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Mohamed BOUDIAF, 23 ans déjà

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  • #16
    Meme la France sait qui sont les assassins et n'a jamais voulu participer aux opérations "main propre".

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    • #17
      Et dire que certain vote encore pour ce parti pourriture à voir si cela reste un vote dans les règles sans triche.

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      • #18
        Le culte que l'on voue pour l'historique de la Révolution injustifié mérite précisions

        BOUDIAF adjudant chef pendant la seconde guerre mondiale , médaillé militaire et croix de guerre était un homme courageux et d'honneur. Il n'avait pas les qualités du meneur d'homme et de chef que possédaient ceux qui l'entouraient.

        Ecarté et exilé pendant des décennies , c'est le vieillard aigri, revanchard mais toujours " innocent" que les janviéristes ont placé à la plus haute fonction de l'Etat. Vaniteux, l'ancien révolutionnaire avait accepté de collaborer et cautionné la terrible répression des génocidaires et la déportation vers le Sud de milliers de citoyens algériens.

        Indiscipliné et téméraire il était devenu dangereux pour ses employeurs qui l'ont ajouté à la liste des martyrisés.

        El LAH ERHAM EL ABRYA

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        • #19
          KHORE: " Ecarté et exilé pendant des décennies , c'est le vieillard aigri, revanchard mais toujours " innocent" que les janviéristes ont placé à la plus haute fonction de l'Etat. Vaniteux, l'ancien révolutionnaire avait accepté de collaborer et cautionné la terrible répression des génocidaires et la déportation vers le Sud de milliers de citoyens algériens."

          Monsieur Boudiaf revanchard? Vous faites méprise avec Bouteflika. M. Boudiaf fut un utopiste à l'instar de Icare qui s'était par trop approché du "soleil" et s'est brûlé les ailes.

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          • #20
            Monsieur Boudiaf revanchard? Vous faites méprise avec Bouteflika. M. Boudiaf fut un utopiste à l'instar de Icare qui s'était par trop approché du "soleil" et s'est brûlé les ailes.
            Exacte!
            On le voulait revanchard et aigri suite à son exil forcé mais ce n'était pas le cas, il était toujours amoureux de son pays et de son peuple.
            Par contre avec le malade Bouteflika ils ont fait Tilt.
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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            • #21
              Ils ont tué celui qui allait changer tout le Maghreb...bien entendu cela ne collait pas avec leur plan satanique. Allah yrahmek Boudiaf
              Dernière modification par akilou, 29 juin 2015, 17h59.
              KechMarra centrum

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              • #22
                Akilou: " Ils ont tué celui qui allait changer tout le Maghreb...bien entendu cela ne collait pas avec leur plan satanique. Allah yrahmek Boudia"

                C'est-à-dire? Méfions-nous à comparer M. Boudiaf avec Medhi Ben Barka, d'une autre trempe.

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                • #23
                  Boudiaf Allah yarahmou est le révolutionnaire type, le seul de toute la classe politique d'après l'indépendance, le seul qui avait assez de courage pour affronter au risque de sa vie tous les cancers du pays et ce en seulement six petits mois. Boudiaf a montré du doigt tous les domaines où des injustices énormes ont été commises... corruptions, Denis, Obscurantismes etc ....
                  Un homme comme Boudiaf ne pouvait rester longtemps en vie ... au pouvoir
                  Le peuple algerien a reconnu en lui un Fhel qui n'a jamais vendu son âme pour de l'argent ou pour le pouvoir absolu. Comme Abbane, Benboulaid, Amirouche et tous les martyrs de l'algerie, il restera l'exemple de la proprete et du sacrifice.

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                  • #24
                    Le degré de compromission et de fidélité de Boumaarafi à ses parrains est extraordinaire, il n'a toujours pas parlé

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                    • #25
                      Ils l'ont ramené, ils l'ont utilisé et ils l'ont "jeté" à la fin.
                      si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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                      • #26
                        Alessandro: " Le degré de compromission et de fidélité de Boumaarafi à ses parrains est extraordinaire, il n'a toujours pas parlé".

                        Dans aucun cas d'assassinat commandité par une maffia (cf. aux magistrats italiens ou celle de JFK), la vérité n'est ressortie. En revanche, l'assassinat crapuleux de Medhi Ben Barka fut commandité par l'infect régime marocain associé au Mossad.

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