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Le FFS met le cap sur la conférence de consensus national

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  • #16
    Il faut supporter le stress de la vie.

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    • #17
      je te dirais aussi que les gens ne sont pas assez curieux de tout.

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      • #18
        Il faut supporter le stress de la vie.
        t'as raison...de gaule !!!

        faut vraiment être a bout.
        There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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        • #19
          qu'est-ce que t'appelle " à bout "? Je devine que c'est quand tu ne peux plus réfléchir parceque les conditions ne te le permettent pas ? C'est là que tu peux paniquer.

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          • #20
            qu'est-ce que t'appelle " à bout "? Je devine que c'est quand tu ne peux plus réfléchir parceque les conditions ne te le permettent pas ? C'est là que tu peux paniquer.
            réfléchir non !!!

            je suis en mode économique...le "jour" ou tu t'impliqueras dans un parti politique viens me parler.
            There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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            • #21
              ça serait génial pour moi d'être enfin écouté mais c'est peu probable, je ne suis pas énarque ou médecin, je suis au chômage de mes compétences. les gens ne veulent pas me voir comme quelqu'un qui peut être plus utile, parceque pour eux tout est honorifique alors qu'en réalité c'est du boulot rien d'autre

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              • #22
                ça serait génial pour moi d'être enfin écouté mais c'est peu probable, je ne suis pas énarque ou médecin, je suis au chômage de mes compétences. les gens ne veulent pas me voir comme quelqu'un qui peut être plus utile, parceque pour eux tout est honorifique alors qu'en réalité c'est du boulot rien d'autre
                ok jour...

                d'habitude se sont ceux qui ont la double nationalité et ceux qui ont des hotels au canada qui attaquent le ffs...
                There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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                • #23
                  oui je vois de quoi tu parles, c'est difficile de se tromper sur les personnes

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                  • #24
                    voila !

                    alors occupez vous de ceux qui détruisent et volent les richesses de ce pays.
                    There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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                    • #25
                      Changement démocratique
                      L’opposition divisée sur la démarche

                      Liberte du 19/08/2014 - Par : Farid Abdeladim

                      Alors que le pouvoir s’apprête à finaliser son projet de nouvelle Constitution, les consultations qu’il a engagées étant déjà clôturées, l’opposition, désormais incarnée par trois pôles distincts, à savoir la CNLTD, le pôle du changement mené par le candidat malheureux de la présidentielle d’avril 2014, Ali Benflis, et le FFS, multiplie, de son côté, les tractations pour proposer une plateforme politique prônant le changement démocratique. S’il est facile de comprendre la divergence entre le pouvoir, lequel cherche, vaille que vaille, à imposer (sa) nouvelle Constitution, il n’est pas, en revanche, commode d’expliquer les différentes démarches que proposent, en solo, les trois camps de l’opposition. Pourtant, ces derniers convergent tous vers le même et unique idéal : “Instaurer un État démocratique.” En effet, le discours est le même que tiennent, séparément, les trois pôles de l’opposition, lesquels, auparavant, se sont réunis autour d’une même table à l’occasion de la conférence nationale organisée par la Coordination nationale pour les libertés et le changement démocratique (CNLTD). Cependant, l’entreprise de fédérer les forces de l’opposition n’a pas duré longtemps, puisque, juste après ce rendez-vous censé être fédérateur, elle a capoté. Le Front des forces socialiste (FFS) était le premier à se distinguer par son appel à une conférence dite de “consensus national” à travers laquelle il veut jouer le médiateur entre le pouvoir et le reste de l’opposition. Une démarche pour le moins incongrue pour ce parti désigné comme étant le plus vieux de l’opposition. Ce qui ne l’a pas épargné de critiques émanant de partout, y compris de certains partis au pouvoir qui se demandent comment ce parti, dont la représentativité au sein de la société est de plus en plus remise en cause, s’érige en fédérateur et s’arroge le droit de parler au nom de toute de la classe politique ? La sortie du bois du FFS ne doit pas surprendre, outre mesure, les membres de la CNLTD, sachant que ce parti avait participé aux consultations sur la révision constitutionnelle initiée par le pouvoir, avant de prendre part à la conférence nationale pour le changement démocratique, tenue en juin dernier à Zéralda. Si les représentants de la CNLTD ont naturellement émis des réserves par rapport à la démarche du FFS, néanmoins, ils lui accordent encore le bénéfice du doute. Les réserves de la CNLTD sont liées notamment à la participation du pouvoir, comme suggéré par le FFS. “À présent, nous voulons être toujours positifs par rapport à la démarche du FFS. Cela étant, nos initiatives, (l’appel du FFS à un “consensus national” et l’ambition de la CNLTD d’aller vers un changement démocratique), se rapprochent. “Bien sûr, notre souhait est que l’opposition parle d’une seule voix”. Ces propos tenus, au nom de la CNLTD, par Zineddine Tebbal, chargé de communication du MSP, résume l’état d’esprit qui anime les membres de la CNLTD dont l’objectif, insiste-t-il, est d’aller vers l’instauration d’un État démocratique. Contacté hier par téléphone, le militant du MSP a, par ailleurs, affirmé que la CNLTD n’a pas reçu d’invitation de la part du FFS. D’où, il préfère parler, à présent, de la plateforme politique de la CNLTD dont des copies ont été déjà remises aux représentants du pouvoir et à de nombreux acteurs politiques et de la société civile. Selon M. Tebbal, la plateforme politique de la CNLTD vise l’instauration d’un État démocratique dont, dit-il, “la garantie des élections libres et transparentes reste l’outil principal”. S’agissant, par ailleurs, du pôle du changement mené par Ali Benflis, dont les représentants sont injoignables, le membre de la CNLTD a déclaré ne rien savoir de concret sur la démarche de cette aile de l’opposition.
                      Il est particulièrement remarquable de constater comment les faits sont manipulés, détournés, orientés pour accréditer une idée sur une autre, à tel point qu'on a une nouvelle démonstration du rôle de certains journalistes portes voix d'une "opposition" et du "pouvoir"...

