ce moment-là, un policier dégaine et tire sur le terroriste le blessant aux jambes et aux épaules.
Quelques secondes après, l’explosion du camion piégé se produit. Le terroriste reçoit de nombreux débris sur la tête et s’avanouit. Il ne reprendra connaissance qu’une fois à l’hôpital de Rouiba. Selon nos sources, le jeune homme aurait avoué avoir conduit le camion, mais il ignorait sa destination encore moins la nature de la cargaison. “Ils m’ont eu”, disait-il aux enquêteurs. Un aveu et une explication difficile à faire avaler aux policiers chargés de l’enquête de cet attentat. Mais une chose est sûre. Le GSPC s’appuie désormais sur de jeunes non fichés et insoupçonnables pour commettre les attentats. Et comme il arrive difficilement à les convaincre par le “djihad”, il utilise l’argent du racket pour payer “de jeunes mercenaires”. C’est ce qui explique d’ailleurs la multiplication des opérations de kidnapping ces deux dernières années.
source: Liberté
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