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Mustapha Mekidèche : « il y a un prix à payer pour sortir » de la crise

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  • #16
    J'espère bien que ça sera d'état à état ... heureusement qu'il n'y a pas de banque à capitaux privés algériens ... je dis ça par rapport aux raclures qui tiennent notre économie.

    Il reste à bosser maintenant pour booster l'économie, le pouvoir d'achat baisse, et l'inflation prend des proportions alarmantes.
    Généralement, ce sont plutôt les institutionnels qui raffolent des dettes sures. Ca ne me dérange pas que ce soit un institutionnel privé ou publique. Détenir de la dette souveraine, ne te donne aucun pouvoir particulier, sauf en cas de problèmes de refinancement, où le marché peut considérer que les taux sont trop bas... En Algérie, le trésor n'a pratiquement plus émis de dette, ce qui a aussi des conséquences sur le financement d'entreprises, qui peuvent aussi recourir au marché pour se financer. L’émission de Rahim fut un échec, et aucun privé ne s'est plus aventuré en Algérie depuis à ma connaissance. Rabrab a sondé pour des opérations à Londres... Les privés cherchent plutôt à se financer, qu'à sécuriser leur épargne, qu'ils préfèrent placer autrement que sur une dette souveraine qui tournera sur des taux pas suffisamment attractifs pour ceux qui ont pris l'habitude de taux de croissance mirobolants sur le marché algérien. Il n'y a pas "d'inquiétude", sur le détenteur de ta dette souveraine...

    Concernant l'inflation et la dévaluation, ceux qui ont commencé par gérer des supérettes, pour arracher ensuite l'installation des boites internationales dans le pays, sont à des années lumière de mesurer le tunnel dans lequel on s'embarque, si des réformes structurelles et sérieuses, qui seront douloureuse, ne sont pas prises... d'où l'appel à un consensus politique...
    Dernière modification par ott, 12 septembre 2015, 21h39.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #17
      Qu'on commence a taillé dans le budget de l'armée
      L'algérie n'a jamais été aussi en danger sur le plan sécuritaire. Les daechiens en syrie afflueront un jour ou l'autre en libye et là ça fera mal.
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #18
        Désolé ogresse ANP doit passer au régime le plus stricte,son budget soumis au parlement et debatu en toute transparence ,chaque sou budgetisé,son affectation justifiée et controlé sans les empechements, souvent sources de malversations,frappés du sceau "secrets defense". Daesh se combat en premier lieu avec un etat de droit ,les libertes democratiques garanties et pratiquées sans contraintes et embuches, une ecole moderne qui encourage esprit de curiosité et la decouverte et émulation dans le savoir,lois non abscones et rompre avec cette manie phobique qui devant les difficultés et défis de la societé on a recours à la solution de facilité interdire et intedire encore, une justice independante et garantie d,égalité de traitement des justiciables,une économie entrepreniale productive avec un code de commerce revisé, souple,clair...Malheureusement avec les filous doublés de mediocrité crasse au pouvoir c'est pas gagné
        Regime algerien, n'oublie pas ,est aussi crminel que la horde à daesh.
        Dernière modification par pioto, 13 septembre 2015, 02h02.

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        • #19
          [QUOTE« il y a un prix à payer pour sortir » de la crise][/QUOTE]

          Une question vaut de l'or:
          Qui du peuple ou la caste militaro-affairiste sera la victime expiatoire, à sacrifier sur l'autel de l'austérité ?
          Dernière modification par pioto, 13 septembre 2015, 00h23.

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          • #20
            Il n'y a aucune victimes expiatoire dans des mesures d'économie ou de réduction de gaspillage , lorsque ces mesures sont justes et équitable sur des milliers de partenaires socio-économiques elles assurent une meilleure capacité à supporter le poids d'une quelconque crise. Des puissances comme les USA et l'Allemagne sont passées par de telles situations et ont été obligés de passer par des mesures d'austérité et de rationalisation des dépenses publiques . Des moments peuvent être difficiles mais pas insurmontables , pas besoin de sacrifier aucun des domaines où de faire peser plus de poids sur une quelconque catégorie sociale. Le pacte socio-économique est l'outil le plus moderne pour redresser l'équilibre économique .

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            • #21
              Il n'y a aucune victimes expiatoire dans des mesures d'économie ou de réduction de gaspillage ,...
              Intéresses toi aux désastres de la crise en Argentine, Bresil,Chili et plus près Irlande, et sous nos yeux la Grèce.Tu verras quelle classe de la société à chaque fois règle la note de l’austérité.

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