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L’absence de Bouteflika alimente la rumeur : Où est passé le Président ?

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  • L’absence de Bouteflika alimente la rumeur : Où est passé le Président ?

    L’absence prolongée du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, alimente les rumeurs les plus folles dans le Tout-Alger. «Où est passé Bouteflika ?» s’interroge-t-on dans les milieux politique et médiatique. Est-il en Algérie ou à l’étranger ? Comment se porte-t-il ? Reprend-il ses forces ou son état de santé s’est dégradé ? Les autorités politiques n’éprouvent aucune nécessité d’éclairer les Algériens sur autant de questions concernant directement la vie de l’Etat et de la nation.
    La dernière apparition remonte au 21 septembre
    Très affaibli par la maladie, le Président a disparu des écrans radars, laissant ainsi la rumeur élaborer les scénarii les plus improbables. L’incertitude politique plane alors que le pays fait face à des défis, voire des risques multiformes. En l’absence d’information et de communication officielle sur l’état de santé du Président, la rumeur et les spéculations prennent le relais. Les cercles politico-médiatiques susurrent que Bouteflika «fait des allers-retours en Suisse pour suivre des examens et des contrôles médicaux en raison d’une dégradation subite de son état de santé» que l’on sait déjà déclinante. Depuis sa prestation de serment au lendemain de sa reconduction pour un 4e mandat dans une atmosphère absurde, Bouteflika n’a depuis plus pris la parole publiquement. C’est un cas inédit dans les annales politiques.
    Et pour palier cette carence, son entourage le montre de manière intermittente recevant des délégations étrangères avec des images de la télévision étatique honteusement truquées, comme ce fut le cas quand il a reçu le chef du d’Ennahdha tunisien, Rached Ghannouchi. Hier encore, la présidence de la République, contrastant avec les rumeurs persistantes sur l’aggravation de l’état de santé du chef de l’Etat, a fait part d’un mouvement partiel dans le corps de la magistrature. Serait-ce un cas avéré d’une activité présidentielle ?
    En tout cas, la dernière apparition de Bouteflika, âgé de 77 ans, remonte au 21 septembre dernier présidant une réunion consacrée «à la sécurité». Les Algériens, qui le guettaient le jour de l’Aïd Al Adha pour savoir s’il allait accomplir la prière, comme le veut la tradition, ont pu constater qu’il a brillé par son absence. Mais bien avant cela, le président français, François Hollande, s’était entretenu au téléphone avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et non avec le chef de l’Etat. Ce qui aurait fait dire au locataire de l’Elysée dans les coulisses de l’Assemblée générale de l’ONU que «Bouteflika ne peut plus parler». Une phrase lourde de sens et qui renseigne sur l’ambiance dominante tant en Algérie que chez les partenaires étrangers.
    Absent lors de la prière de l’Aïd El Adha
    On s’installe déjà et par anticipation dans l’après-Bouteflika. Des scénarii sont échafaudés dans les salons feutrés du pouvoir, et dans les capitales occidentales les spéculations vont à une grande vitesse. Des informations sur des noms de successeurs sont subtilement distillées.Pour une bonne partie de la classe politique algérienne, «la vacance du pouvoir est de fait et exige d’actionner rapidement l’article 88 de la Constitution pour constater la vacance du pouvoir».
    D’autres acteurs politiques, et pas des moindres, ne manquent pas de s’interroger sur la manière avec laquelle sont gérées les affaires du pays, tant le Président concentre des pouvoirs énormes entre ses mains, mais surtout sur l’identité de ceux qui les gèrent.
    Les décideurs qui pèsent lourdement dans les choix majeurs se préparent-ils à l’éventualité d’une disparition subite du chef de l’Etat ? «Je crains malheureusement que non», a glissé, sous le couvert de l’anonymat, un des candidats potentiels à la succession.
    Une autre preuve que les détenteurs du pouvoir politique sont dans un dangereux «courtermisme». La reconduction de Abdelaziz Bouteflika pour un 4e mandat, alors qu’il était en incapacité avérée d’assumer ses fonctions présidentielles, était une option périlleuse pour le pays.
    A court d’une alternative mais surtout pas unis sur la démarche à suivre, les décideurs ont reconduit le statu quo pour traverser la tempête. Mais au final, ils n’ont fait que reporter la crise. La conséquence s’avère encore plus grave alors que le contexte politique et économique interne et externe est des plus défavorables.
    Justice Promotions et nomination des chefs de cour
    Avec un retard de trois mois, le mouvement des chefs de cour a finalement été effectué hier. Ainsi, 48 nouvelles promotions et nominations ont été décidées par la Présidence sur proposition du ministre de la Justice, au niveau de la Cour suprême, du Conseil d’Etat, des tribunaux et des cours. Parmi les nouvelles promotions figurent 7 femmes, dont l’une est nommée, pour la première fois dans l’histoire de la justice algérienne, procureur général près la cour de Boumerdès. Il s’agit de la présidente de la chambre d’accusation près la cour d’Alger, qui se voit ainsi hissée au plus haut rang de responsabilité. A signaler également que ce mouvement comporte des fins de mission de chefs de cour, ainsi que des mutations. De même qu’il est important de préciser que le procureur général près la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati, a été maintenu à son poste.
    (Salima Tlemçani)

    Hacen Ouali el watan

  • #2
    Ne t'inquiète pas pour son remplaçant
    Dernière modification par alessandro, 18 mars 2015, 03h32.

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    • #3
      L’absence de Bouteflika alimente la rumeur : Où est passé le Président ?
      Lui même ne sait pas où il se trouve...ils l'emmènent d'un endroit à l'autre comme un bébé.

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      • #4
        à un moment faut mettre fin à cette mascarade

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        • #5
          le vraie probleme ce n'est pas si boutessrika est vivant ou pas mais est ce qu'il est fonctionnel ou pas c'est ca le vraie probleme il faut declarer boutef inapte a excercer toute fonction physique ou pschique car il est devenu un invalide a cause de ses maladies surtout les sequelles de son AVC qui lui sont terribles et irreversibles c'est ca le vraie probleme qui est la vacance de la presidence et la gouvernance par procuaration par le biais de said et gaid salah et ouyahia et sellal et saidani et haddad et hamel ect ect tout le monde joue le role du president a cause la vancance du poste depuis des annees.
          meme si la tele de said montre boutef ca ne va pas resoudre le probleme majeur qui est la capacite de boutessrika a gouverner ou non et la reponse est surement non car il est devenu un presque mort vivant il faut sensibilser la population que le but c'est pas de voir boutef a a la tele saideienne entrain de bouger ces deux mains avec un montage il faut que boutef exerce le role du president qu'il ne peut pas assumer helas a causes de son handicape et invalidite il faut declarer boutef comme un senile tarer qui attend juste sa mort donc il faut juger gaid salah et said et tewfik qui sont les responsables de cette situation car tewfik et gaid salah ont peur d'un autre president car ils vont etre mis au placard a cause de leurs age gaid 84 ans et tewfik 75 alors que said risque gros a cause de ces scandales et ses vols et ses affaires de pots de vin c pour ca qu'ils gardent le senile boutef par peur non pas par amour a boutessrika.
          Dernière modification par zoromoro, 08 octobre 2014, 17h14.

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          • #6
            il faut declarer boutef inapte a excercer

            non;il est apte a diriger une puissance régionale;certificat médicale a l'appui

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