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Relance de l’Industrie militaire algérienne- Sortie d’usine des premiers systèmes électroniques

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  • #16
    ya meme pas des centre de recherche dignes de ce nom
    Arrête de chialer !..
    La Chine s'est développée militairement grâce aux "partenariats allemands" des années 80

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    • #17
      t'as pas tord..ya meme pas des centre de recherche dignes de ce nom..de l'Assemblage, sous traitance..a la Condor koi.. les choses classique, la routine koi..
      Au loup, on lui avait demander, qui est ton témoin, il leur répond ma queue!

      Entre 'makhnez et khnez, c'est répugant!!!
      " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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      • #18
        Capo,

        t un optimiste alors..je ne crois pas trop au reveil apres une longue hybernation..

        Rosier..

        explique, je suis plutot style directe..
        Gaza avec ses micros moyens a réussi développer des industries militaires.
        Le problème est dans la tete de certains dirigeants, cette tete qui reste dans un état colonisé.

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        • #19
          Quasimodo
          .le peuple tout entier se perd..une sorte d'identification a l'agresseur (la france)
          Parle pour toi,et passe ton chemin ..............................assez vite tu est dans le viseur ( ALLEMAND )

          Rien a voir avec la France

          Allemagne oui



          Chine oui




          Russie oui

          Serbie oui

          USA oui

          France non ,nada,niet,neine,wala hata haqua
          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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          • #20
            rosier
            explique, je suis plutot style directe..
            @babeloued.

            Ce que j'avais dis en avant dernier concerné plus particulièrement un m'khazni.

            Sinon, en ce qui me concerne j'ai beaucoup d'espoir pour mon pays et un monde où un, certain, bonheur est possible pour tous.
            Dernière modification par rosierbelda, 11 septembre 2014, 16h25.
            " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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            • #21
              Le Général-major Rachid Chouaki : «Nous avons réactivé des sites industriels fermés depuis longtemps»

              A la tête de la Direction des fabrications militaires (DFM), le Général-major Rachid Chouaki dirige l’ensemble de l’activité industrielle de l’ANP et conduit les projets de partenariat conclus récemment avec des entreprises étrangerères. Il tente, depuis un certain moment, de rendre l’intégration de cette activité dans le tissu économique du pays efficace et rentable. Pour lui, le principe de la dualité de la fabrication industrielle (militaire et civile) est primordial. Il nous explique, dans cet entretien, les nouvelles orientations du haut commandement de l’armée qui font du partenariat étranger une condition incontournable pour la relance économique du pays.

              -La Direction des fabrications militaires a engagé, depuis quelque temps, plusieurs projets industriels avec des partenaires étrangers. Quel apport ces projets peuvent-ils avoir sur l’effort des pouvoirs publics visant la relance de l’industrie nationale ?

              En préambule, permettez-moi d’affirmer un concept qui fait que chaque armée de par le monde dispose ou essaye de disposer d’une base industrielle et de technologie de défense. Cette base industrielle regroupe un certain nombre d’opérateurs économiques locaux de différents statuts qui participent aux approvisionnements de l’armée de façon à ce que celle-ci puisse accomplir ses missions en toute autonomie.

              Généralement, ces opérateurs sont classés en trois grandes catégories : ceux qui conçoivent, développent, produisent, maintiennent ou rénovent l’armement, les systèmes d’armes, les équipements et matériels militaires ; ceux qui pourvoient l’armée en produits communs mais qui sont stratégiques, tels que les carburants, les huiles ; et dans une troisième catégorie les opérateurs qui mettent à la disposition de l’armée des produits courants tels que les subsistances, les effets d’habillement, les articles de couchage, de campement et d’ameublement. Ce sont là les trois catégories d’opérateurs qui constituent l’essentiel de la base industrielle et de technologie de défense.

              L’Algérie, à l’instar d’autres pays, dispose d’une importante base industrielle et de technologie substantielle et en constante évolution. La Direction des fabrications militaires (DFM) qui constitue l’outil majeur du ministère de la Défense pour moderniser, animer coordonner, étendre et développer cette base a retenu le partenariat comme chemin de développement. Nous nous sommes aperçus qu’à travers le monde, ces dernières années, l’exigence de dualité est devenue un facteur de rentabilité incontournable de cette base industrielle et des opérateurs qui la constituent.

