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Mohamed Djemai, président du groupe parlementaire FLN : « Benghebrit doit apprendre à parler l’arabe »

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  • #16
    De quel legitimité tu parle? , a mes yeux belghebrite est la seule a dire tous haut ce que la majorité pense tous bas.
    un premier ministre qui ne sait meme pas placer deux mots en arabe litteraire et tu veut qu'on continu dans ce cinema, aya on doit etre libre de parler notre dialecte partout meme a l'école ce n'est pas une mosqué pour nous parler de religion etc....

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    • #17
      Darija : le dernier piège de la machine à intox !

      Par Maâmar Farah
      Ce pays s'emballe chaque été. Et même hors été. Il s'emballe toujours au moment où l'on essaye de fomenter quelques coups fumeux contre sa souveraineté, son économie... Personne ne parle de cette étrange demande du FCE d'effacer les dettes des entreprises... privées ! Les voilà qui veulent rafler la mise, prendre ce qui reste d'un secteur public bradé au fil des mandats ! Le quatrième est celui des grandes manœuvres. Alors, pour occuper la «foule» des intellectuels, on leur balance cette histoire d'une langue parlée que l'on veut introduire à l'école. Peut-être même pour remplacer, un jour, une langue enseignée dans les grandes universités du monde. L'arabe, qui convient bien à la littérature, au droit, au commerce et à la communication, n'a certes pas le grade de langue des sciences, mais c'est une langue comme toutes les autres. Avec l'arabe, vous pouvez éclairer les masses et les porter vers le progrès ou les enfoncer dans l'obscurantisme aveugle. Nos dirigeants ont choisi la deuxième option et nous en payons le prix, l'école étant devenue le terreau du terrorisme. L'argot, le patois, la darija, sont des langues populaires. Dans aucun pays, on a pensé à les introduire à l'école parce que l'école a ses règles, sa pédagogie : elle s'appuie sur la grammaire, l'orthographe, le dictionnaire, la littérature... Faux débat... Comme celui qui s'annonce avec la déclaration de Saïd Sadi sur l'arabe «imposé». Chercher midi à quatorze heures et masquer les manœuvres de l'oligarchie, comme toujours... j'ai lu ce qu'a dit Sadi. il reprochait au pouvoir de ne pas faire assez pour l'enseignement du berbère et a fait la comparaison avec 1962, en insistant sur le fait que, si l'arabe n'avait pas été imposé, les Algériens ne l'auraient pas appris. Évidence mais aussi sous-entendu : pourquoi ne pas imposer le tamazight ! Voilà tout... Occupons-nous des vrais problèmes et laissons ces faux débats aux chaînes spécialisées dans l'intox !
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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