Le ministre de l’Enseignement supérieur revient sur l’affaire de « la jupe » trop courte qui a failli coûter une année blanche à l’étudiante en droit de l’Université d’Alger et fait son mea culpa. Recteur à l’époque de l’affaire, il avait pris fait et cause avec le vigile qui avait interdit l’accès de la salle d’examens à l’étudiante. Devenu ministre, il fait son mea culpa… « Je dis à cette dame si elle s’est sentie offensée ou privée de ses droits… Je lui présente mes excuses. Ce n’était pas une politique de l’université », a déclaré Mohamed Tahar Hadjar.
Auteur : Sarah Yellis
Auteur : Sarah Yellis
Commentaire