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Kamel Daoud, le meilleur d’entre nous

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  • #16
    ya sahbi , tu as monté tout un dossier à charge alors qu'a aucun moment je n'ai insinué pareil chose , ni sur l'origine des quatres madhahibs ni sur le prophéte sws.
    je comprends pourquoi ce pauvre KD est incompris , vu vos grilles de lectures constamment sous effet d'un prisme déformant .

    j'préfére filer avant qu'un hamadouche me lance une fatwa non négociable ,
    layla saida sadiki abuconfiture ..likaa ghadan inchallah..
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #17
      DK se prétend camusien et n'est-ce pas là un manque de clairvoyance (ceci tout en condamnant fermement la fatwa dont il est l'objet)? A l'inverse, tant BHL que Finkielrault se préconisent des "enfants" de Sartre et DK en connaît-il la subtilité?

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      • #18
        En face du génial promoteur de "la répression féconde" et du kitukisme universaire, même un bidet fissuré pourrait, sans honte, s'écrier :" je suis le meilleur d'entre vous !".

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        • #19
          le vrai critère, «es sah», de la générosité du cœur pour être un bon musulman, c’est les «mou’amalate».
          Es sah. Voilà ce qui peut etre forgé comme un concept pertinent quand il est question de débat sur la religion comme un composant d'une culture, et non pas comme la culture à elle seule.

          Es sah semble offrir un sens à la fois double et complémentaire: Il a sens absolu et universel, celui de la Vérité, et il a aussi un sens plutot local. Dans son acception sémantique propre au langage algerien (?), es sah (le vrai) c'est toute une vision du monde qui regroupe un certain nombre de valeurs. Cette vision se distingue par sa particularité tout en rejoignant un sens global, pour peu que ce dernier ne soit pas monopolisé par un groupe, voire une secte.

          "Ma yenfa3 ghir es sah" est une expression chargée de tolérance. Elle ne peut pas coexister avec son contraire.
          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

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