Bienvenue sur Forum Algérie, la communauté du site algerie-dz.com, votre fenêtre sur l'Algérie et le monde!
Pour avoir un accès total au forum algerie-dz.com, vous devez vous inscrire pour un compte gratuit. En tant que membre du forum, vous pourrez participer aux discussions, communiquer avec les autres membres et rejoindre le Club des Membres.
Si vous rencontrez des difficultés à vous inscrire ou à vous identifier sur Forum Algérie, n'hésitez pas à contacter l'équipe du support algerie-dz.com.
on pourrai innonder les shott au sud de biskra avec de l'eau de mer, qu'on amenari depuis la mer, via un grand canar, puis ensuite on la désale, on envoie tout ça dans les régions qui manquent d'eau, soit en boutaille soit par canal sous-terrain
Algérie - Une cinquantaine d'entreprises et groupements d'entreprises sont en course pour la réalisation de six projets hydrauliques destinés à l'aménagement des hautes plaines sétifiennes à l'est du pays, à l'issue de l'ouverture publique des plis techniques qui a eu lieu de samedi à lundi à l'Agence nationale des barrages et transfert (ANBT).
Ils sont au total 54 soumissionnaires préqualifiés techniquement pour ces projets d’envergure destinés à alimenter en eau potable et en irrigation la région des hautes plaines de la région de Sétif, qui enregistrent un développement économique et social important. Le premier projet concerne la réalisation du transfert d’eau entre les barrages d’Ighil-Emda (Béjaïa) et celui de Mehouane (Sétif, en construction).
Il a reçu huit (8) soumissions mais l’une d’entre elles a été rejetée d’office par la commission qui a jugé «non conforme à la loi régissant les appels d’offres» la manière dont l’offre a été présentée, a-t-on constaté sur place. Le premier soumissionnaire est un groupement de trois entreprises chinoises (CGC Chine, SIPSC et Sinopec international), suivi d’une autre entreprise de Chine, Cinohydro. La troisième offre présélectionnée est celle de Cosider Canalisations, une filiale de l’Entreprise nationale de réalisation Cosider.
Quant au quatrième soumissionnaire, il est constitué de deux entreprises : SNC Lavalin (Canada) et SNC Lavalin Maghreb (de droit algérien). Les plis du cinquième soumissionnaire provenaient du groupement algéro-français constitué de trois entreprises: Vinci-construction Grands projets, Sogea-Satom et Hydro-Amenagement. La sixième soumission est l’œuvre d’un groupement d’entreprises algériennes, françaises et italiennes. Il s’agit de CMC Di Ravenna (Italie), de Razel SA (France), de SEAS (Italie), de EURL (Algérie), de CMC RA (Algérie) et de Razel Algérie. Le septième soumissionnaire est l’entreprise italienne Condete.
Selon l’ANBT, ce projet concerne la réalisation d’un transfert des eaux entre le barrage de Ighil-Emda et le futur barrage de Mehouane avec une conduite de 22,14 kilomètres et trois stations de pompage. Ce transfert permettra d’assurer 34 millions de mètres cubes par an pour l’alimentation en eau potable et 88 millions de mètres cubes pour l’agriculture. En outre, neuf soumissionnaires sont en lice pour le deuxième projet portant sur la réalisation d’une galerie d’amenée, d’un canal de liaison et d’un bassin tampon qui font partie du transfert entre les retenues du barrage de Tabellout et celui de Draâ Diss.
Ce projet a reçu 9 soumissions venues du groupement indo-turc (Gamon et Azka), du groupement algéro-italien (CMC Razel de droit algérien et CMC Razel d’Italie), OHL (Espagne), du groupement OZGUN et UTRHB (Turquie-Algérie), du groupement Andrad Guterez et Zagop (Brésil-Turquie). Les quatre derniers soumissionnaires présélectionnés pour ce projet sont le groupement Construoues et Norberto Odebrecht, du groupement algéro-allemand (Dywidag Allemagne et Dywidag Algérie), de l’entreprise turque Ataç et de l’italienne Imprégelo.
