Le ministre Khomri victime de ses largesses
Par Djamil Mesrer | 25/07/2015 | 15:18
Abdelkader Khomri vient d’être relevé de son poste de ministre de la jeunesse et des sports, et ce n’est pas en raison de la détérioration de son état de santé comme d’aucuns l’ont avancé à appris Algérie1 de bonnes sources, lesquelles ont confié à notre rédaction les véritables raisons de son limogeage.
Nos interlocuteurs imputent son départ à la liberté qu’il a prise de « gratifier de nombreux titres de la presse privée, irréductiblement hostiles au Président de République, de trois pages de publicité pendant trois jours » au grand dam du premier cercle Présidentiel et du ministre de la communication qui « avait entrepris le sevrage de ces titres en vue de les ramener à bonne composition ».
Ces connaisseurs des arcanes de la sphère gouvernementale notent que les pages publiées aux « frais du ministère de la jeunesse « contenaient un « laïus insipide digne du temps du parti unique », écrit par un responsable d’un Institut relevant de la présidence, « à titre d’échange de bons procédés en faveur de son parrain qui l’a aidé à obtenir le poste qui lui permet actuellement de continuer à dénigrer le Président et sa politique comme il l’a déjà fait naguère, à longueur de pages de journaux, pour le compte de ses adversaires qui voulaient l’empêcher d’obtenir son deuxième mandat ».
De plus, relèvent les mêmes sources, « ce ministre particulièrement logorrhéique (flot de paroles inutiles et désordonnées NDLR), à la télé et à la radio, n’a initié aucune action au profit de la jeunesse rurale dans l’Algérie profonde ». « Il s’est contenté de dilapider le budget de son ministère dans la création de nombreux espaces de jeux qui ne résisteront pas plus d’une saison » ajoute t-on.
Par Djamil Mesrer | 25/07/2015 | 15:18
Abdelkader Khomri vient d’être relevé de son poste de ministre de la jeunesse et des sports, et ce n’est pas en raison de la détérioration de son état de santé comme d’aucuns l’ont avancé à appris Algérie1 de bonnes sources, lesquelles ont confié à notre rédaction les véritables raisons de son limogeage.
Nos interlocuteurs imputent son départ à la liberté qu’il a prise de « gratifier de nombreux titres de la presse privée, irréductiblement hostiles au Président de République, de trois pages de publicité pendant trois jours » au grand dam du premier cercle Présidentiel et du ministre de la communication qui « avait entrepris le sevrage de ces titres en vue de les ramener à bonne composition ».
Ces connaisseurs des arcanes de la sphère gouvernementale notent que les pages publiées aux « frais du ministère de la jeunesse « contenaient un « laïus insipide digne du temps du parti unique », écrit par un responsable d’un Institut relevant de la présidence, « à titre d’échange de bons procédés en faveur de son parrain qui l’a aidé à obtenir le poste qui lui permet actuellement de continuer à dénigrer le Président et sa politique comme il l’a déjà fait naguère, à longueur de pages de journaux, pour le compte de ses adversaires qui voulaient l’empêcher d’obtenir son deuxième mandat ».
De plus, relèvent les mêmes sources, « ce ministre particulièrement logorrhéique (flot de paroles inutiles et désordonnées NDLR), à la télé et à la radio, n’a initié aucune action au profit de la jeunesse rurale dans l’Algérie profonde ». « Il s’est contenté de dilapider le budget de son ministère dans la création de nombreux espaces de jeux qui ne résisteront pas plus d’une saison » ajoute t-on.