Un député FLN dénonce le rachat de Vitajus par le fils de Melzi
TSA - 12:04 dimanche 13 septembre 2015 | Par Nadia Mellal | Actualité
Le député FLN, Lyes Saadi a ouvert, ce dimanche 13 septembre, les débats sur l’avant-projet de loi sur le commerce à l’APN en dénonçant le directeur des résidences d’État de Club des Pins et Morreti.
Inscrit premier intervenant, Lyes Saadi a estimé « anormal » le rachat de Vitajus par le fils d’un fonctionnaire, directeur de la résidence d’État, qui à ses yeux « n’a pas le droit d’opérer une telle transaction ».
« Un fonctionnaire n’a pas le droit d’acheter cette entreprise », estime-t-il tout en considérant « légitime » de s’interroger sur « la provenance des fonds qui ont permis le rachat de Vitajus ».
Et de revendiquer « une loi pour empêcher que de hauts fonctionnaires et leur ayant droit d’opérer de telles transactions » surtout dans un contexte de crise estimant que « la crise économique profite aux riches et dépouille les citoyens ».
Par ailleurs, le député FLN d’Alger a dénoncé en plénière l’attitude du garde-corps du premier ministre, Abdelmalek Sellal, à l’ouverture de la session d’automne du Parlement qui « m’a menacé en brandissant son arme comme si j’étais un terroriste lorsque je lui ai demandé de quitter l’hémicycle dans laquelle il n’a pas le droit de pénétrer. Dans le but de me nuire et ternir mon image, des propos ont été rapportés selon lesquels j’ai l’intention de gêner le gouvernement. C’est faux, nous n’avons aucune leçon de nationalisme à recevoir de qui que ce soit. Je suis au sein d’un groupe parlementaire qui souligne les acquis et dénonce les insuffisances. »
TSA - 12:04 dimanche 13 septembre 2015 | Par Nadia Mellal | Actualité
Le député FLN, Lyes Saadi a ouvert, ce dimanche 13 septembre, les débats sur l’avant-projet de loi sur le commerce à l’APN en dénonçant le directeur des résidences d’État de Club des Pins et Morreti.
Inscrit premier intervenant, Lyes Saadi a estimé « anormal » le rachat de Vitajus par le fils d’un fonctionnaire, directeur de la résidence d’État, qui à ses yeux « n’a pas le droit d’opérer une telle transaction ».
« Un fonctionnaire n’a pas le droit d’acheter cette entreprise », estime-t-il tout en considérant « légitime » de s’interroger sur « la provenance des fonds qui ont permis le rachat de Vitajus ».
Et de revendiquer « une loi pour empêcher que de hauts fonctionnaires et leur ayant droit d’opérer de telles transactions » surtout dans un contexte de crise estimant que « la crise économique profite aux riches et dépouille les citoyens ».
Par ailleurs, le député FLN d’Alger a dénoncé en plénière l’attitude du garde-corps du premier ministre, Abdelmalek Sellal, à l’ouverture de la session d’automne du Parlement qui « m’a menacé en brandissant son arme comme si j’étais un terroriste lorsque je lui ai demandé de quitter l’hémicycle dans laquelle il n’a pas le droit de pénétrer. Dans le but de me nuire et ternir mon image, des propos ont été rapportés selon lesquels j’ai l’intention de gêner le gouvernement. C’est faux, nous n’avons aucune leçon de nationalisme à recevoir de qui que ce soit. Je suis au sein d’un groupe parlementaire qui souligne les acquis et dénonce les insuffisances. »
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