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Louisa Hanoune fait le proces de Hadad

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  • #16
    sider ça a bien marché juste avant qu'elle devienne arcelor mital...
    elle faisait 1.2 millions de tonnes fonbtes avec son HF...

    après les choses se sont gâtées et le gouv atorpillé arcelor avec le projet de jijel...

    au fait le système n'a pas de solution. la privatisation réussit qd elle apporte un savoir-faire..

    c pas des blaireaux qui vont la lui apporter mais d groupes mondialement connus.. management, technicité etc..

    or pour intéresser les majors il faut des accords politiques.. c pour cela l'adhésion à l'omc a tardé.. c bloqué par l'ue et les usa..

    lorsque ce pas sera fait, l'équation se reposera autrement..


    perso j'aime pas boutef (il est pas de ma troupe) mais je reconnais qu'il a bcp remué ciel et terre... cela bloque au niveau politique (medef avec la france, brc avec les usa etc...)


    ps : si tu veux déveloipper t terminaux, t hubs etc il faut passer par l'open sky (cela conditionne toute particip à air algérie )lol faut que nous arrêtions de rêver... de nos jours cette entrepirse na pas même un portail électronique.. parce que rien ne sera lâché sans open sky et la bônoise le sait trop bien elle qui travaille avec les ruches et noublie jamais de faire lichette !!

    pour les autres entrepirses, l'ue dit on vient chez vous si vous rachetez les entreprises en difficulté chez nous (rebrab en france et italie)..c du donnant donnant lol

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    • #17
      On sait bien ce qui s'est passé à Sider, avec les syndicats et le financement bancaire... La concurrence avec Bellara n'est pas une mauvaise chose...

      Le problème des accords politiques avec les majors est l'instabilité politique et juridique, et la règle des 51/49 en est l'illustration la plus marquante ces dernière années. L'autre problème est un état de droit, car personne ne s’aventurera, s'il est à la merci de toutes les lubies politiques, sans aucun moyen de se défendre, sans parler du role de la bureaucratie dans la "régulation" économique...

      Si tu résous ces entraves, tu n'as plus besoin d'accords politiques, puisqu'ils se bousculeraient pour venir... Tu seras plus sujet aux risques d'équilibres macro économiques, que tu as besoin d'anticiper dans un code de l'investissement stable et pérenne.

      Concernant Air Algérie, toutes les compagnies au monde participent aux quelques open skys qui existent. Il y a un marché avec l'Afrique qu'Air Algérie peut engager...

      Le problème du système, c'est qu'il n'arrive pas à raisonner régional ou international. Or la mondialisation fait que tu ne peux plus envisager l'économie, dans sa seule dimension nationale, en terme d'économie d'échelle, de fournisseur et de marché. Et là aussi, politiquement, ce saut est impossible,dans l'état actuel de la sinistrose politique.
      Dernière modification par ott, 09 février 2015, 21h29.
      Othmane BENZAGHOU

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      • #18
        c'est la reine de la double veste et du doucle discours cette dame .. elle a bien démontré lors des derniéres élections oeilfermé

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        • #19
          @ ott

          ce que tu dis sur l'instabilité n'est pas clair... faut que tu saches que l'algérie n'a justement pas la flexibilité de la décision politique...

          mire un peu, à bruxelles, il y a un grand nbr de lobbies qui à chaque fois bataillent et font pencher la décision politique en leur faveur en utikisant les élus... aux usa, les lobbies sont des cabinets conseils qui ont pignon sur rue et encaissent des sommes énormes pour faire pencher la balance au congrès...

          chez toi si cela arrive tu vas crier à la corruption et je ne sais quelle autre foutaise.. parce que nous avons un esprit gelé des années 70..

          dans les pays en développement, les pfizer, renault, mercedes, total, sandoz etc.. mettent la pression sur l'exécutif pour rédiger des lois qui leur laissent des fenêtres de tirs.. c cette adaptation des lois de finnaces que tu appelles instabilité..

