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Lahouari Addi répond à Saïd Sadi

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  • #46
    tawenza
    difficile de faire plus nul !!!
    Evidement, il n'y a que Said-Samedi votre bien aimé qui dit la vérité !

    Evidemment ...

    L'homme qui dit en direct à la télé, s'être trompé de peuple, le jour où les algériens ne lui ont donné que 1,9 % des voix !

    L'homme qui a mendié une aide à son "légitime allié" pour une intervention armée semblable à celle réservée à Sadam Hussein ! (Source fil Wikileaks )
    .
    .
    .
    .
    khelli El Bir b'ghtah !

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    • #47
      il faut arrêter ce genre de focalisation maladive.
      sadi fait son petit bonhomme de chemin. il a son propre contexte...
      contrairement à toi j'ai le mien et je veille qu'il ne soit pas tiré de la casuistique dialectique...

      addi dit :

      sadi a tort de parler de traitre
      la fille messali n'a pas le monopole de messali
      la justice ne doit pas s'autosaisir...

      moi je te dis :

      sadi s'est exprimé selon sa logique
      la fille messali a répliqué (elle ne l'aurait jamais fait avant la réhabilit de son défunt père)
      la justiice va trancher ce débat de société..


      on ne se connait pas mais je peux te garantir que je pèse mes opinions sans focalisation.. ce qui ne change rien à la posture nulle de addi.. commentateur c tellement factice.

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      • #48
        @Jazaïr

        Malheureusement, il y a beaucoup qui sont totalement dépourvus de pudeur et qui n'hésitent pas un instant à se déculotter pour faire caca devant tout le monde !!
        Tu es pathétiques et nauséabond !
        A l'avenir, reste dans le sujet et épargne nous ta nudité peu honorable !

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        • #49
          @jazair
          L'homme qui dit en direct à la télé, s'être trompé de peuple,
          Ou est le mal de dire ça? En 1991 Saadi a proposé un projet moderniste mais le peuple à vote pour un projet obscurantiste, qui l'a regretté plutard mais c'était trop tard, après 200 milles morts.

          Ta oublié wakila boutef qui insulte le peuple à la télé et le qualifier de médiocre s'il vote pas pour lui.

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          • #50
            sadi fait son petit bonhomme de chemin. il a son propre contexte...
            C'est justement ce qui est le plus ignoble, est de convoquer le mensonge historique, pour ses propres calendriers, enfin, ceux de ses sponsors... et de nous la jouer historien du chabat...

            Certains ont parlé de régression féconde, je serais tenté de parler de régression finale...
            Dernière modification par ott, 12 février 2015, 23h26.
            Othmane BENZAGHOU

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            • #51
              Gétule
              Tu es pathétiques et nauséabond !
              Malgrè qu'on divergaient sur certains points, mais je te vouais du respect. Plus le cas maintenant.

              Tu insultes juste parceque j'avance des vérités sur ton ami. Ca dénote vraiment de ton niveau...

              Je garde tes propos pour mémoire !!! Et zou... tu es dans ma liste des ignorés !


              Gétule
              faire caca devant tout le monde
              Le pire dans ce CACA (comme tu le dis si bien ), est que c'est de la PURE VÉRITÉ venant de ton ami Said Samedi ! Donc Normal que çà te fait mal !

              POUR RAPPEL :

              L'homme qui dit en direct à la télé, s'être trompé de peuple, le jour où les algériens ne lui ont donné que 1,9 % des voix !

              L'homme qui a mendié une aide à l'ambassade américaine pour une intervention armée semblable à celle réservée à Sadam Hussein ! (Source fil Wikileaks )

              Et des vérités comme çà à propos de Saidi, il y en a......Donc, Khelli el bir bghtah ...

              ott

              Addi est bon pour manier les concepts politiques, normal pour un universitaire. Son problème c'est qu'il prend souvent ses concepts pour la réalité, et à force de théoriser, il se perd dans ses concepts.
              Normal !

              Il a le droit de donner son avis comme tout le monde. Mais il s'est entremêlé les pinceaux aussi en essayant de théoriser la chose ! C'est un sociologue après tout. Pas un historien.

