C'est bien cette différence corporatiste aux arbitrages qui est spécifiques, mais les luttes intestines n'etaient pas fondamentalement différentes. Je rappelle à certains qu'il fut intronisé candidat du consensus en 1998, avec une dissension qui a été réduite au silence de Nezzar, qui n'a pas gobé de devoir se retirer après le rattage de 1994, causé par le refus inopiné du même Bouteflika au poste qui lui était proposé...
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Bouteflika, Gaïd Salah, Tewfik : trois failles d’un si fragile consensus
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Les pays les plus résistants aux forces étrangère , sont les pays dont l'institution la plus puissante est le service de renseignement.
Aux USA , qu'elle est l’institution la plus puissante ? La CIA , en quelque heure il peuvent liquidé une personne menaçant les USA a l'autre bout de la planète. Ou d'espionné tout les PC americain rien qu'en appuyant sur un bouton.
En Ex-URSS et en Russie , en Chine pareille.
Pourquoi le printemps arabe n'arrive pas en Algérie , parce que l'institution la plus puissante d'Algérie est le DRS , le DRS est capable d'éttouffé quasiment toute manipulation etrangère , oui le printemps arabe est une manipulation étrangère. Il y a un réel raz le bol d'une frange de la population contre un dirigeant , mais les impérialistes y mettent leur grosse main pour tout embrasé. Comme faire en sorte que des policier tire a balle réel sur des manifestant , le tout pour que cela s'embrase.
Détruire le DRS , c'est détruire l'Algérie , voila pourquoi Mohamed Lamine Mediene et le défunt Kasdi Merbah ne se sont jamais montré en publique ( Kasdi Merbah s'est montré en publique , que lorsqu'il a quitté la sécurité militaire pour aller en politique ).
Les impérialiste doivent obtenir le peu d'information a propos de Mohamed Lamine Mediène .
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Le rôle du DRS est d'assurer la sécurité nationale, non de régenter une vie politique artificielle en imposant le statut quo... Cette omni potence est anachronique et aura toujours besoin de paravents pour cacher les vrais enjeux de pouvoir. Il est temps que les responsables politiques aient le pouvoir, ou que les gens du pouvoir soient aux responsabilités politiques publiques, mais ce jeu de miroir ne favorise pas la bonne gouvernance...Dernière modification par ott, 12 avril 2015, 08h29.Othmane BENZAGHOU
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>>>Bouteflika, Gaïd Salah, Tewfik : trois failles d’un si fragile consensus
Un bon scénario de film pour Sergio Leone genre "le bon, la brute et le truand"
Il manque à ce tableau le trence hill, bud spencer, trinita et autres , bref une tête d'affiche qui remplira les salles.
Dommage que le scénariste est mort en 89, mais ses films ont préfiguré l'histoire de notre pays.
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Elle le fait déjà , grâce a qui que le printemps arabe n'arrive pas en Algérie , au DRS.Othmane BENZAGHOU
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Enfin quelques mots sensés. Les moyens coercitifs sont au mains du clan de Oujda à travers les ministères de l'intérieur et de la justice de la surté nationale et la gendarmerie. Oui la presidance de fakhamatouhou comme tu l'a si bien dit est marqué par la faiblesse, par un grand gâchis matériel et moral et manque de clairvoyance et de realisme, une irresponsabilité totale sur le plan économique et financier.
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Enfin quelques mots sensés. Les moyens coercitifs sont au mains du clan de Oujda à travers les ministères de l'intérieur et de la justice de la surté nationale et la gendarmerie. Oui la presidance de fakhamatouhou comme tu l'a si bien dit est marqué par la faiblesse, par un grand gâchis matériel et moral et manque de clairvoyance et de realisme, une irresponsabilité totale sur le plan économique et financier.Othmane BENZAGHOU
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Nous savons parfaitement que les moyens coercitifs sont ceux employés par le DRS qui a infiltré presque tout les partis politiques
Benachenhou à perdu sa bataille face à Khelil et Saïd Bouteflika.