              Un fabricant d’équipements militaires ne peut envisager une profitabilité à long terme de son activité, si cette dernière ne cœxiste pas avec une production à usage civil permettant d’assurer la rentabilité de l’entreprise, dans le cas où il y a une baisse de la commande militaire. C’est la raison pour laquelle la DFM s’est engagée dans ce type de partenariat qui garantit une certaine rentabilité économique, mais qui permet aussi d’assurer une production de qualité, en ce sens que le produit militaire est caractérisé par un niveau de qualité optimale et sévère pouvant être appliqué dans ce cas aux productions civiles. Les partenaires que nous avons retenus sont, dans ce contexte, des détenteurs de technologies avérées et génératrices de productions duales. N’oublions pas, enfin, que la recherche et le développement en matière d’armement a toujours débouché sur des applications civiles.

              -Concrètement, comment ce partenariat a-t-il été conçu par l’ANP ?

              Sur un plan conceptuel, le partenariat porte sur l’implémentation et l’exploitation de technologies up today portées par des technologues avérés et connus acceptent de s’installer et de nous accompagner en Algérie. Il s’agit, par ailleurs, de ramener de l’investissement direct étranger pour financer ces partenariats. Nous avons capté beaucoup d’investisseurs étrangers, qui sont des fonds d’investissement des pays du Golfe tels que les Emirats arabes unis, mais aussi d’Europe et d’Asie. Ces partenariats ont donné naissance à des sociétés par actions dont l’actionnariat est défini conformément à la LFC 2009, où la partie algérienne est majoritaire et constituée généralement de participations d’EPE de la branche sectorielle et d’EPIC du ministère de la Défense nationale.

              La partie étrangère actionnaire peut être investisseur et/ou technologue et fait partie intégrante du partenariat. Je peux citer, entre autres, les groupes allemands Daimler, Rhode & Schwarz, Cassidian-Deutschland, Carl Zeiss et des sociétés chinoises. Il y a aussi des fonds d’investissement et des sociétés émiratis qui ont choisi l’Algérie du fait de sa crédibilité et de l’attrait de son marché.

              Ces partenariats ont donné lieu à des sociétés par actions (Spa), lesquelles sont maintenant chargées de conduire et de réaliser des projets d’envergure. Elles vont ensuite exploiter les usines réalisées et commercialiser leurs productions. Elles bénéficient d’un management algéro-étranger, conduiront des programmes et assureront la recherche et le développement menés en commun. Je dirai enfin que ces partenariats ont été conçus, étudiés et négociés sur un principe cardinal qui est celui de la rentabilité. Tout a été établi à partir d’un business plan découlant de programmes de commercialisation et d’exportation de façon à ce que, sur la durée du partenariat projeté sur une trentaine d’années, ces sociétés dégagent une rentabilité au bout des cinq premières années et que les actionnaires perçoivent aussi des dividendes aussi au bout de la cinquième année.

              -Quels sont les secteurs concernés en priorité par les programmes de partenariat ?

              Conformément aux instructions du Haut commandement de l’ANP, nous nous sommes d’abord installés dans des sites qui étaient fermés. Il s’agit de plusieurs sites : à Khenchela, Tiaret et une partie de l’ENIE de Sidi Bel Abbès. Nous les avons intégrés et nous avons mis en place des programmes de partenariat. Nous avons aussi activé sur des sites industriels complètement structurés avec des technologies vétustes et gravement altérés par la perte de la majorité des parts de marché. Je peux citer le cas de l’ENMTP de Aïn Smara, l’usine de moteurs de Oued Hamimine, et la SNVI de Rouiba. Nous avons aussi créé pour les besoins de ces partenariats trois EPIC, celle des plateformes des systèmes électroniques de Sidi Bel Abbès, de l’industrie des véhicules à Tiaret, et celle de la promotion des industries mécaniques de Constantine.

              Dans le secteur textile, pourvoyeur de tissus pour les besoins de la confection d’uniformes militaires, nous nous sommes aperçus ces dernières années que ce secteur courait vers sa disparition. Nous avons donc décidé de prendre en charge toutes les entreprises qui étaient pourvoyeuses de l’ANP, en l’occurrence les entités textiles de Batna, Béjaïa, M’sila, Souk Ahras, Tizi Ouzou, Tlemcen et Sebdou. Ces entreprises ont été filialisées avec une grande entreprise du ministère de la Défense nationale, qui est l’EHC, et un important programme d’assainissement, de mise à niveau et de réorganisation en une seule entreprise, en l’occurrence l’Epe Eatit, leur a été consacré dans l’esprit de la filialiser aussi avec les partenaires étrangers.