La réalisation de ce projet permettra d’assurer 40 millions de m3/an (AEP) et 151 millions de m3/an pour l’irrigation pour la région de Sétif et du Hodna (M’sila). Dimanche, la commission spécialisée de l’ANBT a ouvert les plis de sept offres préqualifiées pour la réalisation d’une conduite de transfert de 42,17 kilomètres entre le barrage de Tabellout et celui de Draâ Diss ainsi que 5 stations de pompage entre ces deux ouvrages. Sont en lice, le groupement algéro-français (Hydro aménagement-Satom et Vinci-Sogea), le groupement CMC (Italie), Razel (France), SEAS (Italie) et CMC Razel (de droit algérien), de l’entreprise turque Mapa Insat.
Il s’agit également du groupement SM International (Canada-Algérie), du groupement algéro-canadien (SNC Lavalin Maghreb (de droit algérien et SNC Lavalin international (Canada), de l’entreprise chinoise Sino Hydro et enfin le groupement chinois Cinopec IPSC et CGC. Le quatrième projet concerne la réalisation et la mise en service du barrage de Draâ Diss pour lequel ont soumissionné 12 entreprises et groupements d’entreprises. Les présélectionnés pour cet ouvrage sont : l’entreprise MAPA de Turquie, CSCEC de Chine, Sino hydro de Chine également, Zarubelge Vode Stroy de Russie, le groupement portugais Texira Duarte-Monte Adriano et Zagop.
Le sixième pli concernait le groupement indo-turc Patel Azka. L’entreprise turque Ataç était le sixième soumissionnaire présélectionné. Les cinq derniers préqualifiés pour la réalisation de ce projet étaient le groupement d’entreprises algéro-serbe (Hydrotechnique et Energo project), CWE (Chine), MPREGILE (Italie), Veziroglu (Italie), Yilmaz (Turquie) et enfin Cosider-Travaux publics. Les derniers projets, à savoir la construction et la mise en service des barrages de Tabellout (Jijel) et Mehoune (Sétif), ont reçu au total dix-neuf (19) soumissions.
La réalisation du barrage de Tabellout (Jijel) a intéressé sept soumissionnaires. Il s’agit de Impregilo (Italie), le groupement Razel (France) et CMC Ravenna (Italie), CWE (Chine), Salimi (Italie), le groupement Nurol Ozcar (Turquie), Sino Hydro (Chine) et OHL (Espagne). Quant à celui de Mehoune (Sétif), il a reçu douze (12) soumissions : le groupement turc Nurol Ozcar, la chinoise CSCEC, le groupement algéro-italien Eurl Astaldi-Astaldi SPA, l’italienne Salimi, la chinoise Sino Hydro, OHL (Espagne), le groupement indo-turc Patel-Azka, enfin la société chinoise China International Corporation.
Le neuvième soumissionnaire pour ce projet est un groupement constitué de quatre entreprises : Andrade Gutierrez (Brésil), Zago (Portugal), Monte Adriano (Portugal) et la Sarl Rotahem (Algérie). Les trois derniers plis ouverts pour le projet de Mehoune contenaient respectivement les offres de l’entreprise italienne Condotte, de Ataç (Turquie) et de Mapa Insat (Turquie).
Par R. N. - Le Jour d'Algérie, le 29 novembre 2006.
