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Pourquoi Alger est dans un état de délabrement

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  • Pourquoi Alger est dans un état de délabrement

    Rachid Sidi Boumédiène est spécialiste de la sociologie urbaine. Dans cet entretien, l’auteur de « L’urbanisme en Algérie : échec des instruments ou instruments de l’échec » revient sur l’état du cœur de la capitale qui commence à tomber en ruine.

    Comment expliquez-vous l’état de délabrement du centre-ville d’Alger ?

    Il faut d’abord clarifier cette question du délabrement. On peut prendre l’exemple des trottoirs : on a décidé de mettre comme revêtement des carreaux roses et blancs qui se salissent rapidement. Avec les carreaux habituels en ciment gris, les traces de saleté urbaine et la poussière ne se voyaient pas ou se voyaient moins. Aujourd’hui, l’amateurisme dans le choix des carreaux trahit par conséquent l’incurie du point de vue de l’entretien.

    En observant les mêmes trottoirs, on constate qu’ils sont défoncés parce que les modalités de réfection et le choix de ces carreaux exigent une certaine technicité. Or, le pavage des trottoirs à Alger ou ailleurs est un marché qu’on attribue souvent à une clientèle qui n’a pas la qualification requise. C’est-à-dire qu’on donne à des entrepreneurs amis un travail qui ne demande aucune technicité apparente. Résultat : vous pouvez aussi à tout moment faire une chute par suite de carreaux défaillants ou parce que la hauteur de la bordure passe brusquement de 15 centimètres à 30 ou 35 centimètres. Les trottoirs ne sont qu’un exemple mais ils s’ajoutent au reste.

    Ce qui illustre cet état de délabrement, ce sont les vieux immeubles qui commencent à tomber en ruine…

    Le centre de la ville, qui a commencé à perdre une partie de sa population, n’est pas un ensemble homogène que ce soit du point de vue de la qualité du bâti, de son âge, des matériaux utilisés pour sa construction, etc. En gros, il y a une forte correspondance entre le statut social des occupants et cette qualité des immeubles et du tissu qu’ils constituent.

    Ce sont des populations distinctes qui ont quitté ce centre, selon des mécanismes multiples. À partir du début des années 1990, deux mouvements forts ont pris essor. Il y a eu d’abord cette libéralisation du foncier qui a permis à ceux qui avaient soit des relations ou une position dans l’appareil d’État, soit de l’argent d’obtenir des lots importants pour de grandes constructions sur les hauteurs d’Alger.

    En même temps, dans des zones moins prestigieuses près des zones industrielle ou des zones de nuisance, des terres agricoles, on a laissé faire les municipalités (FIS ou autres) qui ont attribué aux personnes à revenus moyens (qu’ils voulaient gagner comme clientèle politique) des lots en nombre infini.

    Résultat : on a obtenu un étalement urbain considérable. On a également assisté au départ de plusieurs ministères et d’une grande partie des banques et des assurances qui ont quitté le centre-ville pour les quartiers périphériques.

    Comment l’avènement de ces deux « mouvements » explique-t-il l’état actuel de la ville ?

    Le mouvement de transfert des activités économiques et des centres de décision vers les hauteurs d’Alger et sa périphérie a transformé fondamentalement certains quartiers comme Kouba ou Hydra où on assiste à la destruction de petites villas, par exemple, pour construire des centres d’affaires.

    De son côté, le centre-ville a perdu une partie de sa centralité et de sa vitalité. Les couches dominantes qui tiennent les rênes d’une certaine économie ont quitté et délocalisé leurs activités. Elles ont laissé place notamment aux cabinets médicaux et d’avocats dans les avenues de prestige.

    Il y a aussi les personnes qui n’ont pas eu la chance d’aller habiter sur les hauteurs. Le centre-ville est devenu une réserve gérée par l’OPGI (Office de promotion et de gestion immobilière) qui fait le strict minimum en matière d’entretien des immeubles. En fait, il n’y a pas de gestion quotidienne. Donc, on ne refait pas les cages d’escaliers, on n’entretient pas les balcons, on n’étanchéise pas les terrasses mais on repeint la façade (la partie visible) à maintes reprises.