              N'empêche qu'il y en a des éléments qui me paraissent vrais dans ce qu'il avance.
              Dernière modification par absent, 12 février 2015, 23h30.

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              • #52
                Il a le droit de donner son avis comme tout le monde. Mais il s'est entremêlé les pinceaux aussi en essayant de théoriser la chose ! C'est un sociologue après tout. Pas un historien.
                Personne ne l'en empéche, il faudrait qu'il fasse attention à l'épidémie très contagieuse dans nos pays de la grosse tete. Son ton martial sur certains sujets complexes et éminements politiques est un peu léger. Il s'aventure parfois sur d'autres terreins, avec une aussi grande légèreté, comme quand il affirmait que la fin du motazilisme signait le début de la regression musulmane!!!

                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...90#post5195790

                Il me semble qu'il manque d'épaisseur, comme son ami Daoud, sur certains sujets, meme s'il amène de l'oxigène certaine dans une atmosphère parfois étouffante et passablement poluée...
                Dernière modification par ott, 12 février 2015, 23h23.
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #53
                  Il est de bon augure que la scène soit occupée par des esprits comme Said Sadi, Addi Lahouari et Kamel Daoud ! C'est beaucoup mieux que le silence assourdissant que nous proposent certains esprits se croyant évolués sachant qu'il ne sont même pas capables de faire une simple dissertation...Ils ne sont même pas capables de commenter sans ressasser leurs sempiternelles insultes utilisant les mêmes quolibets.

                  Commentaire


                  • #54
                    je peux temoigner d'une rencontre dans un hotel a oran entre houari Addi le dr sadi et houari addi en 1990 ...nous avions discuté ..pendant plus de 3 heures et c'etait vivifiant ... je pense que ce soir la ...il y a eu une belle communion d'idée ...

                    plus tard bien sur ...les chemins intellectuel se sont sépare ....tout a fait normal ..Addi étant exclusivement un intellectuel qui se tenant loin de l'action politique était contre l'arret du processus electoral et avait sorti son fameux concept de regression feconde alors que le dr en homme politique avait été l'un des acteurs de cette arret du processus qu'il considerait comme mortifere pour l'algerie ..

                    mais au fond je suis absolument certain que les deux hommes sont sur le fond en accord car ce sont tout les deux des démocrates !

                    Commentaire


                    • #55
                      C'est justement ce qui est le plus ignoble, est de convoquer le mensonge historique, pour ses propres calendriers, enfin, ceux de ses sponsors... et de nous la jouer historien du chabat...

                      Certains ont parlé de régression féconde, je serais tenté de parler de régression finale..
                      ott tu n'arrives pas à être factuel ou quoi ?


                      il y a une diff entre un constat et un jugement de valeur.

                      encore une fois, sadi a fait sa critique
                      janina a répondu (un fait important en soi)
                      la justice s'est auti saisie..
                      on devrait se féliciter de cette avancée démocratique...

                      arrête de vouloir revenir à l'ancien système de pensée unique et de censure...

                      la démocratie c souk delala lol.

                      ps : le sujet qui m'intéresse ce sont les 3 critiques de addi... qu'en penses-tu ?

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                      • #56
                        J'ai recherché l'article dont fait référence Addi Lahouari dans sa réponse à Daho Ould Kablia dans ce passage :
                        Me concernant, je ne rappellerai pas aux lecteurs ma polémique avec Daho Ould Kablia publiée par Le Soir d’Algérie du 24 juillet 2008
                        J'ai estimé que cet article apportait un éclairage intéressant sur la démarche que suggère l'auteur dans la façon d'appréhender l'histoire et ses acteurs et qu'il fallait s'attarder à sa lecture pour mieux comprendre...