              Nous avons aussi procédé à l’ouverture directe de sites industriels qui étaient fermés depuis des dizaines d’années et qui sont maintenant entrés en production au profit de l’ANP, à l’exemple de l’usine de fabrication de chaussures de Bou Saâda. Je dois dire que toutes nos actions et nos projets s’inscrivent dans la participation de l’ANP à la relance économique du pays. Nous travaillons ainsi selon plusieurs directions, et le partenariat constitue pour nous la clé de voûte de la relance économique de notre pays.

              -Il y aura donc des projets de partenariat même dans le secteur textile…

              Notre premier souci est celui d’assure les approvisionnements de l’armée. A un certain moment, nous nous sommes retrouvés dans une situation où il y avait risque imminent d’importer du tissu pour fabriquer nos tenues militaires, alors que ce tissu a été développé et réalisé dans des usines algériennes du secteur textile. Ces usines avaient des déficits énormes, n’assuraient plus aucun entretien de leur parc machines, et le marché informel les avait toutes mises à genoux. Mais, malgré cela, le ministère de la Défense nationale s’approvisionne de ce secteur. Notre soldat est habillé de la tête aux pieds avec des effets made in Algeria.

              Cependant, ce secteur vivait une telle situation qu’il y avait péril en la demeure. Il y a eu alors une décision de prendre en charge tous les opérateurs du textile qui activaient à plus 70% de leur chiffre d’affaires en direction de l’ANP. Une importante opération d’assainissement et de mise à niveau est en cours, car nous étions convaincus que personne ne viendrait investir en tant que partenaire dans un secteur moribond. Actuellement, nous avons des contacts assez avancés avec des partenaires potentiels et nous avançons doucement. Ce qui est important maintenant, c’est que ce secteur soit devenu fournisseur attitré de l’ANP et des corps constitués, et il n’y a plus cette peur d’importer des produits textiles jadis fabriqués localement.

              A vrai dire, le partenariat dans ce secteur ne va pas concerner l’ensemble des activités. Il touchera vraisemblablement la fabrication de tissus spéciaux, le tissu intelligent, du camouflage de protection, etc. Il y a des technologues dans le monde avec lesquels nous discutons pour essayer de les arrimer à ce partenariat.

              -Il reste tout de même le problème des approvisionnements en matière première. On croit savoir que l’armée compte se sécuriser sur ce plan en lançant des projets de culture de coton...

              L’industrie textile en Algérie est une industrie dont l’intégration est à la portée du pays. Je pense que dans les cinq prochaines années, l’Algérie va dominer toutes les phases qui caractérisent l’industrie textile, à savoir la filature, le finissage et la confection. Nous avons assez d’outils qui nous permettent d’ériger notre pays en leader dans ce domaine. Quant à la matière première, il est vrai qu’il y a un effort qui doit être fait pour en assurer la production, notamment la fibre naturelle. Une réflexion a été faite par les pouvoirs publics pour pouvoir démarrer dans ce sens et associer, pourquoi pas, l’ANP. Cette réflexion concerne également l’industrie des hydrocarbures pour ce qui est de la fibre synthétique dont la production présente de réelles perspectives.

              .../...
              .
              Dernière modification par AM75, 11 septembre 2014, 18h34.

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              • #22
                .../...

                -Comparativement à la situation dans laquelle se trouvent les EPE et les contraintes auxquelles elles font face, les entreprises du secteur économique de la Défense jouissent-elles d’un quelconque avantage du fait de leur appartenance à un secteur stratégique, ou bien font-elles face aux mêmes problèmes (difficultés financières, manque de matières premières, concurrence déloyale à cause des importations, lourdeurs administratives, etc.) ?

                Nous avons des EPIC opérationnelles qui travaillent depuis longtemps. Nous, dans l’armée, nous n’avons pas d’entreprises déficitaires pour la simple raison que nous travaillons sur des commandes annuelles et en revolving. Quant aux EPE, l’Etat a mis les moyens pour mettre à niveau ces entreprises et impulser ces partenariats. L’Etat a fait un effort d’assainissement très important, notamment pour la SNVI, l’ENI de Sidi Bel Abbès, le complexe des moteurs de tracteurs de Constantine et pour l’ENMTP de Aïn Smara.

