Ils ont liquidé le service qui surveillait les entités économiques, je trouve que c'est une bonne idée, maintenant la question qui se pose! ... par quel autre procédé vont ils les surveiller
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Le service de l’intelligence économique (DRS) dissous
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pas vraiment, elle dispose d'un budget colossal, pour des résultats..presque négatif, en plus du coté opaque, rien de filtre contrairement à d'autres institutions..de surcroit, elle est la première source de corruption.. je connais quelqu'un qui travaille à la S.M / un colonel voir un général donc.....toutes les portes sont ouvertes...corruption et clientélisme...et plus encore....un véritable sport national.
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les problème est que les services en question ne produise aucun résultat...bien au contraire, eux mêmes sont source corruption.
les deux ministères les plus corrompus en Algérie: la défense et et la santé.
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Le service de l’intelligence économique, dépendant du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) a été dissous a appris Algérie1 de bonnes sources.La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.
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Apparemment il est plus que dérangeant qu'on le soupçonne, ce "R a b r a b"...¨pour certain et, sincèrement je veux, si c'est possible, comprendre on quoi cet industriel Algérienne est il un danger pour le pays ?
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Dirigée jusque là par le général Achour Ouadahi, cette structure avait pour mission la surveillance des entités économiques, sociétés, banques, assurances, le centre national du registre de commerce, les entreprises nationales et privées etc…
Maintenant que les choses se corsent économiquement parlant, que les flux de fuite vers l’extérieur comme à l’intérieur vers le néant vont s'intensifier pour cacher le pactol... on ne voudra pas être entravé par une quelconque interférences ou embouteillage en route.
C'est l'équivalent des procédures de gestion du risque des fuites de capitaux en cas de crises économique ailleurs, (mais à l'envers: ici on veut s'assurer que ça se face "bi tarika salissa",en douce et sans vagues). comme en Grece dernièrement quand les banques ont été contrainte d'instaurer un plafond des retraits intérieurs et ont été interdite de virements sortant vers l’extérieur.
Des jours roses au Square port Said, objet de minimes interférence lui aussi y'a quelques mois, au commencement de la débâcle du petrol.----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----
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