    Mais malgré tous ces aspects, le centre-ville garde une haute valeur matérielle, esthétique et symbolique parce que l’image qui représente l’Algérie à l’international n’est pas celle de la nouvelle modernité, celle de la commune de Chéraga par exemple ou de Dély Brahim ou bien un immeuble avec une façade en verre de la nouvelle banalité internationale. L’image de l’Algérie est à la fois dans ce patrimoine ancien et dans les nouvelles réalisations, mais celle du Centre historique et la baie prédominent dans la représentation à l’international.

    Qui est responsable de l’entretien des immeubles ?

    L’État a décidé que ce soit l’OPGI. Le décret 83-666 datant de 1983 stipule qu’un immeuble en copropriété est géré par un syndic élu par les habitants et qu’en attendant qu’il soit constitué, l’OPGI joue le rôle de syndic. Dans les faits, l’OPGI s’est installée comme seul syndic chargé de l’entretien des immeubles. Mais l’OPGI est un Epic qui agit comme un organisme public. C’est-à-dire qu’il gère les choses avec sa bureaucratie propre. Il n’agit pas comme représentant des propriétaires dont il fait partie mais comme un organisme public qui gère à sa manière les relations professionnelles à l’intérieur de son établissement, ses ressources financières, etc. et les nouveaux programmes, surtout. Au fond, il y a deux renoncements, celui de l’OPGI et celui des habitants aussi qui « délèguent » leurs droits et devoirs.

    Quelle est la solution selon vous ?

    L’État doit reconnaître aux Algériens le statut de citoyen par des mesures concrètes, pas seulement par énoncé des principes. C’est-à-dire qu’il doit appliquer le décret 83-666. L’OPGI en tant que syndic doit rendre compte de sa gestion aux habitants et ne plus agir seulement comme prestataires de services. En retour, il faut que ceux, parmi les habitants, qui ne paient pas les charges soient contraints de les payer à travers le système fiscal et parafiscal.

    Le problème qui se pose aussi est le fait que l’État n’a pas d’institutions ou de mécanismes pour créer et donner vie aux syndics d’immeubles. Tel qu’il est appliqué, ce décret, en dépossédant les habitants de la citoyenneté (et de la responsabilité qui va avec) les a infantilisés. Les citoyens peuvent alors fuir leurs responsabilités et l’OPGI aussi. Le prix à payer, ce sont ces dégradations et ces effondrements qui frappent surtout les immeubles les plus vieux, de moindre qualité, des quartiers populaires.

    Ces immeubles n’ont pas été classés comme patrimoine ?

    Jamais.

    Pourquoi ?

    Il faut qu’il y ait une procédure. Elle n’a pas été enclenchée parce que le ministère de la Culture continue à gérer selon l’esprit « monumentaliste » de l’ordonnance de 1967 et non selon l’esprit plus moderniste de la loi de 1998. Quand on voit les ruines et les sites historiques avec des barrières en grillage, quand on voit des constructions sur des ruines romaines, quand on voit ce qui s’est passé à Tipaza…

    C’est pour cette raison que la Casbah se trouve dans cet état actuellement ?

    La logique dont j’ai parlé concernant le centre-ville s’applique aussi à la Casbah depuis les années 1980. De plus, cette cité a toujours fait peur au pouvoir central parce qu’il s’agit d’une zone de contestation. Ce qui a fait sa bonne réputation, son esprit contestataire, sa révolte, pendant la Guerre de Libération a fait sa mauvaise réputation après les années 1970. Si on regarde le nombre d’émeutes à Alger, les plus violentes et les plus effrayantes ont eu lieu à la Casbah. (Les décideurs) disent qu’ils aiment la Casbah parce qu’ils ne peuvent pas dire le contraire. Elle a une valeur symbolique extrêmement puissante même chez des gens qui ne l’ont jamais vue et qui ne la verront pas.

    Est-il trop tard pour la réhabiliter ?