                      Il est étonnant de voir ce journaliste nous affirmer tout d'abord que les démarches des 3 pôles étaient solitaires, pour de suite nous affirmer que la première ne l'était pas, puisque "fédératrice", façon de nous suggérer que celle du FFS est solitaire.

                      Il est ensuite remarquable de lire que le pouvoir s’interroge sur la légitimité du FFS de parler au nom de la classe politique algérienne, une magnifique démonstration de ce qu'est en effet une partie de cette classe politique, de cette opposition, qui trouvent dans le "pouvoir" un bien connu porte parole, pour ne pas parler de marionettiste.

                      Et on retrouve ensuite carrément de la pure désinformation, et non plus de "l'analyse orientée", puisque ce journaliste nous affirme que le consensus, que le FFS et Mouloud Hamrouche appellent de leur voeux depuis plusieurs mois, pour ne pas parler d'années, date de la conférence de presse du FFS du 10 aout 2014, puis pour nous affirmer que le FFS a participé aux consultations lancées autours de la constitution le 18 juin 2014 avant la conférence expéditive organisée d'abord pour fin mai, qui s'est enfin tenue le 10 juin 2014...

                      Toutes ces contorsions politico-médiatiques démontrent bien la difficulté de certains milieux pour trouver la formulation politique capable de contrer une initiative claire du FFS, à tel point qu'elle est qualifiée de "sortie du bois". Cette n-ième cartouche, issue de certains milieux connues pour leur proximité du RCD, donc du CNLTD, et qui se propose être le porte parole du pouvoir qui s’interrogerait de la sorte, démontre encore la nature politique de certains opposants, et démontre la nature du show médiatique observé autour du CNLTD... Le meilleur est à venir...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #26
                        Rejetant un « consensus suspect » avec le pouvoir : Belabbas s’en prend au FFS

                        Rédigé par Fayçal Hamdi

                        La Nation, le Samedi 23 Août 2014


                        Mohcine Belabbas, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a, vertement accusé le Front des forces socialistes (FFS), de chercher un consensus suspect avec le pouvoir, et sur le dos du citoyen.

