Alger : Le président Abdelaziz Bouteflika aurait nommé en tant que conseiller à la présidence, un ennemi juré du général Mohamed Mediene, alias Toufik patron du DRS.
Il s’agirait du général Bachir Tartag qui fut ex-numéro deux du DRS, en charge de la sécurité intérieure. El Bachir Tartag a été mis à la retraite il y a près d’un an, dans le cadre de la restructuration du DRS, menée à couteaux tirés entre Bouteflika et Toufik avant la présidentielle.
Selon le site algérien, TSA, qui affirme tenir son information d’une source sûre, le général Tartag avait été évincé de son poste au DRS par Mohamed Mediene alias Toufik, avec lequel il entretenait des relations difficiles.
Ces relations difficiles entre les deux sécuritaires algériens, avaient atteint des degrés d’ennimité aux retombées dangereuses pour le pays, matérialisés par des échanges d’accusations graves.
En effet, le 18 janvier 2013 et en plein crise de l’attaque d’In Aménas, l’agence mauritanienne ‘ANI, Agence Nouakchott Information’ avait publié à son insu, un article portant accusation au général Tartag, "d’être le facilitateur de l’acte terroriste sur le site d’In Amenas".
L’article indiquait que ‘‘Tartag visait à responsabiliser, du fiasco sécuritaire d’In Amenas, le patron du DRS, le général Toufik, pour mieux le remplacer’’. Tartag y était également accusé d’avoir ‘‘encombré son pays dans un scandale international pour seulement faciliter sa promotion personnelle à la tète du contre espionnage algérien’’.
lemag
Il s’agirait du général Bachir Tartag qui fut ex-numéro deux du DRS, en charge de la sécurité intérieure. El Bachir Tartag a été mis à la retraite il y a près d’un an, dans le cadre de la restructuration du DRS, menée à couteaux tirés entre Bouteflika et Toufik avant la présidentielle.
Selon le site algérien, TSA, qui affirme tenir son information d’une source sûre, le général Tartag avait été évincé de son poste au DRS par Mohamed Mediene alias Toufik, avec lequel il entretenait des relations difficiles.
Ces relations difficiles entre les deux sécuritaires algériens, avaient atteint des degrés d’ennimité aux retombées dangereuses pour le pays, matérialisés par des échanges d’accusations graves.
En effet, le 18 janvier 2013 et en plein crise de l’attaque d’In Aménas, l’agence mauritanienne ‘ANI, Agence Nouakchott Information’ avait publié à son insu, un article portant accusation au général Tartag, "d’être le facilitateur de l’acte terroriste sur le site d’In Amenas".
L’article indiquait que ‘‘Tartag visait à responsabiliser, du fiasco sécuritaire d’In Amenas, le patron du DRS, le général Toufik, pour mieux le remplacer’’. Tartag y était également accusé d’avoir ‘‘encombré son pays dans un scandale international pour seulement faciliter sa promotion personnelle à la tète du contre espionnage algérien’’.
lemag
Commentaire