    Il n’est jamais trop tard même s’il ne restera qu’une seule maison. Le problème est qu’on ne sait pas s’il y a une volonté explicite de l’abandonner parce qu’elle est dangereuse socialement. Les gens qui représentent le pouvoir central font de l’accumulation de l’argent mais ils ne sont pas capables d’en jouir car ils n’ont pas de vision. On élabore un décret portant l’organisation au sein d’une copropriété mais on ne veille pas à ce qu’il y ait une gestion du quotidien.

    Il n’y a pas de projet qui dure, et les exemples ne manquent pas : la Casbah d’abord, mais aussi, entre autres, le projet du carrefour du Millénaire d’Alger qui traîne depuis 1998. Ils ont nettoyé les voûtes et on est arrivé à 90% du projet. Ils ne sont pas capables d’aller au bout d’un projet parce qu’ils ne sont pas capables de se mettre d’accord autour d’un projet. Ils ont désigné un gouverneur qui a fait ce projet avant de l’enlever et mettre un wali qui a démoli le même projet. On crée la promenade des Sablettes et on la laisse presque inaccessible, dangereuse que ce soit à pied ou en voiture. Où est la cohérence dans tout cela ? Il n’y a pas de continuité dans les politiques ni de suite dans les idées, chaque wali a sa politique.

    TSA
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Désolation et clochardisation des villes

    Le délabrement, la clochardisation et la ruralisation touchent pratiquement toutes les grandes villes d'Algérie!!!!
    Les ordures à l'air libre, les rues et les trottoirs défoncés, les agrégats qui traînent, les mauvaises herbes et les trottoirs squattés par les commerçants et les cafetiers font partie du paysage habituel de nos villes!!!
    Même le citoyen s'est habitué a ce lamentable spectacle!!!!

    Des milliards ont été dépensés ces derniers temps pour refaire les trottoirs et goudronner les rues et tout a été défoncé en si peu de temps!!!

    C'est tout simplement des villes livrées à elles même !!!!!

    Pauvre Algérie !!!!!!!!!!
    Le Sage

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    • #3
      Cette dimension est totalement absente pour un peuple qui n'a pas conçu son habitat et l'a fait évoluer selon son art de vivre ...

      Comment allez vous faire comprendre quelque chose aux personnes qui ne voient pas ce que vous percevez ...

      L'habitat en Algérie en dehors des cités anciennes comme Gardaïa et les habitats anciens comme certains hameaux en Kabylie ou certains ksours

      Est sur sous dimensionné et clairement sans logique pour un peuple qui a squatté ce que les européens ont abandonné en partant et même ce que le pays a continué à fabriquer est fait imposé pensé par des personnes qui n'ont jamais compris l'Algérie

      Lire beaucoup beaucoup faire des recherches tenter de comprendre le monde de l'habitat au Denmark en Suède en France en Amérique latine partout dans le monde et tenter de comprendre l'Algérie ancestrale pour que le pays arrête de jouer aux légos et soit en harmonie avec lui même c'est ce qu'il faut ...

      Hélas Hélas Hélas les compétences manquent et terriblement pendant que les islamistes remplissent le vide qui reste par des mosquées surdimensionnées et pressente tout les 2, 3 km. Ce même islamisme sans culture de vie aucune et sans savoir sur les algériens qu'ils soient Sahraoui Kabyle ou habitant les Aures en dehors de leur monde en noir et blanc ... les dégâts de ces idiots va au-delà de la décennie noir il est symptomatique de l'obscurantisme et le pacte avec le diable et l'ignorance qu'ils ont mis en pratique juste après les années 70

      C'est ce qui arrive à un pays qui a voulu s'en passer du savoir de tout genre en dehors des livres à dorures de boukhari et autre

      C'est ce qui arrive à un pays qui n'a pas la science (Al3ilm) comme référence

      l'article de ce Monsieur est aussi symptomatique de cet empêtrement dans un immobilisme mortel

      il faut arrêter et aller demander la science et non des projets que d'autres viennent nous vendre sans que personne n'ait rien à dire avant que ça ne devienne impossible à un Algérien d'aimer son pays et lui souhaite la destruction paradoxalement.
      Dernière modification par Aloha, 12 août 2015, 10h46.