          en réalité boutef l'a dit à paris lors de sa visite d'état .. "si vous ne négociez pas longtemps c que vous êtes ailleurs".. au bout de 10 ans, il a vu que l'offre (rachat des banques dont cpa, gaz, algérie télécom..) n'était pas intéressante.. aux ricains il a dit : "je ne veux pasq de strapontin et de macdo"...

          au fait ils ont demandé un transfert de techno et du savoir-faire.. mais cela n'a pas marché...

          résultat il sont revenus aux participations 51/49... faut que tu saches que obama a nationalisé des secteurs entiers sans que personne ne lui dise instabilité du cadre... là ou il y a flexibilité..


          ps : tu critiques ton pays sans te rendre compte parce que t face à des monstres qui contrôlent l'info...

          ps2 : cette info sur 51/49 boutef l'a sortie en utilisant le prétexte de l'envoyée espagnole de l'ue qui reprochait le poids de l'économie informelle..il leur a sorti la renationalisation face au bazar.. à mon avis cette dame doit se ronger les ongles.. parce qu'elle s'est faite avoir..

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          • #20
            @Tawenza

            Ça n'a pas marché car le monde des affaires a besoin d'une visibilité à long terme, très long terme, et toutes les garanties que peut apporter un président, aussi perspicace qu'il soit, ne permet pas de garantir la stabilité d'un système politique où les règles du jeu sont claires. Les affaires du CPA et de Algérie Télécom sont l'illustration justement de la versalite de notre stratégie économique. On ne lance un appel d'offre aussi lourd, avec des coûts d'avant vente importants pour abandonner le processus à la dernière ligne droite. C'est justement ça qui a fait le plus de mal à l'attractivité de ce pays, au delà de la chasse aux sorcières de Sawriss, aussi détestable qu'il puisse paraître aux yeux de X et Y. Ce sont des signaux très négatifs donnés aux milieux des affaires. Ne viendraient dans ces conditions que ceux qui veulent faire quelques coups, et repartir avec le pactole. L'horrizon d'investissement est extrêmement important, pour les gros investissements, les plus intéressants. Et 2 ou 4 mandats ne suffisent pas à les rassurer.

            Quant aux lobbies, c'est un vrai danger pour la démocratie. Obama a fait sa première campagne contre les lobbies et s'est résolu à les subir. C'est dire le poids lourd des lobbies. Tu peux juguler ce poids avec des appareils politiques lourds, avec des processus de promotion politique internes qui sauvegardent les collusions dangereuses. Tu peux aussi garantir un processus institutionnel qui accorde pouvoir et contre pouvoir qui permette de juguler ce phénomène. Une fois des poids lourds, l'argent en politique se doit d'être strictement contrôlé, à travers le financement de la vie politique qui soit accordé à travers des seuils de représentativité importants. Aucun système n'est parfait, mais il est évident que le système Poutine ou Chinois, n'est pas un modèle qu'on puisse se permettre, au vu des enjeux géopolitiques importants, et au vu de vrais aspirations citoyennes des algériens.

            PS : je ne lis jamais la presse au premier degré, et lire entre les lignes est un art délicieux...
            Dernière modification par ott, 10 février 2015, 07h43.
            Othmane BENZAGHOU

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            • #21
              ott,

              ton pb est que tu répètes ce que disent d'autres (bien souvent juges et partie)..

              prenons le cas renault.. il était très intéressé de monter des véhicules en algérie... à condition : avoir l'exclusivité ( ce que tu appelles très long terme)


              c t le cas de fiat avec fatia..


              les algériens ont dit non ! mais en faisdant valoir l'omc concurrence et autre baratin qui ne veut rien dire.. on appelle cela le vice des mots lol..


              ensuite d pressions politiques sont intervenues de paris et renault a demandé une exclu de 5 ans en réduisant la voilure de son projet

              les algériens ont accepté 3 ans


              renault aexigé de changer de lieu (oran) pour le coût d elivraison simultanée de tanger-oran..

