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Saïd Sadi : « Il faut préparer rapidement une alternative au régime qui est finissant »

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  • #31
    Un acteur vivant de surcroit moudjahid mérite tout le respect y compris du mien , mais je ne suis pas tenue de cautionner ses mensonges !
    A entendre certains guignols, Said Sadi qui n'a pas vécu ces événement dit la vérité, et un acteur vivant, de premier plan, car membre du MNA puis du FLN ment. Ça devient réellement indigeste, et j'arrete d'echanger avec des gens aussi abjects. Ça sera donc mob dernier message te concernant.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #32
      A entendre certains guignols, Said Sadi qui n'a pas vécu ces événement dit la vérité, et un acteur vivant, de premier plan, car membre du MNA puis du FLN ment. Ça devient réellement indigeste, et j'arrete d'echanger avec des gens aussi abjects. Ça sera donc mob dernier message te concernant.
      Je suis loin de partager quoique ce soit avec Saadi , je reconnais simplement qu'il s'est baser sur des témoignages crédibles et des écrits de l'époque qu'on ne peu pas contredire .

      Quand à ce vénérable vieillard il na que sa barbe pour nous convaincre , alors je dis trop peu pour moi !

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      • #33
        Il est difficile de croire ce monsieur car il se prend pour un saumon: il tente de naviguer pour remonter le courant.
        Tout le monde sait que Messali Hadj, mue par son zaïmisme, ne voulait plus entendre les voies discordantes de sa base et qu'il n'a jamais appelé à la lutte armée. Il disait toujours que l'heure n'était pas encore arrivée.

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        • #34
          J'ai senti que Love-Algeria semblait offusqué par ceux qui proposent que l'Algérie doit évoluer à la régionalisation de l'Algérie pensant que c'est là une désunion.
          Sincèrement, je pense que ce serait la meilleure solution. Bien au contraire, cela renforcera nos liens d'union avec un gouvernement central fort et fédérateur.
          La maison Algérie doit être gérée exactement comme une famille qui doit s’agrandir. Quand les frères deviennent matures, chacun doit gérer son foyer comme il l'entend et au mieux. Il serait impensable que le père ou les autres frères s'immiscent dans la gestion de l'un d'entre eux.
          Ces frontières et ces limites renforcent l'union et le développement par la stimulation et la concertation. Les grands moyens seront partagés comme dans une sorte de coopérative et les idées seront concertées pour éviter de faire double emploi dans une entente fraternelle.
          Il ne faut pas voir dans cette sorte de fédéralisme une quelconque désunion bien au contraire une "ra7ma" qui permettra à tout un chacun de vivre en harmonie avec ses coutumes.
          C'est vrai que le papa resiste contre cette forme d'autonomie mais cela doit se faire car dans la promiscuité il y a tout le temps des querelles.
          Dernière modification par Gétule, 20 avril 2015, 11h59.

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          • #35
            Il est difficile de croire ce monsieur car il se prend pour un saumon: il tente de naviguer pour remonter le courant.
            Tout le monde sait que Messali Hadj, mue par son zaïmisme, ne voulait plus entendre les voies discordantes de sa base et qu'il n'a jamais appelé à la lutte armée. Il disait toujours que l'heure n'était pas encore arrivée.
            Ce n'est pas le témoignage de Benboulaid, et de pleins d'acteurs historiques, notamment celui de Boudiaf, qui témoignent que les centralistes, effrayés par le déclenchement de la révolution, s'opposaient à Messali qui souhaitait un déclenchement ordonné. Les témoignages stipulent un problème de leadership, d'où la résolution de Cornu de présidance à vie pour Messali, considérée par les centralistes comme le sommum du zaimisme. Les luttes de courents à l'intérieur du parti, a produit une scission, et une compétition sur la date de déclenchement de la révolution, non sur le principe, pratiquement acquis. Messali voulait garder le leadership en décidant de la date qui ce devait etre après l'assemblé générale de l'ONU, le 14 décembre 1954 abordant les : "Recommandations concernant le respect, sur le plan international, du droit des peuples et des nations à disposer d'eux-mêmes"
            Othmane BENZAGHOU

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            • #36
              Bonjour ott,
              Peut on avoir la reference pour ce qui suit?

              Envoyé par ott
              Messali voulait garder le leadership en décidant de la date qui ce devait etre après l'assemblé générale de l'ONU, le 14 décembre 1954 abordant les : "Recommandations concernant le respect, sur le plan international, du droit des peuples et des nations à disposer d'eux-mêmes"
              Merci.

              M.
              Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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              • #37
                Mohammed Harbi, repris dans Wikipedia, la page sur Messali El Hadj.

                Selon la version du film Mostefa Ben Boulaïd, ce dernier étant membre du Comité central du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), essaya vainement en compagnie de Salah Maiza et Hamoud el Hachemi, de convaincre Messali, de taire ses divergences avec la direction du parti pour engager le MTLD dans la voie de la lutte armée. À cet effet, il se rend à Niort pour voir Messali, et a de longues conversations quotidiennes avec lui du 23 au 26 février 1954.