                Cet effort a été accompagné d’un investissement financé selon des conditions bonifiées et des dotations en capitaux au profit de leurs filiales. Elles ont été également dotées, pour la plupart, de subventions de démarrage, ce qui a permis de présenter au partenariat des opérateurs économiques sains. C’est ce qui a créé, d’ailleurs, cette situation de confiance entre nous et nos partenaires étrangers. Cette fois-ci, je suis convaincu qu’il y a, pour les EPE, une part de marché à reprendre localement et des perspectives d’exportation. Sans programme de partenariat, je ne pense pas que ces entreprises auraient bénéficié d’un soutien de cette envergure de la part de l’Etat.

                -Dans vos négociations avec vos partenaires, comment avez-vous traité la question de la formation et du transfert technologique ?

                C’est une question pertinente, en ce sens que le transfert technologique et du savoir-faire constitue la pierre angulaire de la réussite d’un partenariat et de tout projet industriel dans notre pays qui vise, en fait, l’exploitation pure et dure d’une licence, d’un brevet ou d’une propriété intellectuelle. Selon une forme organisée et réglementée de par le monde. Nous n’avons, dans ce cas, rien à inventer en méthodologie. Quant à la formation, à la DFM nous avons pris l’exemple de ces industriels allemands pour qui la formation, notamment la formation professionnelle, constitue la colonne vertébrale de la réussite de leurs produits et de leurs marques.


                Cette formation, ils l’ont subdivisée en trois niveaux : le premier concerne la formation de base dispensée par l’enseignement étatique, mais qui fait l’objet d’une attention et d’un suivi permanents par les opérateurs industriels. Des centres de formation sont ainsi installés autour des grandes villes industrielles. Le deuxième niveau concerne la formation de mise à niveau prise en charge par l’opérateur industriel et la formation spécifique qui prépare aux postes.

                Il y a enfin la formation continue et le recyclage pour lesquels aucun employé ne peut se dérober. Nous, nous essayons d’adopter ce type de formation. Il y a des formations duales qui se déroulent en entreprise et au centre de formation et nous avons, pour cela, des centres dans nos usines qui constituent un atout de réussite introduit par ces partenariats. Nous engageons également avec nos partenaires des programmes d’assistance technique en formation, dans lesquels des incubateurs sont inclus.

                Ce sont des formateurs envoyés chez nos partenaires pour les inclure à leur retour dans les centres de formation. Je tiens à souligner, par ailleurs, l’assistance du ministère de l’Enseignement professionnel qui n’a pas lésiné sur les moyens matériels et d’engineering pour soutenir notre action. Mais le grand défi à relever à l’avenir concerne le management. Il y a un grand effort à faire dans ce sens, et nous pensons qu’avec l’assistance de nos partenaires, nous aurons beaucoup à apprendre en matière de gestion et de management d’entreprise.

                -La Russie, traditionnel pays pourvoyeur de l’Algérie en armement et équipements militaires, n’est apparemment pas concernée par les programmes de partenariat que vous avez lancés. Pourquoi l’ANP préfère-t-elle aujourd’hui recourir aux pays occidentaux pour établir ses partenariats ?

                Dans le périmètre industrie, nous avons des partenaires européens, du Moyen-Orient de l’Asie, mais aussi des partenaires issus de pays que vous citez. Nous avons, par exemple, un partenariat en montage avec des sociétés chinoises et nous avons des perspectives en matière de partenariat avec des opérateurs russes et des compagnies américaines. Ce qu’il faut savoir, c’est que nous avons reçu des orientations claires pour industrialiser des produits militaires, selon un cahier des charges précis et fixé par les plus hautes autorités de l’ANP, et c’est à nous de concrétiser les voies et moyens de les industrialiser.

                Il nous est demandé aussi de rentabiliser nos activités. C’est la raison pour laquelle nous sommes sur des actions durables, avec le souci que le produit militaire fabriqué soit conforme aux exigences de l’utilisateur, tout en essayant d’implémenter des technologies durables et porteuses de développement.

                -Est-il possible d’établir une estimation de ce que représente l’industrie militaire dans l’économie nationale, sa part dans le PIB du pays, son chiffre d’affaires et les emplois qu’elle assure ?

