Un «ami» qui refuse
le pardon
Peine perdue. Ceux qui, niaisement, attendaient de Nicolas Sarkozy un geste de repentance sur les crimes de la France coloniale en Algérie en ont eu pour leurs frais. «Il y a eu beaucoup de souffrances des deux côtés. Il faut prendre la part de tous les épisodes de l'histoire qui nous ont divisé et surtout respecter tous les morts quelle que soit leur origine». Telle a été sa réponse catégorique à un journaliste qui l'interrogeait sur sa position par rapport au préalable du pardon officiel que les autorités algériennes exigent de Paris pour la signature du traité d'amitié.
le pardon
Peine perdue. Ceux qui, niaisement, attendaient de Nicolas Sarkozy un geste de repentance sur les crimes de la France coloniale en Algérie en ont eu pour leurs frais. «Il y a eu beaucoup de souffrances des deux côtés. Il faut prendre la part de tous les épisodes de l'histoire qui nous ont divisé et surtout respecter tous les morts quelle que soit leur origine». Telle a été sa réponse catégorique à un journaliste qui l'interrogeait sur sa position par rapport au préalable du pardon officiel que les autorités algériennes exigent de Paris pour la signature du traité d'amitié.
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