                        Grave accusation, s’il en est, qu’a portée Mohcine Belabbas contre le parti frère-ennemi, le FFS, à l’occasion de l’ouverture des travaux du colloque commémoratif du 58e anniversaire du congrès de la Soummam, organisé, jeudi, au Théâtre régional de Béjaïa (TRB). Traçant un sombre bilan de la situation politique du pays, le président du RCD qui a estimé que la solution supposait un compromis historique, déclare qu’« il ne s’agit pas de chercher un consensus suspect avec le pouvoir en place sur le dos du peuple », en allusion directe à la conférence nationale de consensus que compte organiser dans les prochains mois le FFS, et pour laquelle il espère réunir l’opposition et le pouvoir, autour de la même table. C’est dire que le RCD refuse, d’ores et déjà, de s’inscrire dans cette démarche et sera absent de cette conférence. Cela, bien que le FFS était présent à la conférence sur la transition organisée, le 10 juin à Zéralda, par la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), dont le RCD est membre. Pour le RCD, « C’est au pouvoir, qui détient l’ensemble des prérogatives, de donner des gages de bonne volonté et non l’inverse ». Et à Mohcine Belabbas d’estimer : « un tel projet (le consensus, Ndlr) n’a pas besoin d’un médiateur ». Plus loin encore, et dans une missive adressée indirectement au FFS, l’orateur déclare qu’il faut cesser de se poser en victime, refuser l’humiliation et l’arbitraire imposés par les dirigeants et se prendre en charge, avant d’appeler l’ensemble de la classe politique « à devenir acteurs de notre propre histoire et regarder vers l’avenir au nom de l’aspiration démocratique en arrachant nos droits, en assumant nos obligations et en occupant chacun sa place, toute sa place et uniquement sa place ». Aussi, ajoute Mohcine Belabbas, la sortie de crise actuelle que traverse l’Algérie n’est pas du ressort d’une seule partie. « Nous l’avons toujours dit, ni un parti, ni une institution ni aucune personnalité ne peut, seul, réparer un désastre historique de cette ampleur. Vous savez tous que l’avenir commun nécessite un sursaut patriotique à la mesure de celui qui a mené au 1er novembre 1954 », dit-il, estimant que toutes les conditions sont réunies puisque « l’encadrement démocratique existe dans diverses catégories sociales, sensibilités et générations », alors que « l’engagement citoyen n’a jamais été autant disponible et visible », pense Belabbas. Dans son constat politique, le successeur de Saïd Sadi fera remarquer que « c’est parce que la plateforme de la Soummam a été occultée, l'indépendance confisquée et le peuple dessaisi de sa souveraineté que le système politique qui a été instauré en 1962 continue de sévir et de reproduire l’échec ». La crise, ajoute-il, « perdure, s’aggrave et atteint tous les domaines de la vie nationale parce qu’elle n’est pas liée à une circonstance ou conjoncture ni même le fait d’un seul dirigeant ». « Impunité et protection dont jouissent les auteurs de la prédation et de la corruption », « révolte qui s’exprime par l’émeute à cause de la fermeture de tous les espaces démocratiques » ou encore « répression des syndicats autonomes, associations de la société civile », Mohcine Belabbas ne mâche pas ses mots. « Les événements de Ghardaïa, sont un échantillon de la faillite de l’Etat et de son incapacité à assurer ses missions essentielles, à commencer par la sécurité et l’application de la loi », accuse-t-il. Le colloque qu’a organisé le RCD se veut « un travail de mémoire mais aussi un travail de prospective », estime Belabbas pour qui, « en plus d’avoir donné une meilleure structuration au mouvement de libération, instauré une meilleure discipline et assuré un meilleur encadrement aux populations, les participants au congrès de la Soummam (le 20 août 1956, Ndlr) anticipaient déjà sur la nature du futur Etat ».
                        Quand l'opposition stérile s'exprime, on entend le même discours qui nous est servi depuis fort longtemps, sauf quand le RCD a présenté des ministres dans un gouvernement Bouteflika. Sinon, toujours la même rhétorique, bien épinglé par la dernière sortie de Djamel Zenati, d'une opposition à l'opposition, d'une pièce de théâtre ou chacun connait bien son rôle, comme le précise bien sieur Belabbas....
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #27
                          Il en est oû, le FFS, avec sa participation au gvt?
                          Où sont Benflis et le mouvement Barakat ?..

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                          • #28
                            Il rédige le livre blanc, qui à se rythme va être transparent....
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #29
                              Le président de l’instance présidentielle, Mohand Amokrane Chérif, expert auprès de l’ONU, devait présenter une conférence sur les modèles internationaux de consensus dans le monde et voir dans quelle mesure ces expériences pourraient s’appliquer pour l’Algérie.
                              Quelqu'un peut-il nous donner un résumé de qui est Mohand Amokrane Chérif ?

                              Merci.
                              L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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