                En matière de PIB, la base industrielle et de technologie de défense fait partie intégrante du tissu industriel national. Quand on analyse la part de cette industrie dans le PIB général, elle est minime, soit de 5 à 6% seulement. Mais je pense, et j’en suis convaincu, que le prochain plan quinquennal, lorsque tous ces projets seront opérationnels, nous pourrons, selon des estimations établies dans les plan vision de l’industrie, atteindre la part de 10%. Cela nous permettra de nous ériger en tant que pays producteur et exportateur et nous permettra, aussi, de supprimer cette économie informelle et cette dépendance aux hydrocarbures.

                En termes de valeur ajoutée pour notre pays, il y aura des retombées en matière d’emplois pérennes. Actuellement, le secteur industriel militaire fait travailler 15 000 à 17 000 employés civils. Nous passerons, grâce à ces projets de partenariat, dans une première phase à 25 000 emplois directs, sans compter les emplois créés par les entreprises sous-traitantes pourvoyeuses de ces partenariats et pour lesquelles l’Etat a consenti un grand effort d’assainissement et de mise à niveau. Nous estimons, dans les analyses faites avec nos partenaires, créer pas moins de 20 000 emplois dans la sous-traitance, notamment dans la mécanique. Pour nous, il y a un plan stratégique pour une mise à niveau réelle de l’industrie mécanique, électronique et manufacturière du pays qui étaient, faut-il le rappeler, le fer de lance de notre industrie nationale dans les années 70’.

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                • #23
                  tu peux nous donner une recette de comment un pays passe d'importateur net (100%) a un fabricant net (100%) maitrisant tous les processus et technologies des systemes electroniques et militaires de surcroit.
                  Etudie le cas de la Coree du sud tu trouveras ta réponse.

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                  • #24
                    les efftes d'annonces ou le khorti

                    L’Algérie aura sa propre puce électronique. Elle sera fabriquée à partir de janvier 2014. Elle sera utilisée dans différents domaines. C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui à Alger le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Abdelhafid Aourag.

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                    • #25
                      Qassimodo.

                      Rosier,
                      malentendu alors, je pensais a utre chose..je suis probabelment plus patriotique que toi..ct une critique constructive
                      C'est bien de voir qu'il y a plus patriote que soi...le pays est entre de bonnes mains alors!
                      Dernière modification par rosierbelda, 12 septembre 2014, 21h41.
                      " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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                      • #26
                        @quassimodo
                        Rosier,

                        Je suis optimiste, mais realiste..pour avancer il fo s'auto critiquer et corriger
                        L'autocritique positive et dans le respect c'est mieux encore!...C'est bien encourageant de voir nos compatriotes bien optimistes que réalistes.
                        " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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                        • #27
                          L'avenir est tout benef ..
                          Faut se rappeler du temps où la France refusait de nous vendre des jumelles

                          Commentaire


                          • #28
                            رئيس مركز دعم تجارة الصناعة الكورية للدفاع لي دو كووك لـ”الخبر”
                            ”الشركات الكورية مستعدة للشراكة في مجال التجهيزات العسكرية مع الجزائر”
                            الأربعاء 27 أوت 2014 الجزائر: حفيظ صواليلي

