Bouteflika à son médecin français : « Partout où vous serez, j’irai »

[jour]

Les dirigeants africains devraient tous se soigner en France. Ils ont quand même investi des milliards dans ce pays et presque rien dans les leurs pour la mondialisation économique dans l'équité, avec un contexte d'inégalité dans la possession de richesses naturelles. Donc, M. Madiba aurait du se soigner à Paris et couper l'herbe sous les pieds des apprentis capitalistes internationaux irrationnels, dont la solution consiste à ne plus rien faire. Ils oublient vite le paramètre humain, plein de vérités dans ce qu'il veut réaliser. C'est pour cela qu'il est demandé à M. Valls de répondre OUI autant que possible. C'est la guidance naturelle du pouvoir.

[Serpico]

Bouteflika à son médecin français : « Partout où vous serez, j’irai »

C'est le grand amour ma parole !!

[alessandro]

notre "grand moudjahid" lèche les pieds d'un médecin étranger

mon royaume pour un cheval...

[KHORE]

@ dodiest

j'ai retenu l'infarctus cardiaque comme cause d'une défaillance circulatoire cérébrale transitoire pour en revenir à l'essentiel le rôle du cardiologue dans la prise en charge initiale de BOUTEFLIKA et de l'actuel suivi. Le président ne reviendrait en France que pour ce praticien. Si il y a eu IDM minime , le praticien aurait pu intervenir , hors urgence pour prévenir la récidive. Il en a été ainsi en 2005 pour SHARON. Victime d'un AVC -embolie cérébrale- les médecins lui ont découvert une communication -inter auriculaire ? - responsable de la thrombose qui a libéré le caillot migré . L'urgence traitée le général a été confiée à un cardiologue interventionniste qui sous locale , dans une opération minime et simple a monté une cathéter pour obstruer le trou.

Dans un pays développé, ces cathétérisme sont pratiqués par les spécialistes de tous les services de cardiologies par des équipes rodées servies par des plateaux techniques conséquents. En Algérie , réunir toutes les conditions de travail , vu les pénuries , les mauvaises volontés et le peu de confraternité qui règne parmi les patrons algériens , relève de la gageure.