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      • #4
        les islamistes n'ont que faire des ruines romaines historiques ils ont détruit des statues monumentales en Afganistan et ailleurs

        Tipasa mon amour c'est un crime et une insulte contre l'humanité

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        • #5
          Fouad !
          Les mauvaises herbes sont utiles elles efficaces contre la destruction d'un sol qui met des millénaires pour se fabriquer et qui est détruit en moins de 5 ans
          mis à nu

          Yerham babekoum Alger est justement polluée pr une poussière (un mélange mortel de poussière de tout genre) Alger n'est pas le Sahara et on ne devrait pas trouver autant de poussière qui est partout

          Une proposition simple puisque vous parlez de mauvaise herbe (je suis de la mauvaise herbe aussi comme a dit Brassens)

          Si on demandait aux personnes qui se sont spécialisés dans le lavage de voitures à Alger de prendre cette eau et aller arroser juste au début tout les endroits qui ont été mis à nu par une sauvagerie digne d'une armée ennemie

          les voitures ne seront pas aussi sales, le sol cesse de se dégrader à jamais et les produits cancérigènes n'auront pas de substrat pour arriver et être respirer à plein poumon et les enfants seront heureux de grandir dans une atmosphère saine et les automobilistes donneront ces 600 DA par moi à ces arroseurs de l'espoir

          Il faut savoir qu'un sol nu est irrécupérable et cause la mort
          ici ce n'est pas le sable de quartz du Sahara et encore même ça et est grave (demandez aux anciens mineurs de Kénadsa ils vous expliqueront )

          Mais il faut lehna il faut le savoir il faut avoir envie de vivre et non en vase clos il faut aimer beaucoup beaucoup pour commencer à avoir envie de vivre
          Dernière modification par Aloha, 12 août 2015, 11h24.

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          • #6
            L'algérie, c'est le seul pays où, à chaque fois, il faut que je bousille une porte de voiture car les trottoirs sont d'une hauteur himalayenne.

            Quand j'ai demandé si si c'était pour que les piétons puissent faire du sport, on m'a dit "non", c'est parce qu'à chaque fois qu'il y a un nouveau maire (P/APC), il cherche des travaux à faire pour encaisser des tchippas. Et quoi de mieux que de rajouter une couche aux trottoirs qui, de toute manière, vont finir par s'affaisser !!

            Ceci dit, je m'en fous de ma porte car une petite bosse n'est rien par rapport aux souffrances quotidiennes de ceux qui ont le malheur d'êtres handicapés en algérie.

            Quand je pense qu'ailleurs on leur fait des rampes d'accès, des parkings adaptés etc ........... Je me dis que nous sommes très loin du compte !
            Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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            • #7
              les trottoirs sont d'une hauteur himalayenne.
              Paradoxalement, c'est l'une des rares initiatives des municipalités que j'approuve, car elle dissuade les automobilistes indisciplinés (et Dieu sait s'il en existe dans ce pays) à vouloir stationner sur le trottoir.

              Certes, on ne devrait pas corriger une connerie par une autre, mais en attendant Godot...
              كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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              • #8
                Pourquoi Alger est dans un état de délabrement @

                tout sumplement par ce que c est normal pour ceux qui y habite mais quand un algerien vient de l etranger ne trouve pas ca normal.

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                • #9
                  En observant les mêmes trottoirs, on constate qu’ils sont défoncés parce que les modalités de réfection et le choix de ces carreaux exigent une certaine technicité.
                  pourquoi du carrelage , il faut tout simplement goudronner bien dosés les trottoirs et ça tient une éternité comme dans toutes les grandes villes du monde car le carrelage ça se casse et ne dure pas .