                            لا مانع لدينا في تركيب أو تصنيع جزء من العتاد في الجزائر
                            لدينا اهتمام خاص بالجزائر ونقترح عدة صيغ تشمل قطاعات متعددة
                            شدد لي دو كووك، رئيس مركز دعم تجارة الصناعة الكورية للدفاع، على اهتمام الشركات الكورية بالعمل مع الجزائر وإمكانية توفير سيول لكافة البدائل الممكنة في مجال التجهيز والعتاد العسكري، وحتى توسيع نطاقها من خلال اقتراح مشاريع مدمجة تسمح بنقل التكنولوجيا واستفادة الجزائر من مشاريع عديدة في قطاعات مختلفة، منها الصحة والمنشآت القاعدية، مؤكدا على أن كوريا تمتلك التقنية والتكنولوجيا التي يمكن من خلالها منافسة الدول الكبرى، ولا تمانع سيول، حسبه، في إقامة شراكة تشمل حتى تركيب أو تصنيع عتاد عسكري تطلبه الجزائر، بعد تحديد الطلب ودراسته على المستوى الثنائي.
                            وأوضح مسؤول المركز الذي يشرف على أهم شركات الصناعة العسكرية في كوريا، على أن الهدف من الشراكة مع الجزائر ليس تجاريا صرفا، مؤكدا في لقاء مع ”الخبر” أن الزيارة التي يقوم بها إلى الجزائر، وهي الأولى من نوعها، استكشافية، وسمحت من خلال لقاء مع مسؤولي مديرية المشتريات والتموين بوزارة الدفاع الجزائرية، باستعراض أولى المعطيات الخاصة باهتمام كوريا الجنوبية، لدراسة الطلبات الجزائرية وتقديم العروض التي تهم السوق الجزائرية.
                            وأشار لي دو كووك إلى أن توجهات الرئيسة بارك غون هاي ”تكرس توسيع دائرة التعاون والشراكة الاقتصادية والاهتمام بالمنطقة”، معترفا بأن ”الجانب الخاص بالدفاع لا يزال دون المستوى المأمول، وعليه فإن مهمة المركز هي التأكيد على وجود اهتمام كبير بالجزائر، خاصة أن القطاع الاقتصادي عرف تطورا، بينما مجال الدفاع بحاجة إلى تعميق”.
                            وقد باشر المركز، حسب دو كوك، تحقيقا حول حاجيات الدفاع والعرض الخاص بالمؤسسات الكورية، وما يمكن أن تقدمه سيول. وأضاف: ”تحدثنا مع مسؤول مديرية مصلحة المشتريات والتموين لوزارة الدفاع في الجزائر، ولمسنا نقصا في المعلومات من الجانبين، وهو ما سنقوم بمعالجته في مرحلة أولى، كما أبدينا استعدادا لأن نكون وسطاء لدى الشركات الكورية المتخصصة في مجال الدفاع والعتاد العسكري والصناعة العسكرية لتوسيع وتنمية التعاون والشراكة، والجانب الكوري مستعد لدراسة الطلبات الجزائرية واقتراح بدائل مبتكرة يمكن أن تهم الجانب الجزائري من خلال عروض مدمجة، ومشاريع شراكة لا تستثني التركيب والتصنيع وتحويل والتكنولوجيا والتكوين، فضلا عن مشاريع ”أوفست” أو عقود التعويض التي تشمل إقامة مشاريع في الجزائر سواء في مجال الدفاع أو في المجالات المدنية التي تهم الجزائر مثل إقامة مستشفيات أو هياكل قاعدية وصناعية”.
                            أما بخصوص التقييد على تصديرات المعدات العسكرية، خاصة الحساسة منها، أكد مسؤول المركز أن كل المسائل قابلة للمعالجة والاتفاق والحوار بين الجانبين، وأن أهم شيء هو إيجاد مشروع مشترك يتم تجسيده في مجال الدفاع ليكون نقطة انطلاق، معترفا بأن كوريا ليست فاعلا رئيسيا في مجال الدفاع بالنسبة للعديد من الدول لنقص المعلومات المتوفرة. وأبدى لي دو كووك أمله في زيارة وفود جزائرية لكوريا للاطلاع على ما تقدمه الشركات الكورية والمزايا المقترحة، سواء في مجال الطيران أو أنظمة الصواريخ المتطورة من صنع كوري 100 في المائة، خاصة أن هنالك تظاهرات من تنظيم المركز وأخرى من تنظيم وكالة التصدير ”أديكس” في أكتوبر ونوفمبر المقبلين، وتمت دعوة وفود جزائرية إليها.


                            "les entreprises coréennes sont prêts pour un partenariat dans le domaine de l'équipement militaire avec l'Algérie"

                            la partie coréenne est disposé à étudier les demandes de l'Algérie et de proposer des alternatives innovantes pourraient être d'intérêt pour la partie algérienne par des offres convergentes, et les projets de partenariat n'exclut pas l'installation, la fabrication et la technologie de conversion et de configuration, ainsi que des projets "offset" ou de compensation, qui comprennent la mise en place de projets en Algérie, à la fois dans le domaine de la défense ou dans les domaines civils d'intérêt Algérie telles que la création d'hôpitaux ou structures de base et industrielle.


                            Al khabar
                            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                            • #29
                              AARROU

                              Corée du Nord .. ou Sud ?

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                              • #30
                                @Capo;

                                Je suis d'accord avec ta clairvoyance patriotique.
                                " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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