              l'équation a trouvé solution à mi chemin comme ça...

              c valable pour sider et plein d'autres cas..

              les phrases que tu lances sont de simples slogans que l'on ressasse au bon moment pour nous mener en bateau ou faire du remplissage (on dit on meuble, en attendant)..


              conclu : 2 ans après les algériens ont déjà mis mercedes sur le strapontin et on parle de peugeot et hyundai..

              la négociation est bcp plus compliquée que les slogans creux de stabilité etc.. une négociation est forcément à rebondissement s'il y avait une visibilité claire ça se saurait lol.. c plus une jungle qu'autre chose..

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              • #22
                Je te signale que le projet Renaut Tanger était au départ prévu en Algérie. C'est dire l'aventage concurrentiel, sauf qu'en face, il n'y avait pas des gens sérieux. Il n'y a aucun doute que la négociation est primordiale, mais quand tu auras réglé les travers qui font peur aux investisseurs, elle sera plus simple, car tu auras l'embarras du choix, et tu ne seras pas obligé de subir des demandes d'exclusivité, car on sait pertinemment qu'il y a de la place pour plusieurs constructeurs en Algérie, pour le marché algérien, et le marché régional surtout. Le tout politique n'est pas la bonne solution, et les slogans qui te dérangent tant, si tu t'engagiais à les résoudre, tu verras que tu pourras ensuite faire la fine bouche...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #23
                  le marché algerien était à 200000 véhicules (non voitures) an.
                  renault s'est dit je le prends en échange d'un hangar de montage..
                  les algérien depuis 40 ans maintenant disent taux d'intégration, transfert de techno..

                  renault n'est pas chaud parce que c une perte sèche pour elle..

                  devant le blocage ils sont allé au maroc qui a sans doute bien fait d'accepter parce qu'il n'a pas de noyau comme la snvi...

                  il faut que ce soit clair dans ta tête.. est ce que un hangar de montage en échange d'une exclu totale pour partielle te va ?


                  moi non lol..

                  tout le reste est du pipo...


                  enfin, le taux d'intégration est passé de 60% à 40 % sur une durée que je ne connais pas t'appelles cela instabilité (tu répètes la critique des acteurs privés) moi je dis adaptation, flexi... vla la vraie problématique..
                  Dernière modification par tawenza, 10 février 2015, 08h07.

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                  • #24
                    Ce qu'il est difficile d'accepter pour des dogmatiques, et ça a commencé avec Belaid Abdesselam, qui previliegiait le taux d'intégration sur le calcul économique, c'est que les investisseurs raisonnent avant tout en terme économique. Si une intégration supérieur est économiquement avantageuse, elle se fera sans contrainte supplémentaire. C'est un slogan politique, le taux l'intégration, avant d'être une réalité économique. Le rôle des pouvoir publique, et de la régulation, et de jouer sur le modèle économique.

                    Tu peux imposer les règles que tu veux, au risque de passer à côté d'opportunités, ou tu peux prendre dans le cadre des intérêts mutuellement biens compris ce qui est intéressant, en terme industrialisation, d'emploi et de croissance.

                    L'exclusivité est un non sens économique. Des boîtes se permettent de l'exiger, car en face, ton modèle économique est boiteux...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #25
                      Ott

                      je ne lis jamais la presse au premier degré, et lire entre les lignes est un art délicieux...
                      Un art déprimant il faut dire

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                      • #26
                        bonjour

                        ott

                        Je pense qu'il faut patienter un peu, la prédation capitaliste en Algérie a atteint des proportions qui devraient te réjouir puisque elle finira par déboucher vers la rationalisation de la prédation, autrement à ton cher souhait "garantir la stabilité d'un système politique où les règles du jeu sont claires"

                        Aux origines de la prédation rationnelle et industrialisée :
                        ftp://www-bsg.univ-paris1.fr/pub/mse...001/R01058.pdf