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Toi qui est dans le secret des dieux tu n'est pas sans savoir que le FFS n'y echape pas ou possède t il un sihre qui le protège.
Benachenhou à perdu sa bataille face à Khelil et Saïd Bouteflika.
Démission de Mohamed-Salah Mentouri du CNES
«Je ne peux trahir mes principes»
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El Watan le 05/05/2005 | 0:00*
En démissionnant de son poste de président du CNES, Mohamed-Salah Mentouri estime avoir pris une décision «conforme» à ses principes et à ses convictions.
Cela veut dire, selon lui, que face à la volonté de plus en plus manifeste du gouvernement de vouloir mettre au pas une institution qui a sauvegardé jusque-là un espace d'expression démocratique, il n'y avait pas d'autre alternative. «Le CNES dérange quelque part, ce n'est un secret pour personne. C'est la raison pour laquelle on a tout fait pour le réduire au silence», nous dit le président démissionnaire. Très conscient de sa prise de position éminemment politique, M. Mentouri souligne qu'une tension quasi permanente était entretenue par le gouvernement pour empêcher le CNES de faire son travail : dire la vérité, par les chiffres et les statistiques viables et vérifiables, sur l'état de notre économie. Apparemment, cette vérité ne plaisait pas beaucoup aux décideurs, notamment au chef du gouvernement, qui voulaient que, même en tant qu'organe consultatif, le CNES devait rentrer dans les rangs. «Mes principes ne me permettent pas de travestir la réalité.»«C'est contraire à mes convictions. Je crois que le gouvernement ne mesure pas les conséquences de sa démarche à vouloir tout stériliser dans ce pays.» En tout cas, avec les pressions exercées sur le CNES pour le rendre «inoffensif», il a la certitude que les espaces d'expression qui donnent un autre son de cloche ne sont pas «les bienvenus». Du côté du CNES, l'heure est à l'amertume née de cette perspective de voir une institution aussi dynamique, qui a habitué les citoyens à une lecture vraie de l'état des lieux sur les plans économique et social, se transformer en véritable caisse de résonance. «Le gouvernement ne veut plus avoir affaire à des rapports objectifs publiés dans la presse. Il veut que tout soit confidentiel.» Alors le CNES a-t-il terminé sa mission ? Pour M. Mentouri, la balle est désormais dans le camp d'Ouyahia. Mais personne ne se fait des illusions sur l'aspect qu'il revêtira après le départ de ce dernier.
Abderezak Merad
Quant au FFS, depuis le temps qu'il a subit les opérations d'infiltration et d'affaiblissement, ce parti est toujours là et tout aussi présent et pertinent. Il a une longue expérience des opérations du DRS...Dernière modification par ott, 15 avril 2015, 10h04.Othmane BENZAGHOU
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T'as naïveté est touchante mais si celà te rassure pourquoi pas ça sert à celà les mythes.
Le FFS est encore la , le système aussi, balle au centre, donc il ya pas à pavoiser
PS : Elle était trop grosse la couloeuvre, mais les gars du DRS n'ont peur de rien...Othmane BENZAGHOU
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L'action politique doit ce faire maintenant et non renvoyer aux calandes greques comme le fait actuellement le FFS. tu penses que les nouveaux loups sont là pour faire un tour et puis sont vont . Absolument pas, c'est une stratégie à long terme. Et le FFS risque comme toujours d'être pris de vitesse.
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L'action politique doit ce faire maintenant et non renvoyer aux calandes greques comme le fait actuellement le FFS. tu penses que les nouveaux loups sont là pour faire un tour et puis sont vont . Absolument pas, c'est une stratégie à long terme. Et le FFS risque comme toujours d'être pris de vitesse.Dernière modification par ott, 15 avril 2015, 22h36.Othmane BENZAGHOU
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