                        Actualités : Lahouari Addi répond à M. Daho Ould Kablia

                        En votre qualité de président de l’Association nationale des anciens du MALG, vous avez répondu à mon article paru le 20 juillet dans ce même quotidien, utilisant une rhétorique que les lecteurs de la presse écrite croyaient révolue et qui ne correspond plus à la réalité politique et sociale de l’Algérie des années 2000. Il est bien sûr de votre droit de rester «congelé», mais vous n’avez pas le droit de faire des procès d’intention en affirmant que mon texte était «un réquisitoire».
                        J’ai bien précisé que les Algériens étaient attachés affectivement à leur armée parce qu’elle fait partie de leur histoire. Par conséquent, si vous voulez ouvrir le débat, il faut qu’il soit loyal et sans coups bas, sinon restez dans votre bulle, enfermé dans un passé quasi-imaginaire dont vous tirez profit et n’accusez pas ceux qui ne sont pas d’accord avec vous. Vous me récusez le droit de parler de Abdelhafid Boussouf et de ses méthodes en corroborant précisément ce que j’appelle «le réflexe Boussouf» qui a trouvé son prolongement dans les vicissitudes de la construction de l’Etat post-indépendance. Vous allez même plus loin, me conseillant de rester dans «ma nouvelle patrie» (la France), insinuant que les cinq millions d’Algériens qui sont à l’étranger ont choisi une nouvelle patrie, et que les millions d’Algériens qui veulent partir sont à la recherche d’une nouvelle patrie ! C’est grave, M. Daho Ould Kablia, ce que vous dites. Ce n’est pas de l’inconscience, c’est de l’aliénation. Vous confirmez là votre apolitisme que vous avez déjà montré en accusant les Marocains, les Tunisiens et les Egyptiens de ne pas nous avoir aidés durant la guerre de Libération, ignorant totalement la géographie : Ghardimaou se situe en Tunisie et Oujda au Maroc ! Sans l’aide de nos frères marocains et tunisiens, l’armée coloniale aurait étouffé les maquis de l’ALN. Je vous rappelle que durant toute la révolution, Boussouf était entre Oujda, Le Caire et Tunis, où le FLN avait ses bases logistiques qui lui ont permis d’atteindre ses objectifs. Cette fois-ci, vous récidivez contre des compatriotes en leur déniant le droit d’être algériens parce qu’ils souhaitent que l’armée se conforme à la Constitution. C’est cela la mystique nationaliste qui crée une Algérie imaginaire et abstraite que vous opposez à des Algériens en chair et en os et qui, pour vous, sont des traîtres. Vous n’osez pas le mot, mais votre écrit le suggère clairement. Que vous le vouliez ou non, chaque Algérien est attaché à son pays et vous n’avez aucun droit de nier le sentiment patriotique des uns ou des autres. Même sur les harraga, preuve tragique du bilan désastreux de votre gouvernement, vous n’avez pas le droit de porter un tel jugement. Le précédent chef du gouvernement a même eu l’outrecuidance, sans rire, d’affirmer lors d’un colloque à Alger que les harraga quittent le pays pour se marier avec des blondes ! Voilà le personnel politique qui nous est imposé sans qu’il soit élu, caractérisé par l’incompétence et l’arrogance que cache mal une surenchère nationaliste cousue de fil blanc. Vous n’avez pas le monopole de la patrie, M. Ould Kablia. Boussouf avait les circonstances atténuantes : nous étions en guerre, mais vous, vous n’en avez aucune. Nous ne sommes pas en guerre, à moins que vous n’estimiez que votre gouvernement est en guerre contre le peuple ou une partie du peuple. Vous n’avez même pas compris mon propos sur Boussouf. Ce personnage appartient à l’histoire et il fait partie du patrimoine public, ce qui autorise n’importe qui à porter un jugement sur lui. A l’été 1962, une journaliste étrangère avait demandé à Abdelhafid Boussouf s’il avait la conscience tranquille après tout ce dont il avait été accusé. Il lui avait répondu : «Mais Madame, seuls ont les mains pures ceux qui n’ont pas de mains», reprenant le mot du philosophe allemand Immanuel Kant. Cette réponse ne s’adressait pas à un procureur d’un tribunal mais à l’Histoire et aux générations futures. Il a justifié ce qu’il avait fait et c’est aux historiens de juger. Boussouf était marqué par l’ordre colonial injuste qu’il cherchait à détruire par la violence. La radicalité du système colonial l’a forgé dans son intolérance et dans sa suspicion. Il se méfiait même de son ombre. Comme les militants de sa génération, il portait en lui les limites culturelles de sa société, notre société figée par l’ordre colonial dans son retard sur l’Europe. Le populisme révolutionnaire dont il était l’un