                        Aucun système n'est parfait, mais il est évident que le système Poutine ou Chinois, n'est pas un modèle qu'on puisse se permettre, au vu des enjeux géopolitiques importants
                        Le système est simple en réalité et tu le dis dans le texte que j'ai souligné au dessus:
                        - il y a le dominant, le fort qui définit les règles du jeu selon ses propres intérêts.
                        - il y a tous ceux qui se mettent sous la protection du dominant et qui lui font allégeance et à qui le dominant apporte des garanties
                        Rebbi yerrahmek ya djamel.
                        "Tu es, donc je suis"
                        Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                        • #27
                          En fait, les trafics en tout genres, les mafias, le banditisme, les guerres est un bon présage pour la continuité de la prédation et donc de la durabilité du capitalisme.

                          C'est ces phénomènes qui nourrissent et promettent de nourrir gracieusement à l'avenir le capitalisme.

                          Le monde moche qu'il est enchantent les grands prédateurs de la planète.
                          Rebbi yerrahmek ya djamel.
                          "Tu es, donc je suis"
                          Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                          • #28
                            @Gandhi

                            Tu n'as ni les moyens de révolutionner le système, encore moins les moyens de garantir le bien être des tiens à long terme. Dans ce cadre, il faut, comme on en a à maintes fois discuté, introspecter les modèles dominants, pour prendre ce qui est intéressant et jouer sur des politiques publiques pour garantir la justice sociale que tu appelles de tes voeux.

                            Pour faire simple, au risque d'être simpliste, tu ne peux pas redistribuer d'une manière équitable, si à la base, tu n'as rien à distribuer, car tu ne crées pas de richesses. Quand tu sauras créer de la richesse, tu pourras t'exciter à imaginer les plus sophistiqués systèmes de redistribution et de justice sociale. En terme économique, le bien être social est indexé que tu le veuilles ou non à la productivité de ton économie. Si tu te déconnectes de ce postulat de base, tu vas vers le mur...
                            Dernière modification par ott, 10 février 2015, 10h34.
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #29
                              ott

                              tu ne peux pas redistribuer d'une manière équitable, si à la base, tu n'as rien à distribuer, car tu ne crée pas de richesses. Quand tu sauras créer de la richesse, tu pourras t'exciter à imaginer les plus sophistiqués systèmes de redistribution et de justice sociale.
                              Je ne crois pas trop, c'est un faux rêve. C'est seulement pour nous faire courir mais tout le monde a compris que produire des richesses n'enrichit qu'une partie infime de la population.

                              D'ailleurs dans les pays qui produisent des richesses, comme aux USA, en Europe la redistribution est de moins en moins vraie, c'est même l'inverse qui se passe. Il suffit de regarder inégalités, le nombre de pauvres, de mal logés, ...etc.

                              Il faut dire qu'heureusement qu'il y a les chinois et les africains qui travaillent, crèvent et meurent au sens propre du mot dans les usines et les champs sinon il n'y aurait pas beaucoup de gens qui auraient de quoi se vêtir et de quoi manger.

                              Heureusement qu'il y a des tiers mondistes qui meurent pour sauver la classe moyenne et les pauvres (80% à 90% de la population) des pays civilisés
                              Rebbi yerrahmek ya djamel.
                              "Tu es, donc je suis"
                              Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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                              • #30
                                @Gandhi

                                Tu raisonnes sur la défensive au lieu de regarder objectivement tout les paramètres de ton équation. La redistribution est assurée par une politique publique qui est réduite au minimum dans beaucoup de pays que tu sites, sujets à inégalités. Par contre, tu ne peux garantir une politique publique, que par les ressources fiscales tirées de ton économie. Chez nous, tout est faussé, car la richesse de l'état provient de la rente. La redistribution qui a été mise en place n'est pas contestable en soit, car l'état a des obligations, par contre la decorreller totalement de ta productivité est un mirage que même les communistes n'osent pas, seuls les doux rêveurs qui ont mal digéré le communisme osent de telles revasseries...
                                Othmane BENZAGHOU

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