Personne ne doit se rejouir de la secheresse pour qui que ce soit
Par contre, j'ai remarqué que personne n'a évoqué les pertes d'eau en réseau. Il semblerait que cela atteigne des fois plus de 75% ce qui est énorme alors que la norme est de moins de 20%
C'est là une mesure qui coute le moins et qui a une rentabilité économique et écologique certaine
Par ailleurs, une fois l'accès à l'eau généralisé il faudra penser à augmenter son prix
Au dela de la tranche sociale, le prix doit faire MAL au porte monnais, c'est l'unique facon d'inciter les gens à l'économie
C'est impressionnant de constater l'amlpleur de l'économie d'eau qui peut être réalisée uniquement :
en fermant le robinet lors du rasage,
en reduisant le volume de la chasse (mettre des bouteils d'eau en plastique), en optant pour la douche au lieu du bain
en evitant les douches quotidiennes
en faisant la vaisselle avec deux bassines au lieu du robinet coulant
en optant pour les jardins a des plantes peu gourmandes en eau (pas de pelouses mais des massifs)
etc etc
Il faut intervenir sur la demande au lieu de toujours courrir pour une plus grande offre
Allah yaskina
.
.
''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive'' Napoléon III
Par contre, j'ai remarqué que personne n'a évoqué les pertes d'eau en réseau. Il semblerait que cela atteigne des fois plus de 75% ce qui est énorme alors que la norme est de moins de 20%
Une des raisons pour confier la gestion de l’eau à des entreprises étrangères est justement pour refaire le réseau de transport d’eau qui est vétuste et lutter contre les pertes d'eau.
Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<Quand il n y a pas de pluie comme cette année les barrages sont vides. Peut être que la solution passera par le dessalement de l’eau de mer.<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
Le dessalement de l'eau de mer engendrera d'autres problemes écologiques qui vont être dangereux pour les Algériens. Il faut savoir que le sel est remis en mer ce qui augmentera sa densité et de se fait anéantira les animaux marins.
Une des meilleures option serait d'aller chercher leau fossilisée dans le Sahara avant que Khadafi n'ait tout pompé déjà. Je n'aime pas du tout Khadafi mais pour une fois reconnaissons lui une idée de génie.
Il y a un projet d'1 milliard de dollars pour transférer les eaux des nappes souterraines de In Salah à Tamanrasset. A ce coût là, je ne sais pas pourquoi cet eau n'est pas transférer vers les grandes villes du nord ?
__________________________________ Transfert d’eau In Salah-Tamanrasset
Les travaux lancés en novembre
El-Watan
14/05/2006
Madjid Makedhi
Le projet du transfert des eaux souterraine d’In Salah vers Tamanrasset sera lancé officiellement au mois de novembre.
« Les avis d’appel d’offres international pour la réalisation du projet seront lancés en juin, alors que les études concernant le projet vont être finalisées à la fin du mois de mai en cours », a déclaré Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau, en marge de sa visite de travail et d’inspection effectuée, hier, dans la wilaya de Ghardaïa. S’étendant sur 750 km (en double voie), le projet en question coûtera un milliard de dollars. Selon le ministre, ce projet permettra d’étancher la soif des habitants de Tamanrasset. « Ce projet permettra de transférer 1000 000 m3 par jour », a ajouté le ministre. Pour le transfert d’eau d’In Salah vers Tamanrasset, les canalisations métalliques seront, selon Abdelmalek Sellal, plus efficaces et plus utiles. Les services du ministère comptent faire appel à l’unité Anabib de Ghardaïa pour couvrir les besoins dudit chantier en tuyauterie. La ville de Ghardaïa et sa périphérie bénéficieront d’un ovoïd (canalisateur) leur permettant de se prémunir des crues de la vallée du M’zab, un oued qui traverse le centre-ville de Ghardaïa. D’un coût de 760 milliards de dinars, le canalisateur en question va permettre à Ghardaïa de se débarrasser de ses eaux usées et le danger que présentent les crues. « Nous avons mis le paquet pour la protection de la ville et son assainissement », a affirmé le premier responsable du secteur de l’hydraulique. Afin d’amortir la force des crues et éviter les inondations, un barrage d’une capacité de 27 millions m3/an est en cours de réalisation en amont de l’oued M’zab. Ce barrage permettra également, selon les services de l’hydraulique de la wilaya, d’alimenter la nappe phréatique et protéger les terres agricoles.
Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
Commentaire