                Mohammed Harbi indique, lui, que Mostefa Ben Boulaïd a appelé à la lutte au nom de Messali et que le 2 novembre, ce sont les messalistes (ex membres du parti de Messali) qui ont construit l'Algérie[pas*clair][40]. Messali n'était pas hostile à l'insurrection, car il préparait l'insurrection avec le CNR issu du Congrès d'Hornu auquel 360 membres assisteront sauf Mostefa Ben Boulaïd qui restera neutre. Ce dernier devait rendre compte à Messali Hadj chef national de l'Organisation spéciale, le bras armé clandestin du MTLD, car Mostefa Ben Boulaïd en était le responsable en Algérie. Mostefa Ben Boulaïd signale à Messali Hadj l'intention de mener la lutte armée en juillet 1954. Messali lui indique alors que la lutte est programmée après la session de l'ONU, il lui signale également la crise profonde et la refonte du MTLD[42]. Mais, Mohamed Boudiaf précipite les événements, car il est poussé par Nasser pour réussir à torpiller l'action armée des messalistes. L'éloignement de Messali Hadj du sol national et de l'appareil du parti feront le reste, le déchirement de la suite de la révolution, car la scission du PPA et du MTLD remet en cause tout le mouvement contestataire de l'Algérie. Le mouvement révolutionnaire est divisé en trois tendances[43].
                Il faut savoir que dès le milieu des années 1970 en Algérie, les premiers travaux historiques sur la révolution algérienne sont publiés. Parmi les pionniers figure Mohammed Harbi qui a ouvert ce chantier d’investigation et de déconstruction de l’histoire officielle et inaugure une autre conception de l’écriture nationaliste de l’histoire. Il évoque les forces politiques algériennes en présence, avec, au centre, la figure de Messali Hadj, à cette époque bannie de l’histoire officielle en Algérie. Il prend le contrepied des récits unanimistes ou épiques et montre la crise profonde qui secouait le mouvement indépendantiste algérien à la veille de novembre 1954. L’ouvrage, publié en France aux éditions Bourgois, sera longtemps interdit en Algérie[64].

                En 1955, Abane Ramdane menace dans un tract les messalistes: «*Le tribunal de l'ALN sera impitoyable envers les traîtres et les ennemis de la patrie*»[65].

                Didouche Mourad, dans une lettre envoyée à Mohamed Boudiaf, disait que «*chaque révolution a son leader et la Révolution algérienne a Messali El Hadj, si on le trahit la Révolution sera trahie et d'autres qui n'ont jamais rêvé d'indépendance vont cueillir ses fruits*». À l'éclatement de la Révolution algérienne, le 1er novembre 1954, Messali El Hadj, au nom du Parti du peuple algérien (PPA), a salué la révolution et l'a soutenue dans un message adressé à tous les militants du PPA et au peuple algérien dans lequel il déclare*: «*La Révolution el moubaraka est là, il faut l'aider, la soutenir et adhérer pour qu'elle ne s'éteigne pas, sans se poser la question qui a donné l'ordre*»[66].
                Dernière modification par ott, 21 avril 2015, 08h54.
                Othmane BENZAGHOU

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                • #38
                  Avec ce débat sur Messali , une question se pose : dans quelle catégorie doit-on situer le "général" Bellounis ,mort les armes à la main sur le sol Algérien ?...

                  Héros ou traitre !

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                  • #39
                    Avec ce débat sur Messali , une question se pose : dans quelle catégorie doit-on situer le "général" Bellounis ,mort les armes à la main sur le sol Algérien ?...

                    Héros ou traitre !
                    Quand tu répondras à la question de la responsabilité du massacre de Mellouza, qui avait Comme objectif de jeter Bellounis dans les mains des français, je te répondrais que ce fut un traître à la cause nationale, désavoué par Messali El Hadj.
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #40
                      Quand tu répondras à la question de la responsabilité du massacre de Mellouza, qui avait Comme objectif de jeter Bellounis dans les mains des français, je te répondrais que ce fut un traître à la cause nationale, désavoué par Messali El Hadj.
                      Çà , c'est quand on veux refaire l'histoire .

                      On ne peu pas faire de Bellounis un traitre , et exonérer son créateur Messali

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                      • #41
                        On ne peu pas faire de Bellounis un traitre , et exonérer son créateur Messali
                        Incroyable cette manie des pourfendeurs de la pensée unique et officielle, d'abonder dans la pensée lignifiante, quand ça les arrange, d'accuser tout fait historique de revisionisme, mais quand ça les arrange pas, de crier à la falsification historique. A entendre ces affirmations, tout les gens qui ont combattu au nom du FLN, même si désavoués par le FLN, ne sont pas traîtres. Les mêmes énergumènes avancent que l'armée des frontière, appelé clan de Oujda sont des traîtres à la cause nationale, et au FLN, mais Belounis ne peut pas l'être concernant le MNA...

                        La seule logique dans tout ça, c'est de mettre l'histoire au service de la politique...
                        Dernière modification par ott, 21 avril 2015, 14h11.
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #42
                          mais Belounis ne peut pas l'être concernant le MNA...
                          Bellounis est un héros , comme l'est Messali pour le MNA même pour la France , mais ça reste des traitres pour ceux qui on pris les armes contre la France .

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                          • #43
                            Bellounis est un héros , comme l'est Messali pour le MNA même pour la France , mais ça reste des traitres pour ceux qui on pris les armes contre la France .
                            Sans commentaire, ça n'en mérite pas plus...
                            Othmane BENZAGHOU

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