des représentants a rencontré un écho auprès de larges couches de la population qui aspirait à finir avec l’ordre colonial. Mais pour autant, doit-on sacraliser cette génération et la soustraire aux investigations du débat critique ? Et comment ne pas faire le lien entre les limites idéologiques du nationalisme algérien dans sa phase de formation avec l’impossibilité de construire un Etat de droit cinquante ans après l’Indépendance ? Vous me refusez le droit de réfléchir sur ce lien ? Vous n’acceptez les débats sur l’histoire que s’ils sont apologétiques et menés avec la langue de bois que vous maniez comme un ébéniste expérimenté, comme le montre votre réponse parue dans Le Soir d’Algérie. Vous faites partie de cette élite civile cooptée depuis 50 ans par l’armée et dont le bilan est négatif de A à Z. Pour faire diversion, vous jouez au nationaliste pur et dur, m’accusant d’être contre l’institution militaire et me refusant le droit d’aspirer en tant que citoyen à une armée professionnelle, moderne et surtout respectueuse de la Constitution. Vous considérez qu’une telle armée serait «aveugle, sourde, aphone, et probablement paraplégique», ajoutant même que dans les pays les plus démocratiques, l’armée est «un rempart solide… une force forcément politique…». Vous êtes dans la position du flatteur qui vit aux dépens de celui qui l’écoute. Vous flattez l’armée pour assouvir votre intérêt personnel et, ce faisant, le discours que vous tenez la met dans une impasse politique dont on ne voit pas l’issue. Les officiers et les jeunes du Service national n’osent plus se montrer en tenue de sortie les jours de fête dans les villes et villages comme il y a quelques années. Pourquoi ? Selon vous, l’armée «fait face aux dangers … dont celui de l’éclatement de l’unité intérieure…», ou plus grave «celui qui a failli emporter l’Etat, pulvériser le ciment social, plonger la nation dans un système d’un autre âge», comme si celui que nous vivons aujourd’hui était post-moderne ! C’est exactement cela la «culture Boussouf» : sans le contrôle de l’armée sur l’Etat et sans sa substitution au suffrage populaire au détriment de l’électorat composé de civils au nationalisme tiède, l’Algérie disparaîtrait ! Votre montre, M. Ould Kablia, s’est arrêtée en 1962 et votre culture politique n’a pas changé d’un iota. Vous croyez même à la régularité du «suffrage populaire tel qu’il se pratique dans notre pays», affirmant sans rire que les Algériens ont choisi leurs dirigeants. Ou bien vous êtes naïf, ou bien vous êtes cynique. Vous demandez ensuite à ce «qu’on laisse l’institution militaire achever sa mission contre les ennemis de la nation en tous genres». Je voudrais vous poser la double question suivante : qui sont ces ennemis de la nation et quand cette mission de l’armée prendra-t-elle fin ? Considérez-vous que ces ennemis sont des Algériens qui veulent détruire leur propre nation ? Je suspecte que tout ce discours irréaliste ne serve qu’à cacher un intérêt personnel : celui d’être désigné et non élu à des fonctions officielles. La preuve ? Vous étiez déjà préfet à Oran quand j’étais lycéen ; je vais bientôt partir à la retraite et vous êtes encore ministre ! En sociologie politique, la privatisation de l’autorité publique s’appelle néo-patrimonialisme. L’Etat y est considéré comme un patrimoine d’une élite civile qui demande à l’armée d’être la seule source de légitimité et unique organe de cooptation de responsables politiques qui y trouvent une rente à vie juteuse. Et tant pis pour l’Algérie et ses intérêts supérieurs, et tant pis pour l’avenir des générations futures. Après moi, le déluge. J’arrête là cette lettre ouverte, mais je voudrais vous renvoyer à mes livres et articles relatifs à la «régression féconde» que vous citez en ironisant. Vous n’y avez pas réfléchi parce que pour vous, l’alternance électorale — que l’armée aurait pu garantir — est la fin d’un monde, celui de la cooptation qui permet de ne rendre des comptes ni à l’électorat ni à la justice en cas de mauvaise gestion des ressources publiques. L’armée est généreuse, et il suffit de la flatter. Mais un jour, ses officiers se rendront compte que le jeu ne vaut pas la chandelle et accepteront des réformes comme celles mises en œuvre en Amérique latine, où un pays comme le Brésil est en train de devenir un géant mondial. Je vous transmets, malgré tout, mes salutations patriotiques de l’étranger, où même si «on n’emporte pas la patrie à la semelle de ses pieds», elle reste, qu’on le veuille ou non, dans le cœur.
                        Lahouari Addi Professeur des universités