                  Où est la cohérence dans tout cela ? Il n’y a pas de continuité dans les politiques ni de suite dans les idées, chaque wali a sa politique.
                  Malheureusement , il n'y a pas de continuité , le jour où ils se rendront compte , ça sera des regrets amères .
                  Dernière modification par ACAPULCO, 12 août 2015, 19h53.
                  Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                  (Paul Eluard)

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                  • #10
                    Pourquoi Alger est dans un état de délabrement
                    .

                    les causes partagées :

                    Manque le sentiment de bon citoyen , ainsi le rôle primordial de la commune d Alger ..

                    Je vois Oran devient la perle de l Algérie au sujet de la propreté , le centre ville est très propre , toutes les infracteurs coloniales en voie de restauration ....... reste la périphérie délaissé par ses habitants et la commune d Oran ...débordé par la saleté ..

                    *On devrait ancrer dans l esprit du peuple algérien

                    Civisme souvent , pour la patrie " toujours " , droit de jouir de ce que nous appartient
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                    • #11
                      parce que l'Algerien est en delabrement dans une chute libre sans controle et plus le temps passe , plus sa vitesse s'accroit.... apropos ce n'est pas qu'Alger qui est concerné par ce phenomene mais l'Algérie dans son ensemble

                      Commentaire


                      • #12
                        Il y a 25 siècles l 'Algerien construisait des villes aux artères centrales tirées au cordeau comme en témoignent les villes de Timgade , Tipaza .
                        Que s'est il passé 25 siècles plus tard ce même Algerie ne sait même pas poser deux carreaux de carrelage , parce que il n y a plus d'écoles de formations ou écoles supérieure qui forment les technicien supérieure et ingénieures en vrd ( voirie ), il suffit d étre le gendre du wali pour avoir le marché de gré en gré de la réfection de tous les trottoires d'Alger ou d'oran , et puis se n 'est pas fini aucune poursuite pour male façon n'est ,j'ai vu de mes propres yeux une entreprise qui posait des carreaux à la place des Martyres au fur et a mesure que les ouvriers sans chaussures de sécurités et avec des savates dix mètres derrière eux les carreaux sont arrachés .
                        Faute de grives , nous mangeons des Merles

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                        • #13
                          rachid

                          demande aux imams ce qui c'est passé

                          scootie moi j'ai constaté aussi l'inverse des routes et des rues plus hautes que les trottoirs à tel point que l'eau de pluie fait des piscines sur les trottoirs

                          je te jure que c'est exactement ça

                          j'ai demandé pourquoi ?

                          on m'a dit que lorsqu’on demande de refaire une route ou qu'un officiel doit passer par une route il est plus facile d'étaler un couche goudron sur le tronçon que de refaire dans les règles de l'art la route en question ...

                          devine le résultat ?

                          des énormes trous dans la route de 20 30à 40 cm pour les bouches d'eau de pluie qui ne servent plus en fait à rien d'autre que de faire rouler les automobilistes comme des ivrognes pour éviter ces trous, tandis que l'eau de pluie va gentiment vers les trottoirs elever des moustiques et plein d'autres trucs ...

                          that's how things are and really
                          Dernière modification par Aloha, 12 août 2015, 23h17.

                          Commentaire


                          • #14
                            au fur et a mesure que les ouvriers sans chaussures de sécurités et avec des savates dix mètres derrière eux les carreaux sont arrachés .
                            __________________
                            Faute de grives , nous mangeons des Merles
                            Hahaha, ça me rappelle quand on me dit dans mon village "muquel, cette route, qunad tu reviens ça va être un tapis ..... ils disent tapéééé !!

                            Et quand je retourne, je vois quoi ? devant des gens qui, réalisent zaama un tapé à deux bosses, et juste derrière, d'autres "gentlemen "qui ........... détruisent déjà le "tapé" fraichement tissé !!!

                            Va savoir si'il faut en rire ou en pleurer !!!
                            Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

                            Commentaire


                            • #15
                              Il y a 25 siècles l 'Algerien construisait des villes aux artères centrales tirées au cordeau comme en témoignent les villes de Timgade , Tipaza .
                              Ce n'était pas les Algériens!!!!!!

                              En 1963 Alger était une des plus belle ville du monde, propre et bien entretenue et ensuite??????
                              Cherchez les coupables!
                              Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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