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                        • #57
                          @Tawenza

                          Le drame de la censure comme tu le dénonces, c'est qu'elle est appliquée au nom de l'utilisation politique de l'histoire. Moi je refuse, cette utilisation politique de l'histoire au nom de la «Démocratie». Les 2 sont condamnables, pire, je condamne beaucoup plus sévèrement la deuxième, car on ne s'attend à aucune vertu politique de la part de dictateurs.

                          Concernant l'auto saisine de la justice, c'est le même parquet qui avait lancé une procédure factice contre Khelil, puisque illégale qui s'est auto saisie de cette affaire. Il y a une instrumentalisation politique de la justice, pour occuper le paysage politique par le sexe des anges...
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #58
                            @ott,

                            il te faut un stage chez les allemands...
                            en démocratie koul tir yerghi brghah.. c un axiome de base.

                            ps : vois donc la letrte ouverte de addi ! il reproche au sinistre de l'intérieur de pas être élu !! il lui dit que c "alimentaire" oubliant qu'il en vit lui même.. faut être méridional pour être autant tordu.. enfin l'état néo patrimonial est un concept très utilisé en france (où il est vu positivement) mr retourne le concept sans vergogne.

                            Commentaire


                            • #59
                              @Tawenza

                              Merci pour le conseil, j'ai connu pire, les suisses . Il n'empêche que ceux qui se présentent comme des démocrates, devraient sur certains aspects, être particulièrement vertueux. On sait bien, que pour beaucoup de politiciens chez nous, il s'agit de se trouver son fond de commerce sur lequel prospérer. Ce n'est pas l'idée que je me fais de la politique, et particulièrement en cette période délicate de la réalité politique nationale.

                              PS : je sais que pour certains, tout est propice au marchandage politique...
                              Othmane BENZAGHOU

                              Commentaire


                              • #60
                                je peux temoigner d'une rencontre dans un hotel a oran entre houari Addi le dr sadi et houari addi en 1990 ...nous avions discuté ..pendant plus de 3 heures et c'etait vivifiant ... je pense que ce soir la ...il y a eu une belle communion d'idée ...

                                plus tard bien sur ...les chemins intellectuel se sont sépare ....tout a fait normal ..Addi étant exclusivement un intellectuel qui se tenant loin de l'action politique était contre l'arret du processus electoral et avait sorti son fameux concept de regression feconde alors que le dr en homme politique avait été l'un des acteurs de cette arret du processus qu'il considerait comme mortifere pour l'algerie ..

                                mais au fond je suis absolument certain que les deux hommes sont sur le fond en accord car ce sont tout les deux des démocrates !
                                Ok, merci, Epicure, je comprends mieux cette théorie de regression féconde.

                                Moi, j'ai toujours été et je suis toujours pour ne jamais permettre aux criminels et autres délinquants de faire de la politique. On ne doit jamais permettre, ni en Algérie ni ailleurs, aux islamistes, ni à d'autres mouvements aussi fascistes, de faire partie du jeu démocratique.

                                Mais la théorie d'Addi a l'assentiment de la majorité et elle est tout à fait cohérente aussi.

                                Commentaire

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